L American Way Of Life

Gardée secret, on n'en connaît que le nom : 7X. Aujourd'hui encore, moins d'une dizaine de personnes dans le monde sont au fait des proportions exactes des divers ingrédients. La recette dort quelque part dans la chambre forte de la « Trust Company of Georgia » à Atlanta. Pour promouvoir son produit, Asa Candler franchit un nouveau pas dans l'exposition publicitaire. Quantité d'objets sont frappés du logo : des « Soda-fountain », des horloges, des calendriers, des lampes, des verres, des portes-feuilles

poussant un caddie qui déborde de produits. Son regard est vide, fatigué. Elle a une cigarette dans la bouche et des bigoudis dans les cheveux. Cette femme sculptée et habillée de réelles vêtements traduisent le miroir de la société américaine « American way of life ». Pour effectuer ses sculptures il fait appel à de réel modèle vivant pour faire des moulages de leur corps afin d’offrir aux spectateurs une réelle vision de la vie quotidienne américaine. Il se veut hyperréaliste. Les vêtements, les

œuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque aux Etats-Unis (y compris les bigoudis même si c’est difficilement imaginable pour des Européens !) . Dans cette scène, c’est plutôt la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée. Duane Hanson dresse un constat : la consommation de masse, qui se traduit par l’achat par tout le monde des mêmes choses au même endroit (et souvent au même

dresse un portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette oeuvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat

forme de contestation contre la domination américaine, l’effondrement de l’URSS constitue une réaffirmation de cette hyperpuissance. Le monde, aujourd’hui multipolaire n’affaiblit pas cette puissance qui a un impact culturel mondial, c’est la « american way of life ». Ce mode de vie dicte des valeurs ancrées dans des sociétés à jamais touchées par les États-Unis.

« repli sur la sphère privée ») → Capitalisme fondé sur le marché permettant à « la main invisible » d'opérer (expliquer) / Implication minimum de l'Etat / Mythe de la ruée vers l'Or, des grands entrepreneurs → Richesse à la portée de tous / American Way of Life → Mythe très loin de la réalité : pas de mobilité sociale (coûts élevés éducation → alors que ces diplômes de l'Ivy League surreprésentés dans l'élite : parler de « At Berkeley ») C) Un nouvel âge des inégalités aux Etat-Unis → Aggravation

dimension symbolique : A travers cette femme, l’artiste représente le consommateur comme une personne droguée, endormie et presque sans vie errant dans les rayons d’un supermarché en poussant son caddie. Dans cette, c’est la médiocrité de l’ « American way of life » et plus généralement la société de consommation occidentale qui est soulignée et critiquée, dressant face au spectateur un miroir dans lequel il peut se reconnaitre. La consommation de masse de laquelle l’achat par tout le monde des mêmes

dresse un portrait peu flatteur de la ménagère étatsunienne moyenne de la fin des années 1960. Pourtant, cette uvre n’est pas une caricature : un tel personnage fait partie du quotidien de l’époque. Dans cette scène, c’est la médiocrité de l’« American way of life » et plus généralement de la société de consommation occidentale qui est soulignée, dressant face à chacun de nous un miroir. Le consommateur apparaît comme un drogué ou un zombie errant dans les rayons d’un supermarché, seul. L’acte d’achat

one billion bottles are sold every day. On the other hand, Coca-Cola has become one of the symbols of the United States and the “American way of life”. The Coca-Cola Company, established in 1887, gave the impression of a drink in full harmony with the joy and the liberty, which is usually showed in commercials. In more than 120 years, the Coca-Cola Company has kept developing itself to count today around ten kinds of Cola drinks and about five hundred brands. But Coca-Cola is not a real monopolist

niveaux de vie (46 000$ au Nord ≠ 13 900$ au Sud, un des pays les + inégalitaires au monde), deux modes de vie : Gémellité artificielle des Twin Cities (San Diego/Tijuana, El Paso/Ciudad Juarez, Brownsville/Matamoros). American « soft power » / Mexicanada ( l’  « American way of life » séduit. L’Amérique voit en la frontière un véritable bastion de la défense de ses intérêts. Les ressources en capital et l’ampleur du marché américain conditionnent l’économie mexicaine, dont la subordination au dollar