L'Ami retrouvé

Le cadavre d'un homme est retrouvé sur une pirogue, en pleine forêt amazonienne, et les habitants d'El Idilio accusent aussitôt les indiens. Antonio José Bolivar reconnait pourtant là l'œuvre d'un félin. Ce passionné de romans d'amour va s'enfoncer dans la forêt, à la poursuite de la bête. Antonio José Bolivar Proaño (car il a été dans la brigade Simón Bolívar) vivait dans une grande ville de la Cordillère des Andes. Mais, pour sa femme (Dolores Encarnacion del Santisimo Sacramento Estupiñan Otavalo)

Louis XIV. Structure de l’œuvre : simplicité de l’intrigue. Le héro connait peu d’aventures (par rapport à Candide), il n’effectue qu’un déplacement depuis la Bretagne jusqu’à Versailles. Le héro se retrouve, à la moitié du récit, dépourvu de toute initiative. Ce n’est qu’à la fin, qu’il retrouve sa liberté de mouvement grâce à l’intervention de mademoiselle de Saint-Yves. Problématique : Histoire singulière de « l’ingénu », rencontre de deux cultures, car breton par ses parents et huron puisqu’élevé

café aulait et fume. il participe à la veillée funèbre en compagnie des vieillards qu’il assimile à un tribunal. Le lendemain matin, le cortège se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault fait la connaissance de Thomas Pérez, l’ami de sa mère. Après la cérémonie à l’église puis l’enterrement au cimetière, Meursault ressent un apaisement en retrouvant Alger. CHAPITRE 2 Le lendemain de l’enterrement, un samedi, Meursault va se baigner et rencontre Marie Cardona, une jeune femme

disparition, Augustin n’avait en vérité pas d’autre intention que de ramener les grands-parents Charpentier. Mais, ne connaissant pas le chemin, il s’était égaré. Après quelques péripéties au cours desquelles il avait perdu sa jument, il s’était retrouvé dans un domaine étrange et en fête, peuplé d’enfants qui semblaient faire la loi. Il y avait trouvé une chambre et s’y était endormi, épuisé. Avec des vêtements trouvés dans la chambre, Augustin s’était habillé et avait participé à la cérémonie.

bon lecteur RESUME Histoire d’une amitié quasi fraternelle entre deux hommes, deux marchands d’art, un Juif américain, Max Eisenstein, et un Allemand, Martin Schulse. Lorsqu’en 1932, celui-ci décide de retourner dans son pays d’origine afin de retrouver ses racines - ses enfants parlent d’ailleurs « un allemand très approximatif », les deux amis s’échangent des lettres qui traitent à la fois de leur commerce et de leur amitié. Au fil de la correspondance, les rapports entre les deux hommes évoluent

probablement la guerre qui fait rage à l’extérieur à en juger par le costume militaire du personnage de l’Ami, et donnent le rythme du spectacle, habituellement lent lorsque la lumière diminue et rapide, des fois trop, lorsqu’elle est intense. La noce que nous propose Hlady présente une symbolique raffinée qui laisse place à l’interprétation. Parmi les éléments les plus frappants, on retrouve les meubles et la corneille. Il semble inimaginable de faire abstraction du symbole des meubles dans cette

vieillards qu’il assimile à un tribunal (”J’ai eu l’impression ridicule qu’ils étaient là pour me juger”). Le lendemain matin, le cortège se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault fait la connaissance de Thomas Pérez, l’ami de sa mère. Après la cérémonie à l’église puis l’enterrement au cimetière, Meursault ressent un apaisement en retrouvant Alger. CHAPITRE 2 Le lendemain de l’enterrement, un samedi, Meursault va se baigner et rencontre Marie Cardona, une jeune

Incendies  : Comparaison pièce de théâtre/ film L’intrigue1. Comment expliquez le titre ? Le titre Incendies peut d’abord faire référence à plusieurs scènes du film comme de la pièce. On peut d’abord citer la scène du film où Nawal est devant un bus musulmans qui a été brûlé par des chrétiens. Mais d’autres incendies ont eu lieu dans le film. Par exemple, lorsque Nawal arrive à l’orphelinat où elle espère trouver son enfant, on lui apprend que celui-ci a été incendié

solide et sûr, qui vit avec sa mère à côté des Coupeau, devient l’ami de Gervaise. Un jour, Coupeau tombe d’un toit et se casse une jambe. Le couple doit puiser dans les économies. Goujet prête de l’argent à Gervaise pour lui permettre de s’établir blanchisseuse. Le commerce fonctionne plutôt bien, et Gervaise engage deux ouvrières. Elle gagne correctement sa vie mais ne parvient pas cependant à rembourser Goujet. Gervaise retrouve Virginie qui lui donne des nouvelles de Lantier. Coupeau, lui, n'a

est à concevoir comme indépendante de toute attache naturelle c’est-à-dire un ami n’est pas un parent. Comme le considère Jean Guitton & Jean-Jacques Antier. Pour que l’amitié naisse véritablement, il faut également qu’elle soit partagée ce qu’on retrouve dans la fable de La Fontaine. Les français en petite portion seraient ainsi prêt a ne plus fréquenter leurs famille pour entretenir une bonne amitié comme le montre le tableau de sondage de l’Express n° 2546. Selon Pierre Poitier dans La merveilleuse