Kyoto

interétatiques respectant la souveraineté de chaque Etat et non pas sur un mode autoritaire. Ainsi pour conserver une stabilité climatique au niveau mondial, les Etas se sont concertés et ont défini des objectifs à atteindre dans le cadre du protocole de Kyoto en laissant à chaque Etat le droit d’y adhérer ou non ainsi que la liberté des moyens pour les atteindre. Par ailleurs il ne faut pas négliger le rôle des acteurs non étatique dans la production des BPM : (ONG, grandes entreprises ou parlement qui

Kyoto : L’accord de l'environnement de l'ONU (protocole de Kyoto (1997)) 38 pays industrialisés à réduire ou à éliminer d'ici 2012 leur émission de CO²  et d'autres gaz à effet de serre 5.2% en moyenne pas rapport au niveau de 1999 efficacité est limitée en raison du rejet  du plus grand polluant : les USA sous la présidence de G.W Bush. Malgré ce refus il est rentré en vigueur en 2005. Les océans captent naturellement une partie du CO² mais une faible quantité. Les chercheurs veulent pomper

2010 et engagement pour les pays Parties au protocole de Kyoto à renforcer leurs objectifs « initiés » par le protocole . Engagement des pays en développement de mener des actions d’atténuation de leurs émissions d’ici 2020 et à répertorier avant le 31 janvier 2010. Objectif collectif des pays développés de mobiliser 100 milliards USD par an d’ici 2020 pour les pays en développement  Cependant, Les États-Unis qui n'ont pas ratifié le protocole de Kyoto mais qui ont signé l'accord de Copenhague dans le

efficacité est trop souvent anéantie par leur caractère vague et le laxisme mis à les faire respecter. 1997 Sommet de Kyoto Sous la pression des grandes firmes et des Etats les plus pollueurs, tels les Etats-Unis, ont vidé de toute efficacité les objectifs de réduction des émissions de gaz à effet de serre. De plus en plus détourné des buts affichés. Plus récemment lors du sommet de kyoto les états unies n'ont pas ratifié le traité au même titre que la chine. "Le développement durable ne serait-il qu’un

 Le sommet de Rio en 1992 avait pour objet la réduction du rythme d’appauvrissement de la diversité biologique à l’échelle planétaire. Le protocole de Kyoto en 1997 propose un calendrier de réduction des émissions de gaz à effet de serre jusqu’en 2012. L’accord de Doha en décembre 2011 lance la seconde période d’engagement du protocole de Kyoto. Elle engagera l’Union européenne, la France, l’Australie et une douzaine d’autres pays industrialisés à réduire leurs émissions de 2013 à 2020. Ces politiques

renouvelables sont devenues des alternatives réelles et leur promotion est très encouragée par la communauté internationale sous diverses formes. C’est dans cette logique que s’inscrivent, entre autres mécanismes de financements issus des protocoles de Kyoto, les financements de la Banque Mondiale dans le cadre du Mécanisme pour un Développement Propre (MDP) ou des facilités de financement offertes par des institutions ou organismes des Nations Unies dont le Programme des Nations Unies pour l’Environnement

que sa bio capacité. Londres compte 12% de la population de la Grande-Bretagne et couvre 170 000 hectares. Son empreinte écologique atteint 48 millions hectares globaux, soit 6,6 hag par habitant. Le Protocole de Kyoto Pour ce faire, au niveau international, le protocole de Kyoto (signé en 1997, ratifié en février 2005) propose des engagements contraignants sur 2008-2012 en terme de réduction de CO2, en faisant la différence entre les pays du "nord", et les pays en développement. Impose aux 38

une nouvelle dynamique car il est question pour la première fois de prendre des décisions au niveau économique pour l'écologie et ouvre donc la voie à des négociations plus poussées et à la mise en place de textes contraignants comme le protocole de Kyoto daté du 11 décembre 1997, traité qui vise à réduire la production de gaz à effet de serre de 7% entre 1970 et 2012. Du 26 aout au 4 septembre 2002 s'est déroulé le quatrième sommet de la Terre à Johannesburg, en Afrique du sud qui visait à concrétiser

sont 193 pays qui se sont retrouvés pour débattre sur la question du changement climatique et des mesures à prendre. Deux manifestations se sont tenues, l'une réunissant les 193 pays (Cop 18), l'autre réunissant les pays signataires du protocole de Kyoto. Depuis le cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) est entré en vigueur au cours du Sommet de la Terre de Rio de Janeiro au Brésil en 1994, la Conférence des Parties (COP) à la CCNUCC s'est réunie chaque année pour évaluer

du CO2 illustre la pertinence de cette hypothèse et permet d’en tirer des enseignements intéressants. Exemple du CO2 L’enjeu des gaz à effet de serre est devenu un enjeu concret pour toutes les entreprises en 1997 avec la signature du protocole de Kyoto, qui assigne aux pays industrialisés un premier objectif quantifié pour la période 2008-2012, dite première période d’engagement. Phase pro-active Dix neuf groupes industriels français, de dimension internationale, ont créé l’AERES (Association des