Kurdes

autorités, des villes saintes de Karbala et de Nadjaf, ainsi qu’une répression hors du commun, tuant plusieurs dizaines de milliers d’habitants. Ni l'un, ni l'autre. Ethniquement, l'Iran est habité par des Persans majoritaires, des Turcs et des Kurdes, qui parlent des langues sans aucun rapport avec l'arabe, et qui sont musulmans chiites, en majorité, pour l'Iran. • . En Irak de même, mais les Irakiens du sud sont arabes et chiites, tandis que les Irakiens arabes du nord (l'ethnie de Saddam)

Hassan Mohammadi (enfant), Rasool Mohamadi (Le garçon porteur), Somaye Veisee (petite fille). Attention Spoiler: ci-dessous est un résumé de l'ensemble du film. Bon film. Il fait vraiment sentir mal à propos de la situation dans laquelle les Kurdes se retrouvent. On sent mauvais pour les garçons qui doivent transporter de lourdes charges pour un maigre salaire et la possibilité qu'ils pourraient être tués par des soldats. Les garçons sont trop occupés à survivre pour avoir le temps d'apprendre

motivée par deux raisons :  le tracé de la frontière entre l’Irak et l’Iran et la menace que représente l’Iran pour l’Irak. Le 6 Mars 1975, l’Iran et l’Irak signent l' Accord d’Alger par lequel l'Iran cesse d'apporter son aide militaire aux Kurdes irakiens en échange de la reconnaissance par l'Irak des frontières du fleuve Chatt al-Arab qui est censé mettre fin aux tensions territoriales qui animent les deux pays. Mais en 1979,  une république islamique a été fondée en Iran, modifiant la nature

Utilisation d’armes chimiques A partir de 1983, l’Irak ne respecte plus le protocole de Genève de 1925 alors qu’il l’a signé en 1931 en utilisant des armes chimiques sur la population Iranienne ainsi que sur les soldats iraniens mais aussi sur les Kurdes, alliés à l’Iran. Ces armes chimiques sont le sarin, Tabun, gaz moutarde et cyclosarin. Cette utilisation ne fait pas réagir la communauté internationale. On estime le nombre de victimes à 70 000 dont 10 000 morts liés à cette arme, en grande majorité

IV. Contexte géographique et social des territoires kurdes. V. Le PKK. VI. Statuts démo-linguistique du Kurdistan. o VII. Origines du conflit: VIII. La religion. IX. Les partis politiques. X. Révoltes et répressions. XI. Conclusion. XII. Bibliographie. XIII. Lexique. XIV. Table onomastique. XV. Annexe. Les terres kurdes sont l'un des foyers de la civilisation humaine au temps des Mèdes

Introduction Les Kurdes sont un peuple d'origine indo-européenne, comptant entre 25 et 37 millions d'individus. Géographiquement, ils se situent en majorité dans une région nommé le «  kurdistan » réparti sur la Turquie,l'Iran,l'Irak, et la Syrie, entre autre . La nation kurde n'a pas d'Etat propre et est gouvernée par d'autres gouverments, qui , en général, nient l'existence meme de ce peuple, l'exemple le plus frappant étant la Turquie. Cependant,depuis la chute du régime de Sadam Hussein

toutefois qu’elle doit être redéfinie selon les normes d’un Etat démocratique respectant les différents peuples et cultures et les droits de ceux-ci. Dans ce cadre, les Kurdes doivent être libres de s’organiser de manière à pouvoir vivre avec leur langue et leur culture et se développer économiquement et écologiquement. Ceci permettrait aux Kurdes, aux Turcs et aux autres cultures de vivre ensemble au sein d’une nation démocratique en Turquie. Pour cela, une constitution démocratique et une législation développée

européenne Le Conseil européen de Bruxelles du 17 décembre 2004 a ouvert une nouvelle ère pour la démocratisation et l'établissement des droits élémentaires de plus de 15 millions de Kurdes vivant en Turquie. Symbole de démocratie, l'enjeu européen cristallise tous les espoirs des Kurdes. Peuple sans État, les Kurdes ont été les oubliés du traité de Lausanne de 1923 qui a organisé le règlement de la Première Guerre mondiale. Dans la nouvelle République turque proclamée par Mustafa Kemal, l'usage de

politique. Aujourd’hui, les alévis seraient entre vingt et trente millions en Turquie. On peut également trouver des communautés alévis en Bulgarie, en Azerbaidjan, en Iran, en Irak, en Syrie et en Albanie. Parmi eux on compte des alévis zazas ou des kurdes kurmanjis et des alévis arabes (sous le nom de «alaouites»). S'ajoute à cela, une diaspora alévis qui vit en grande partie en Europe. Cette diversification de territoire et la variété de langue conduient les alévis à observer des pratiques culturelles

créant un lien direct entre individus et institutions européennes, au sein d’un territoire aux spatialités multiples. Dans quelle mesure la thèse de Bertrand Badie, dissociant identité et territoire, est-elle applicable aux revendications identitaires kurdes et à l’intégration européenne ? I- Selon Bertrand Badie, le lien entre identité et territoire n’est pas pertinent, il est obsolète, dépassé : 1) Le principe de territorialité n’est pas un donné mais un construit : La thèse de Bertrand Badie