L'Alouette

un raisin muscat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas L'un court et l'autre a des ailes De Bretagne ou du Jura Et framboise ou mirabelle Le grillon rechantera Dites flûte ou violoncelle Le double amour qui brûla L'alouette et l'hirondelle La rose et le réséda ANNONCE DES AXES I - Le récit d'un épisode type de la Résistance II - Le registre épique III - De nombreux procédés d'amplification ETUDE I - LE RECIT D'UN EPISODE TYPE DE LA RESISTANCE Ce poème

belle-mère qui l'a su était mécontente. Elle l'a prise en haine de plus en plus. Elle nourrissait une flamme de venin contre la princesse Chûjô. Un jour, elle a ordonné à son serviteur, "Tuez! Tuez-la! Emmenez-la dans Hibari-yama (le montagne de l'Alouette), et après, tuez-la!" Le serviteur l'a emmenée à contrte-coeur. Il ne pouvait pas la tuer, parce qu'elle était si belle et si sympathique. Le serviteur lui a dit, "Ecoutez-moi, la princesse Chûjô. J'ai reçu l'ordre de vous tuer de votre belle-mère

encore le Pic noir, affectionnant les boisements riches en vieux arbres. Les milieux ouverts ou semi ouverts sont le refuge de nombreuses autres espèces. Les pelouses constituent le terrain de chasse de passereaux tels que la Pie grièche écorcheur ou l'Alouette lulu. Les prairies et les cultures abritent et nourrissent certains rapaces tels que les Milans noir et royal, le Busard Saint-Martin. Ce site est constitué par le bassin versant topographique de la haute vallée de la Loue et de ses afférences

les Busards des roseaux, les cygnes tuberculés, les Aigrettes garzettes, les Hérons cendrés, les Ibis sacrés, les Tadornes de Belon, les Vanneaux huppés, les Hérons garde-bœufs, l'Echasse blanche, les Linottes mélodieuses, le Cisticole des joncs, l'Alouette des champs, les Macreuses noires, le Goéland à bec cerclé, les Grèbes à cou noir, les Bécasseaux violets, les Tournepierres à collier, le Fou de bassan, la Mouette tridactyle et le Pingouin torda. Ils apparaissent tous sur le littoral de l’île

un raisin muscat Celui qui croyait au ciel Celui qui n'y croyait pas L'un court et l'autre a des ailes De Bretagne ou du Jura Et framboise ou mirabelle Le grillon rechantera Dites flûte ou violoncelle Le double amour qui brûla L'alouette et l'hirondelle La rose et le réséda Analyse du poème : Louis Aragon est un poète romancier et journaliste du 20ème siècle. Il écrit de la poésie pour soutenu

Becket sa maitresse On parcourt l’histoire à l’envers. 3. L’apparition de Becket (mort) Pas d’ambiance de fantôme (≠ de Hamlet). Un dialogue complètement naturel, sans étonnement entre le Roi et Becket. Deux parallèles : -Prologue de l’Alouette Les personnages parlent entre eux de la pièce qu’ils vont jouer . -Prologue d’Antigone Récit de l’action qui va avoir lieu. Créer l’émotion propre a la tragédie : déroulement implacable d’une action connue vers une fin connue. Conclusion

prisme, ou le duvet qui flotteEn l’air, comme sur l’onde un vaisseau sans pilote ;Et lorsque je suis las je me laisse endormir,Au murmure de l’eau qu’un caillou fait gémir,Ou j’écoute chanter près de moi la fauvette,Et là-haut dans l’azur gazouiller l’alouette. Théophile Gautier, Premières Poésies

un raisin muscat  Celui qui croyait au ciel  Celui qui n'y croyait pas  L'un court et l'autre a des ailes  De Bretagne ou du Jura  Et framboise ou mirabelle  Le grillon rechantera  Dites flûte ou violoncelle  Le double amour qui brûla  L'alouette et l'hirondelle  La rose et le réséda Louis Aragon Les fusillés de Châteaubriant Ils sont appuyés contre le ciel Ils sont une trentaine appuyés contre le ciel, Avec toute la vie derrière eux Ils sont pleins

1 _ vous ne comprendrez pas ceci facilement, ainsi le meilleur que je vous dis rapidement. maintenant mon nom est Rose. font vous l'aiment ? je chuchote que ces nouveaux nom et été m'entoure : les fleurs et l'alouette et les brises et moi de tranquillité oublions le bateau et les personnes serrés fortement contre moi serrant les pensées hors de ma tête. un nouveau nom ne peut pas faire à votre fille une personne différente, matka, et tous vous m'avez enseigné qu'est le nom pour toujours. mais maintenant

froids s’allongent ; Et dans son col se plongent Les couteaux des piqueurs. Et lorsque de ce rêve Qui jamais ne s’achève Mon esprit est lassé, J’écoute de la source Arrêtée en sa course Gémir le flot glacé, Gazouiller la fauvette Et chanter l’alouette Au milieu d’un ciel pur ; Puis je m’endors tranquille Sous l’ondoyant asile De quelque ombrage obscur. Théophile Gautier, « Premières Poésies » Bonne pensée du matin A quatre heures du matin, l’été, Le sommeil d’amour dure encore.