Kuomintang

après qu'elle eut fait empoisonner leurs six enfants Tchang Kaï-chek Chiang Kaï-chek, ou Tchang Kaï-chek, ou Chang Kaï-chek (31 octobre 1887 – 5 avril 1975) est un militaire et homme politique chinois qui fut l'un des principaux leaders du Kuomintang après la mort de Sun Yat-sen en 1925. Il fut le chef militaire (avec le titre de généralissime)et, à diverses périodes et en alternance, le chef du gouvernement et le président de la « première République chinoise » puis, jusqu'à sa mort, le président

la Chinequi devient en 1932 le Mandchoukouo, État indépendant sous protectorat japonais. L'année suivante, le Japon quitte la SDN, puis, en 1937, profitant de la faiblesse d’une Chine secouée par la guerre civile entre des troupes communistes et celles du Kuomintang, il occupe une partie nord-est de ce pays dans une nouvelle guerre sino-japonaise qui prendra de plus en plus d'ampleur. Une tentative d’occupation de la Mongolie par l'Armée impériale japonaise est freinée en 1939 par l'Union soviétique qui lui

franco-thaïlandaise et Guerre du Pacifique. Maquette d’un porte-avions américain Douglas MacArthur, chef des forces alliées en Asie, et John Curtin, premier ministre australien. À compter de 1937 en Chine, l’Armée nationale révolutionnaire du Kuomintang de Tchang Kaï-chek et le Parti communiste de Mao Zedong font front commun contre les Japonais mais généralement sans coopérer. Enlisée en Chine, l’Armée impériale japonaise a systématiquement recours, dès 1937, à l’utilisation d’armes chimiques

occidental, les pays de l'Amérique latine sont en voie d'entrer dans l'orbite des plans d'expansion militaire des Etats-Unis. Le gouvernement des Etats-Unis a annoncé que sa tâche officielle était d'aider à la modernisation de l'armée turque. L'armée du Kuomintang réactionnaire fait son instruction avec des officiers américains et reçoit du matériel américain. La clique militaire devient une force politique active aux Etats-Unis, dont elle fournit, sur une grande échelle, les hommes d'Etat et les diplomates

grand nombre de locuteurs possèdent le mandarin comme seconde langue. Ces locuteurs le modifient ainsi fréquemment avec le système phonologique de leur propre langue maternelle. Par exemple, en 1945, quand l'île de Taïwan revient sous contrôle du Kuomintang, le mandarin standard est décrété langue officielle et est enseigné dans les écoles. A la suite de quoi, le mandarin est devenu la langue véhiculaire entre les différents groupes ethniques et linguistiques de Taïwan. Il a donc subit, entre autres

conséquences du coup de Prague. Modalité de travail : individuel Temps : 40 mn Evaluation : Sujet type bac : relate le coup de Prague. B- En ASIE : 1- La victoire communiste en Chine(1947-1949) C’ est un conflit armé opposant le Kuomintang, (KMT, parti nationaliste), et le Parti communiste chinois (PCC) entre 1927 et 1950. Il est possible de dater la fin du conflit de 1949, avec la proclamation de la République populaire de Chine. Tchang Kaï-chek profite du soutien l'armée américaine

moment, plusieurs industries (notamment militaires) sont déplacées de Shanghai vers Chongqing, qui est alors séparée administrativement de la province du Sichuan et consacrée capitale nationale temporaire 13 par le gouvernement nationaliste du Kuomintang (Hong, 2002 : 49). En 1942, Chongqing abrite plus de 1690 usines (« factories ») et fait travailler plus de 100 000 ouvriers. Elle domine alors le secteur manufacturier à l’échelle nationale, avec 80 % de la production (output) d’acier, 65 % de

donné permet aussi de le représenter comme un simple rouage d’une « machine infernale ». C’est le cas, par exemple, dans La Condition humaine d’André Malraux, qui se déroule en 1927, quand l'Armée révolutionnaire du http://fr.wikipedia.org/wiki/Kuomintang, sous le commandement de Tchang Kaï-Chek, est en marche vers Shanghai. Afin de faciliter la prise de la ville, dont le port représente un important point stratégique, les cellules communistes de la ville préparent le soulèvement des ouvriers

qui devient en 1932 le Mandchoukouo, État indépendant sous protectorat japonais. L'année suivante, le Japon quitte la SDN, puis, en 1937, profitant de la faiblesse d’une Chine secouée par la guerre civile entre des troupes communistes et celles du Kuomintang, il occupe une partie nord-est de ce pays dans une nouvelle guerre sino-japonaise qui prendra de plus en plus d'ampleur. Une tentative d’occupation de la Mongolie par l'armée shôwa est freinée en 1939 par l'Union soviétique qui lui inflige une

et Guerre en Asie et dans le Pacifique. Maquette d’un porte-avions américain Douglas MacArthur, chef des forces alliées en Asie, et John Curtin, premier ministre australien. À compter de 1937 en Chine, l’Armée nationale révolutionnaire du Kuomintang de Tchang Kaï-chek et le Parti communiste de Mao Zedong font front commun contre les Japonais mais généralement sans coopérer. Enlisée en Chine, l’Armée impériale japonaise a systématiquement recours, dès 1937, à l’utilisation d’armes chimiques