Kurde

Régime : Démocratie parlementaire républicaine Monnaie : livre turque (YTL) Change : 1 YTL = 0, 42 € et 1 € = 2, 14288 YTL Superficie total : 780 580 km² 8 9 10 11 12 13 14 15 15 Population : 76,8 millions d’habitants Langue : le Turc et le kurde Religion : Musulmans 99.8% (majoritairement Sunnite), autres 0.2% (en partie Chrétiens et Juifs) Indicatif : +90 Décalage horaire : gmt+2 (1h plus tard de la Belgique) 3 UN PAYS POUR TOUS LES GOUTS La Turquie a vraiment beaucoup à offrir à

fous de tout ce qui se passe, du monde et tout, je m’en fous, de la chute du mur et des Russes, je m’en fous, des petits cambodgiens, je m’en fous, de la Yougoslavie, l’Azerbaïdjan, de l’Arménie, des problèmes du chômage, je m’en fous, du problème kurde et du trente-deuxième parallèle, je m’en fous, des Chinois, Tien Anmen et de l’annexion, des Allemands de l’Est et de l’Ouest, des homeless, SDF, trente millions aux Etats-Unis, je me fous du problème Nord-Sud, Est-Ouest, du lait, du beurre, de la

turque qui de leur côté la réprime violemment, en violant svt les droits de l’homme. ( Il est douteux que la Turquie puisse adhérer tant que le problème ne sera pas réglé. La T a fait qqs concessions, notamment en légalisant l’usage ds la langue kurde ds l’est du pays, mais cela ne suffit pas à finir un conflit. ( Il paraît peu probable que les négociations avec la T réussissent au cours ds prochaines années. Par contre on aura peut-être un accord partiel de coopération entre la T et l’UE. *Il

condamné à payer des dommages de guerre, son pétrole est placé sous tutelle et le pays s’engage à supprimer toute arme de destruction massive. Toutefois, Saddam Hussein se maintient au pouvoir et la coalition n’empêche pas le massacre des minorités kurde et chiite du pays par le dictateur. Jean-Christophe Delmas 1 II Sarajevo (1992-1995) 3. Les conséquences du conflit • Les Etats-Unis sont bien l’unique superpuissance de l’après-guerre froide : la logistique déployée, les bombardements massifs

bien russe. La vraie mauvaise surprise vient en fait de Turquie. Après avoir voulu servir de pont entre l’Orient et l’Occident, le gouvernement d’Ankara a clairement basculé dans l’islam. Ainsi, après la question arménienne, l’insoluble problème kurde et l’interminable occupation du nord de Chypre, le gouvernement turc s’est créé un souci supplémentaire avec la Syrie, après l’incroyable épisode des bateaux pour la Palestine. En effet, le 31 mai 2010, l’expédition nautique le long des côtes israéliennes

part sortant. L’ANAP et le DYP tombent sous la barre des 10%. C’est donc le rejet massif d’une classe politique corrompu et vieissante en place depuis 30 ans (voire plus pour Demirel et Ecevit), qui s’est montrée incapable de répondre au problème kurde, à la corruption, ect … La victoire de l’AKP est donc aussi la victoire du renouveau, le parti étant perçue ayant réussi à être perçue comme garant des valeurs conservatrice de l’Islam et malgré tout porteur d’une certaine modernité, notamment sur

entretenir de fortes relations et adopter une culture semblable à un peuple se situant sur une autre île. Par ailleurs, d’autres peuples, eux, se trouvent bel et bien privés de territoire, comme c’est le cas pour la population kurde, ayant pourtant longuement revendiqué un Etat kurde, mais qui se situe de manière éparse sur plusieurs pays tels que la Turquie et l’Iran majoritairement. Le problème ici ne semble pas être la question de la frontière précisément, mais bien celle de l’Etat. Il s’agit plutôt

cette population, dont le tiers a moins de 18 ans. La grande majorité de ces jeunes sont nés et scolarisés en Europe. Enfin, troisièmement, le coup d’Etat militaire du 12 septembre 1980 et la lutte entre l’armée turque et la guérilla séparatiste kurde dans le Sud-Est du pays entre 1984 et 1999 ont provoqué l’exil d’un grand nombre de personnes dont une partie non négligeable a demandé l’asile politique dans les pays européens durant les deux dernières décennies (Petek-Salom, 1999, 150 ; Sen, 2002a

Rien ne change avec les siècles. Les Fatimides venus d'Ifriqiya – la Tunisie – qui ont occupé la vallée du Nil et fondé Le Caire, Al-Qahira, « la Victorieuse », ont leurs mamelouks. Leurs successeurs, les Ayyubides, les héritiers du célèbre général kurde Salah al-Din Yusuf, notre Saladin, en ont aussi ; ils sont plus nombreux que jamais bien qu'ils coûtent cher – « c'était les esclaves les plus chers du monde » dit Ibn Hawqal – et qu'il faut les renouveler sans cesse. Mais l'Égypte, grâce à eux, a

sont souvent dues à l'imbrication des différentes communautés nationales ou religieuses (Bosnie, Chypre, Kosovo). Les revendications autonomistes ou indépendantistes régionales sont multiples (Lombardie, Catalogne, Corse, Palestine, voire question kurde)., bien qu'atténuées par l'intégration européenne. Ces tensions se manifestent au sein des opinions publiques : dans les pays arabes, les Européens sont accusés de ne pas avoir renoncé aux méthodes coloniales, tandis que la confusion musulmans – islamistes