L Absurde Dans Le Procès De L étranger

EXPLICATION DE « L'ÉTRANGER » A peine sorti des presses, L'Étranger de M. Camus a connu la plus grande faveur. On se répétait que c'était « le meilleur livre depuis l'armistice », Au milieu de la production littéraire du temps, ce roman était lui-même un étranger. Il nous venait de l'autre côté de la ligne, de l'autre côté de la mer; il nous parlait du soleil, en cet aigre printemps sans charbon, non comme d'une merveille exotique mais avec la familiarité lassée de ceux qui en ont trop joui; il ne se préoccupait

organisez votre pensée et faites le lien avec le roman. Voici l’ordre qui a été choisi en classe : I / « L’Etranger » n’est pas une œuvre engagée : Ce roman présente plutôt un désengagement au monde, Meursault est l’antihéros par excellence. Il est étranger au monde… A/ Meursault portrait de l’antihéros : Contrairement aux figures héroïques classiques de la littérature : Claude gueux, Achille… Meursault ne s’engage pas, il n’exprime pas d’opinions et ne prend pas parti : Ex = Lorsque Raymond bat

cinématographique a été réalisée par Luchino Visconti en 1967. L'œuvre étudiée, “L'étranger”, fut écrite par Albert Camus en 1942. Ce titre est très significatif car le roman raconte l'histoire d'un homme qui se sent un étranger dans la société. L’œuvre d’Albert Camus illustre : -une vision absurde de la société avec un recommencement perpétuel du monde, par exemple dans ce roman, l'histoire commence le matin et se finit le soir. -la fragilité de l’homme, par exemple lorsque Meursault ne se rend pas compte

Céleste » l30, de « chez Emmanuel » l36, du paysage lors du voyage en bus. -> Donc, un personnage enfermé en lui-même dont seul compte ce qu'il ressent Discours oral : structures simples 2- UN HEROS DESINCARNE : A- Indifférence de Meursault : Un étranger . Ses relations avec les autres sont marquées par l'indifférence et le manque de communication : - Indifférence par rapport à sa mère: absence d'émotion car il s'attache à l'analyse du télégramme et conclut:" Cela ne veut rien dire."l5 alors que

et tue l’Arabe sans le moindre état d'âme. Déféré à la justice, Meursault n'a pas conscience d'être un criminel. En prison, il passe le temps en dormant et en lisant. Lors de son procès, il provoque, par son indifférence, l’indignation du procureur, des jurés et même de son avocat. Il leur apparaît comme un étranger à leur univers  parce qu'il ignore les valeurs conventionnelles. On lui reproche non seulement le meurtre mais aussi d'avoir été insensible à l'enterrement de sa mère, puis de s'être

monde qui l’entoure (car il lui permet de rejoindre la femme qu’il aime : Clélia) et associe son état d’âme au chant des oiseaux qui sont enfermés comme lui dans une cage, qu’il trouve par assimilation « jolie ». Meursault semble extérieur (« étranger » selon le titre du roman) à tout ce qui l’entoure. Il n’est pas ravi d’être en prison, mais s’en contente et trouve le moyen de tuer le temps en se remémorant les détails de sa chambre. Il s’est soumis à l’autorité lorsqu’on lui a dit que fumer

rester au lit, caractérisé par un désintérêt ou une crainte d'affronter les difficultés Compulsion (=rituel) : actes ritualisés (toujours identiques) que le sujet est incapable de s’empêcher d’accomplir alors qu’il en perçoit le caractère inutile ou absurde Contamination : parasitage d’une idée ou d’une activité par une autre idée ou activité Conversion : troubles somatiques sans cause organique Délire : trouble du contenu de la pensée avec présence d’idées délirantes dont l’ensemble est systématisé

avec comme objectif une "rééducation de la population" qui a causé de violents massacres, notamment chez les intellectuels, opposants au régime, militaires, religieux, étrangers ... : les personnes étaient envoyées dans des camps de détention, de torture et d'exécution ou étaient exterminées, sur n'importe quel motif, même absurde. De plus, la population urbaine a été transférée dans les campagnes dans le but de ruraliser le Cambodge selon le modèle marxiste, laissant des villes « fantômes »

réveille en lui le souvenir de sa mère : ce fait exceptionnel est souligné par l’expression « pour la première fois ». En effet, c’est la première fois que M l’évoque longuement, après l’annonce froide de sa mort dans l’incipit et le refus d’en parler au procès. L’épilogue du roman fait donc écho à l’incipit. | III 1 | Marques de la première personne+ verbes de perception, de sentiments | Je crois que j’ai dormij’ai pensé à maman.Il m’a semblé que je comprenais pourquoiEt moi aussi, je me suis senti prêt

découpez la pièce en parties et en « scènes ». Donnez-leur un titre et indiquez les pages qui les délimitent quand cela n’a pas été fait dans le schéma suivant : Partie I : Le Prologue, p. 9-13. Partie II : Vers le drame, p. 13-53. Scène 1 : Etranges confidences d’Antigone à sa nourrice, p. 13-21 Scène 2 : ………………………………………………………………………………………………… Scène 3 : Dernières recommandations d’Antigone à sa nourrice, p. 31-36. Scène 4 : …………………………………………………………………………………………………. Scène 5 : L’irrémédiable