L Allemagne Dans Les Relations Internationales De 1945 à 1961

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Le monde communiste après 1945 La cohérence du communisme : La nature du communisme est très ambiguë, entre facteur d’unification et de division. Il réunit des peuples très dissemblables par leur histoire, leur identité culturelle ou ethnique ; cette disparité est contrôlée par une construction unitaire ayant une politique commune : le parti. La cohésion ne peut être que de nature idéologique entre des composantes aussi variées ; les buts sont la rupture avec l’ordre préexistant et la propagation

Relations Internationales TD Équilibres géopolitiques et grands affrontements mondiaux de la fin du XIXème siècle à 2010. « La position de l’URSS de Khrouchtchev à Gorbatchev » P 8 : corpus documentaire 2. Déstalinisation, 31 octobre 1959. Khrouchtchev est un mineur de formation, il rejoint les gardes rouges et participe à la guerre civile. Il commence une carrière tardive mais rapide car il est soutenu par Staline. Il est membre du comité central du PCUS (Parti Communiste de l'Union Soviétique)

Conférence de Yalta Tenue du 4 au 11 février 1945 dans le palais de Livadia situé dans les environs de la station balnéaire de Yalta, sur la côte de la mer Noire, en Crimée, la conférence de Yalta réunit en grand secret les chefs de gouvernement de l'Union soviétique (Joseph Staline), du Royaume-Uni (Winston Churchill), des États-Unis (Franklin D. Roosevelt) dans les buts suivants: _adopter une stratégie commune afin de hâter la fin de la guerre; _régler le sort de l’Europe après la défaite du IIIe

A. L’entrée en guerre des Etats-Unis (1917) La guerre européenne devient mondiale après l’intervention des Etats-Unis en 1917. Le 11 Novembre 1918 est signé l’Armistice. Les américains pensaient que la paix serait négociée d’après les 14 points du président Wilson qui prévoyait une paix mondiale grâce à la création de la SDN, censée assurer la paix et la sécurité dans le monde, à une limitation des stocks d’armes et un droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Wilson n’arrive pas à imposer

A Plusieurs reprises, durant toute cette période, le monde semble à nouveau proche de la guerre. La mort de Staline, le 5 mars 1953, marque un premier changement et le dernier moment de tension se situe en 1962 avec la crise de Cuba. I. L’INSTALLATION DE LA GUERRE FROIDE A/ La formation des blocs 1) Les origines de l’opposition est-ouest (1945-1946) Elles découlent de l’inquiétude croissante des EUA face aux agissements de l’URSS en Grèce, en Turquie et en Europe centrale et orientale.

Churchill utilise pour la première fois l'expression "rideau de fer". L'ancien chef d'Etat britannique déclare : "De Stettin dans la Baltique jusqu'à Trieste dans l'Adriatique, un rideau de fer est descendu à travers le continent." Il termine son allocution en exhortant les pays d'Europe occidentale à contrecarrer le pouvoir communiste afin "d'établir dans tous les pays, aussi rapidement que possible, les prémices de la liberté et de la démocratie." Bien que Churchill ne soit plus Premier ministre, son

Première Guerre Mondiale (1914-1918) |G | | |U |Mobilisation des hommes (au front, les poilus pour combattre ; à l’arrière, les civils qui travaillent, prêtent de l’argent, | |E |écrivent des lettres de soutien) | |R |

l’extension du modèle soviétique. Les Etats-Unis sont donc plus présents dans les relations internationales parce que l’enjeu idéologique est l’antagonisme de deux systèmes : le modèle de la démocratie capitaliste d’une part et le modèle de la dictature communiste d’autre part. Le monde s’est également transformé sur un autre point géopolitique : la décolonisation. Le Tiers-monde émerge et rajoute un troisième pôle à l’équilibre bipolaire. L’enjeu consiste donc en la présence américaine ou soviétique

« guerre froide » a été employée pour la première fois par le prince Juan Manuel d'Espagne, au XIVe siècle, pour désigner l'interminable conflit qui opposait alors les Rois Catholiques aux Maures d'Andalousie. Non certes qu'il ne fît pas couler le sang. Mais il présentait cette double originalité de n'avoir pas été précédé d'une déclaration de guerre et d'être voué à s'achever sans traité de paix. L'usage contemporain, même si l'on a pu parler de « guerre froide » sino-soviétique, ou, à propos des événements