L'Abolition

2°) Des stratégies militaires reposant sur des bases économiques. 3°) Les progrès au niveau de l’esclavage : l’abolition de fait dès 1863. III°/ Les Etats-Unis après la défaite du sud : l’abolition officielle de l’esclavage. 1°) Le sort des anciens esclaves : des travailleurs libres sous la coupe des anciens maîtres. 2°) La naissance de la ségrégation après l’abolition de l’esclavage. 3°) La discrimination positive de nos jours. CONCLUSION. Introduction : L’esclavage

En France nous fêtons cette année le trentième anniversaire de l’abolition de la peine de mort. Toutefois l’abolition de la peine capitale n’est pas universelle. Certains pays, a l’instar de la grande démocratie des Etats Unis exécute toujours en moyenne 46 milliers de condamnés tous les ans, les chiffres sont tout aussi remarquable pour le Yémen, la Corée du Nord, l’Iran ou la grande puissance Chinoise qui dépassent les plusieurs milliers d’exécutions. Dés lors, nous constatons que la thématique

en détournant à leur profit ce trafic d’esclaves, les Européens ont appauvri certains pays arabes et africains qui en vivaient avant eux. Ce trafic a aussi permis aux européens de s’installer en Afrique. Il a donc facilité la colonisation.   L’ABOLITION : UNE NECESSITE ECONOMIQUE  Si au XIX siècle, l’esclavage disparaît peu à peu en Amérique latine, il s’organise au contraire de mieux en mieux en Amérique du Nord. Dans les Etats du Sud des Etats-Unis, l’esclavage est indissociable des formes

DM n°1Le 5 mai 1789 s'ouvrent les États Généraux à Versailles. Assemblée réunissant les trois ordres de la société française et convoquée par le roi en cas de force majeure, elle avait pour objectif de régler la crise financière et sociale établie dans le royaume ces dernières années. Mais le 17 juin 1789, les députés décident de former l’Assemblée Nationale Constituante pour créer une constitution française. Ces Etats Généraux qui devaient donc résoudre une crise, sont souvent considérés comme

débats entre ceux qui souhaitent l’abolition de cette peine de mort et ceux qui la défendent. Victor hugo Albert camus Voltaire Mais la peine de mort n’est pas seulement un débat littéraire mais également une source de discordes politiques, idéologiques et religieuses qui a frappé le monde entier par son importance capitale. Les politiciens du monde se sont tous au moins une fois attardés sur ce point, et grand nombre d’entre eux avaient lutté pour l’abolition de cette atteinte à la libérté

rupture à la structure. Toute la volonté de Hillquit consiste à voir l’abolition du système qui a pris le syndicalisme comme une force pouvant calmer la colère des travailleurs quand certaines satisfactions font défaut. Aussi, il provoque son homologue par le discours suivant : « vous déclarez donc officiellement que l’AFL, par ses objectifs et ses actes, va plus loin que le parti socialiste même quand celui-ci réclame l’abolition du système actuel de profits et salaires ? » M. Hillquit ne voulait

montre ce que l'assemblée a fait, ou n'a pas fait, et ce qu'il en pense .Il prend position ,dénonce la pacification de l'assemblé et demande « la conscience de la société toute entière » (l.19). L'auteur veut éradiquer la misère: « ce grand but […] l'abolition de la misère »(l.28). II.Il montre son indignation a) Un discours politique accusateur Ce discours est un discours politique ainsi qu’en témoigne la présence des termes appartenant au champ lexical de la politique :

d’attirer l’attention du lecteur puisqu’il va, par la suite, parler de son opinion sur la peine de mort. Il commence cela en utilisant une stratégie d’élocution efficace. Il s’appuie sur plusieurs procédés stylistiques qui contribuent à mettre en lien l’abolition de la peine de mort en France avec d’autres pays. Effectivement, (de la ligne 19 à la ligne 22) il fait plusieurs comparaisons, mais aussi une anaphore « Il dépend de vous » (de la ligne 23 à la ligne 24) et « Ne perdez pas » (l.26) puis une métaphore

couche de peinture en publiant en 1829, son livre « le Dernier Jour d’un condamné ». Cette publication de l’œuvre de Victor Hugo relança le débat sur la peine de mort. Le thème fut discuté à l’Assemblée Nationale Français sans l’issue favorable pour l'abolition. EPOQUE COMPTEMPORAINE Il s’agit de notre époque qui a été marquée par les deux grandes guerres mondiales aux conséquences néfastes, des bouleversements socio-économiques, des génocides, des guerres, des révolutions… D’ailleurs, elle commença

abolição da Pena de Morte - 1867) A cette occasion, Victor Hugo a fait parvenir une lettre à Eduardo Coelho, alors fondateur et Directeur d'un des quotidiens portugais intitulé "Diario de Noticias", dans laquelle l'écrivain français se félicitait de l'abolition de la peine de mort au Portugal. Victor Hugo écrivait dans sa lettre : "Abolir la peine de mort légale en laissant à la mort divine tout son droit et son mystère est un auguste progrès entre tous. Je félicite votre parlement, vos penseurs, vos