L'hystérie

névrotique mais n’intègre pas l’hystérie qui, elle, dérive d’idées fixes subconscientes. JANET donne une description claire et cohérente des obsessions et des compulsions. Il propose une thérapeutique psychologique originale et un mode psychologique explicatif. Mais la « névrose obsessionnelle » doit son nom à FREUD qui apporte une contribution originale à la description de cette entité nosographique en 1896. Il sépare la névrose obsessionnelle de l’hystérie en se basant sur les obsessions

Theodor Meynert dans lequel il poursuit des études histologiques sur la moelle épinière, jusqu'en 1886[D 16]. Franz Brentano Theodor Meynert Ernst Wilhelm von Brücke Information icon.svg Cliquez sur une vignette pour l’agrandir De l'hystérie à la méthode cathartique (1883-1893) Après avoir passé cinq années dans le service de Meynert, Freud entre en septembre 1883 dans la quatrième division du docteur Scholtz. Il y acquiert une expérience clinique auprès de malades nerveux. En décembre

des lumières Dr William Cullen utilise pour la 1ère fois le mot névrose : maladie des nerfs Font partie des névroses : l’hystérie, les démences 2. Naissance de la psychanalyse (qui donne les lettres de noblesse à la névrose) Dr. Charcot « lésion dynamique fonctionnelle », cela apparaît, disparaît, se déplace d’un endroit à un autre. Par l’hypnose, il pense pouvoir recréer l’hystérie Breuer « méthode cathartique » sous hypnose, faire réapparaître les cauchemars par l’hypnose Freud, abandonne l’hypnose

d'elles, regardant dans le verre, voit un cercueil à la place du visage de celui qu'elle devrait épouser plus tard. A partir de ce moment, les fillettes commencent à manifester des symptômes de possession, qui en réalité sont ceux d'une maladie : l'hystérie. Pressées de donner les noms de leurs tourmenteurs, elles accusent d'abord Tituba, puis deux vieilles femmes détestées par la communauté : Sarah Good et Sarah Osborne. Des mandats d'arrêt sont lancés contre elles en février 1692. Le 1er mars

chose Mort : 2ème castration (séparation sans retour) Quelque chose souvent dont il n’a pas idée(sentiment normal Langage : signature du manque, support du désir. 13 novembre 08 L’inconscient (inconscient freudien) A travers l’étude de l’hystérie, possédée etc.. : le diable ancêtre de l’inconscient, quelque chose d’insaisissable. « L’esprit serait-il donc trop étroit pour se posséder lui-même, mais où donc peut se trouver ce qui de mon être m’échappe ?  je suis devenu pour moi-même une

assisté à la prolifération d'une maladie mentale à prédominance féminine que les aliénistes de l'époque eurent grand mal à définir, caractérisée par un foisonnement de symptômes corporels (spasmes , paralysies, anesthésies, crises nerveuses, etc.), l'hystérie. Par conséquent, cette maladie fut un véritable phénomène social, qui excéda largement son cadre strictement médical, tant le nombre de scientifiques, artistes ou écrivains s'y intéressant fut important. Freud avait fait «de la névrose hystérique

experts et le comportement des gens perturbés. -Hystérie ou Epilepsie : le deuxième chapitre est facilement résumé par le titre donné. En effet tout au long de ce passage l’auteur explique que selon certains l’automatisme ambulatoire relevait de l’hystérie (dont le grand défenseur est le docteur Charcot, l’un des pionniers de la médecine moderne) et dont les limites de cette hypothèse seront atteintes, et pour d’autres la maladie s’explique par l’épilepsie. L’auteur détaille aussi les circonstances

PSYCHO CLINIQUE CM n°1 : Psychologie clinique : s’intéresse aux patients, leurs souffrances, conflits, mais aussi à leur épanouissement. Psychopathologie : étude psychologique de la maladie mentale, de la souffrance psychique : Les névroses : l’hystérie (=le conflit psychique s'exprime par des manifestations fonctionnelles (anesthésies, paralysies, cécité, contractures...) sans lésion organique, des crises émotionnelles, éventuellement des phobies) Les névroses obsessionnelles (=caractérisée par

pathologie mauvaise circulation des esprits animaux donc augmentation des passions. III Comment l’âge classique va impacté sur l’hystérie? - Au 17e siècle, l’hystérie est toujours un trouble du comportement qui a pour origine l’utérus, soit il pouvait se déplacer dans l’organisme (Egyptien) donc il comprimé d’autre organe et il modifier la circulation des humeurs. L’hystérie repose sur un disfonctionnement du cerveau induit par un déséquilibre humorale, c’est une hypothèse du 17e siècle. On y ajoute

TD 1Pulsions du MOI et pulsions sexuelles (qui mettent en relation un autre) : rapport d’opposition ne fonctionne pas.Pulsion de mort emmène le sujet à souffrir voire à s’auto-détruire (actes morbides substances toxiques…)Dans la 2nde théorie : pulsion sexuelle et de mort imbriquéesPulsion = articulation entre corps et psychisme La pulsion n’est pas quelque chose que l’on peut éviter. Un stimulus est externe au sujet tandis qu’une pulsion est interne .