Krach

chômage entre 1922 et 1929. Tandis que le prix de nombreux produits industriels diminue, les revenus augmentent. On constate que les salaires sont d’un niveau plus élévé. En effet, Les revenus s’élèvent approximativement à 857$ en 1929 (avant le krach boursier) tandis qu’ils ne s’élevaient qu’à 632$ en 1914. Le recours à la vente à crédit se développe, principalement pour l’automobile. De plus, la croissance des échanges est considérable. La cause étant que le progrès des moyens de communication

pour tenter de les juguler, souvent sans succès. I. Un pays en proie à des crises majeures A. Une crise économique En France, les premiers signes de la crise économique se manifestent en 1931, alors qu’elle éclate aux Etats-Unis à la suite du krach boursier de Wall Street, le jeudi 24 octobre 1929. Ce décalage s’explique par le fait que la France est un pays assez autarcique au plan commercial (du fait de taxes douanières importantes, d’une économie encore peu modernisée) et du fait de la dévaluation

crises financières Une autre preuve de l’inefficience des marchés est la multiplication des crises. • Les crises des années 80 o 1982 : la crise mexicaine o 1983-1984 : le dollar surévalué o 1987 :le krach boursier américain • les crises des années 90 o 1992-1993 : les crises du SME o 1994-1995 : la crise mexicaine o 1997 : la crise asiatique o 1998 : la crise russe o 1999 :

prendre des risques. 2008-2009 : crise des subprimes+ crise de la zone € (avec l’apparition de notation des économies des pays et l’incapacité de certains pays comme la Grèce à rembourser leurs dettes). 2004-2007 : crise financière aux USA (+ krach boursier 2008) s’est répercuté à l’ensemble de la planète. spirale dépressive car le recul de la demande induit celui de l’offre. Le chômage progresse accentuant la baisse de la demande...Le niveau élevé des taux d’intérêt, les politiques d’austérité

l'occurrence «l'émergence de discours positifs», notamment autour de l'alternative écologique et du «consommer malin». «En fait, au-delà de la réaction à la crise actuelle, beaucoup de changements de fond, plus structurels, ont débuté bien avant le krach boursier, que ce soit l'émergence d'une plus forte sensibilité aux questions écologiques ou la volonté de changer ses habitudes de consommation», analyse Françoise Hernaez-Fourrier, directrice du planning stratégique de TNS Media Intelligence. Pour

: 18$ 92$ / dividende (reflet de l’économie réelle) 7$ 2$). De plus, s’ajouta la spéculation immobilière.  Tous les ingrédients sont réunis pour un krach boursier : dès que certains ont commencé à vendre, tout le monde à suivit, provoquant l’effondrement des cours. Le krach de Wall Street : Octobre 1929 le krach : on passe d’une situation ou la demande était supérieur à l’offre (augmentation des cours) à une situation où l’offre était supérieur à la demande. La conjoncture

bulles. Il est important de souligner qu’on ne peut parler de bulle que si la phase d’appréciation est suffisamment durable et déconnectée de l’économie réelle. Mais la bulle spéculative n’est reconnue comme telle qu’après son éclatement. Un Krach qui est aussi appelé « la correction des cours ou réajustement » est l’effet le plus spectaculaire dans le phénomène. Les conséquences d’éclatement d’une bulle conduisent forcément à une turbulence de marché, à une crise qui se généralise

prêts «subprime » (Lehmann brother…). iii. Baisse des notes par les agences de notation. iv. Crise de liquidité : les banques ne prêtent et ne se prêtent plus d’argent, les investisseurs n’investissent plus. Etape 2 : 15 septembre 2008, le krach boursier i. Faillite et disparition de Lehmann Brother Raison officieuse : Les membres du gouvernement américain, avaient des postes à responsabilité chez JP Morgan, banque concurrente de Lehmann Brother. Ils ont donc laissé couler cette banque

récessions les particuliers ont perdue environ 5% de leur richesse nette comparé aux 20% actuels » Suite à la crise financière de 2007 et la crise économique 2008 à nos jours, le monde économique a connu un de ses plus grands bouleversements. Le krach boursier a eu des conséquences énormes sur les échanges mondiaux. Les entreprises dont les revenus se sont effondrés n'ont pas eu d'autres choix que de se séparer d'une partie de leur masse salariale de manière définitive ou temporaire (chômage partielle

1974-75. Si on observe une reprise dans la deuxième moitié des années 1970, le deuxième choc pétrolier assène un coup déterminant dans la première moitié des années 1980 (voir document 4). Les deux crises se caractérisent par des problèmes monétaires : krach boursier en 1929, rapatriements de capitaux des banques américaines (1929), inflation galopante (voir graphique A)…Mais ces éléments constituent-ils des critères suffisants et décisifs pour déduire que la crise actuelle n’est que la répétition de 1929