L'Ami retrouvé

natal, aux vieux parents normands qui “avaient voulu faire de leur fils un monsieur ” (P. 66-67) : il ne les décevra pas. Mais la plume le trahit et il doit se rendre auprès de Forestier pour lui expliquer ses difficultés. Toujours compréhensif, l'ami le pousse à rencontrer sa femme, elle-même journaliste de talent, experte en l'art d'écrire des chroniques. Madame Forestier, énigmatique et sûre d'elle-même, écoute son récit algérien et montre à Duroy, médusé, comment on s'y prend pour offrir

compréhension d'un message visuel. ( Voir cours pour les différentes figures de style ) B - La musicalité de la langue : le slogan comme le vers Le travail stylistique d'un message ne se résume pas seulement à l'usage de figures de style. On le retrouve aussi dans la dimension musicale du langage : rythme et sonorités. C'est, en particulier, le cas des slogans publicitaires. 1 - Les rythmes C'est par leur aspect rythmique que se démarquent les slogans : bref et condensés ils favorisent la

des fractures…             Un poème qui nous mène à réfléchir sur ce phénomène d'enfants de la rue qui constitue un réel danger pour la société et ces enfants eux-mêmes mènent une vie malheureuse et sans aucun avenir certain. Ces enfants  sont retrouvés dans la prostitution (ici on voit la propagation des maladies sexuellement transmissibles), ce sont eux qui piquent des poches d'honnêtes gens de l'argent et des documents importants dans les marchés ou dans les rues, ou encore les bandits recrutés

documents chez le directeur. Il lui demande, si il veut voir sa maman une dernière fois. Il répond que non. Le cortège (Beerdigungs »umzug ») se met en route vers le cimetière sous un soleil de plomb. Meursault fait la connaissance de Thomas Pérez, l’ami de sa mère. Le soleil tape beaucoup et le soleil est beaucoup mentionné. Il parle avec une infirmière qui parle aussi du soleil. Mais pour Meursault, on ne peut pas fuir du soleil. Après la cérémonie à l’église puis l’enterrement au cimetière, Meursault

père musicien, mère maquilleuse TV et adepte d’une voyante, Sandokan Tristan est bizarre. Isa a peur qu’il la laisse tomber. Sofie conseille à Isa de faire du voodoo soi disant super pour récupérer/fidéliser les garçons. Entretemps Cato perd et retrouve son chat et les filles se maquillent. Sofie prépare le rite voodoo : fermer les rideaux, 2 bougies sur la table, de l’encens et sur la table une poupée qui ressemble à Tristan. Isa doit mettre la poupée sous le lit de Tristan mais comment faire

ne sait pas encore, l’identité qu’il va prendre m) Considéré comme mauvais pratiquant, il ne sera pas rabbi, au contraire, éprouve une méfiance tenace envers les gens et les lois qui savent, et qui empêchent aux gens de réfléchir. Essaie de retrouver la parole de Dieu dans ses méditations et non dans les lois n) Au contact de Rebecca, se rend compte qu’il préfère rendre son amour a tout le monde et aux plus défavorisés plutôt que de consacrer égoïstement son bonheur a une personne. o)

poste de journaliste. Suite à son échec, il décida de retourner à Douai pour y recopier ses poèmes connus sous le nom de Cahier de Douai et les remettre à Paul Demeny (auteur des Glaneuses et l’ami d’Izambard). Toute la famille s’inquiétait pour lui, mère décida alors de faire appel à la police pour le retrouver. Retourné à Charleville, l’école étant fermée, il en profita pour dévorer des livres à la bibliothèque. Il me contait aussi ses promenades dans la campagne et ses causeries avec son camarade

nouvelle du départ de son fils pour l’Amérique, il rencontra par hasard –à Paris– le fidèle ami de ce dernier, Tiberge. Ils se donnèrent donc rendez-vous dans l’après-midi, Jardin des Tuileries. M. Des Grieux éprouvant beaucoup de respect pour l’ami de son fils, l’embrassa avec tendresse. Tiberge, timidement : « Oh monsieur, comme je déplore le comportement de votre fils. - Vous n’êtes pas le seul, Tiberge… Mais enfin, a-t-on idée d’aller s’acoquiner avec une fille de joie ? - Avec tout

études universitaires. Sa connaissance parfaite du japonais, langue qu'elle maîtrise pour y avoir vécu dans son enfance, lui permet de décrocher un contrat d'un an dans une prestigieuse entreprise de l'empire du soleil levant Fred UHLMAN : L’ami retrouvé. Âgé de 16 ans, Hans Schwarz, fils unique d'un médecin juif, fréquente le lycée le plus renommé de Stuttgart.  Il est encore seul et sans ami véritable lorsque l'arrivée dans sa classe d'un garçon d'une famille protestante d'illustre ascendance

seconde portera sur le portrait physique de ce personnage , puis nous étudieront la psychologie complexe de ce dernier. I) L'arrivée de Laurent chez les Raquin a) Le regard de Camille Camille est admiratif de Laurent. Il le considère comme l'ami qui a réussit dans la vie, qui a un travail ... Il est fier d'avoir un ami pareil et c'est un honneur de le recevoir dans sa famille , et de le présenter a sa famille. b)La relation Thérèse/Laurent Ici, c'est le regard de Thérèse qui se traduit