L Amour Et Le Crâne

les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau plant d’olivier ; seulement sa grosse tête l’entraînait toujours, et c’était pitié de le voir se cogner à tous les meubles en marchant… Il tombait souvent. Un jour, il roula du haut d’un perron et vint donner du front contre un degré7 de marbre où son crâne sonna comme un lingot. On le crut mort, mais en le relevant, on ne lui trouva qu’une légère

couleur de la voile : jalouse, elle lui répond qu'elle est noire. Tristan meurt. Iseult la Blonde arrive trop tard et meurt de chagrin. Mais sur leurs tombes, un cep de vigne et un rosier plantés par le Roi Marc s'enlacent à jamais, preuve que leur amour survit, même après la mort. 4. Le Livre : 1. Genre du livre Ce livre est du genre aventure et romantique. 2. Statut du narrateur Le narrateur est omniscient. 3. Cadre L’histoire se déroule en Cornouaille (la Bretagne

début du poème, le poète nous fait ressentir en lui un sentiment de haine envers son peuple, le peuple martiniquais et envers sa terre natale et au fur et à mesure que le livre avance, cette haine exprimée par Césaire au début va se transforme en un amour fraternel comme si tout était déjà oublié. Les deux mots « debout et libre » renforcent cette idée de réconciliation. 2) Pour moi, un des passages qui semble être un des souvenirs personnels de l’enfance antillaise de Césaire se situe à la page 54

Cette ronde des temps associés aux motifs de la danse traduit la folie de Salomé, elle tue par amour et veut rester seul l’objet de son amour. On voit que dans ce poème elle écarte toute complicité, son seul confident est le fou (v14). Cet image est associé à une image littéraire dans Hamlet de Shakespeare (rappel un épisode ou Hamlet porte le crâne de Yorick, ici c’est Salomé qui porte le crâne de JB) (= intertextualité). Le motif de la décapitation traverse tout Alcools. 1. Le motif de l’enterrement

comprenait rien au téléphone. Avec une gaieté excessive, Frances lui dit d’aller les voir de suite. Tous deux voulaient avouer leur amour mais pensant que ce n’était pas réciproque, ils ne le firent pas et Douglas partit chez les Greame. Sybil lui expliqua que l’expédition consistait à l’étude d’une mandibule à trois dents trouvées par Kreps, un géologue allemand et de trouver le crâne et le squelette pour peut-être trouver le chaîne manquant à la chaîne de l’évolution, le dernier chaîne entre le singe et

les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau plant d'olivier ; seulement sa grosse tête l'entraînait toujours, et c'était pitié de le voir se cogner à tous les meubles en marchant... Il tombait souvent. Un jour, il roula du haut d'un perron et vint donner du front contre un degré de marbre, où son crâne sonna comme un lingot. On le crut mort, mais en le relevant, on ne lui trouva qu'une légère

odeurs Moi je décrivais tous les jours mon amour à Madeleine La neige met de pâles fleurs sur les arbres Et toisonne d'hermine les chevaux de frise Que l'on voit partout Abandonnés et sinistres Chevaux muets Non chevaux barbes mais barbelés Et je les anime tout soudain En troupeau de jolis chevaux pies Qui vont vers toi comme de blanches vagues Sur la Méditerranée Et t'apportent mon amour Roselys ô panthère ô colombes étoile bleue

pensée. Que ça soit en prose où en vers ou des calligrammes ma poésie aura toujours pour but de m’exprimer, d’expirer ce qui me ronge, m’enflamme et me réjouit. Dans tous les poèmes que je vous ai adressés, seul un sentiment a dominé : amour. Mais si à travers cet amour c’est toute ma souffrance que je laisse paraitre c’est que j’en ai besoin. Oui j’ai besoin d’exprimer mes regrets, mon désespoir ; je ne sais si la poésie les atténuent, je ne sais si cela vous touche, je ne sais rien de cela. Mais je

les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau plant d'olivier ; seulement sa grosse tête l'entraînait toujours, et c'était pitié de le voir se cogner à tous les meubles en marchant... Il tombait souvent. Un jour, il roula du haut d'un perron et vint donner du front contre un degré de marbre, où son crâne sonna comme un lingot. On le crut mort, mais en le relevant, on ne lui trouva qu'une légère

les médecins pensaient que cet enfant ne vivrait pas, tant sa tête était lourde et son crâne démesuré. Il vécut cependant et grandit au soleil comme un beau plant d'olivier ; seulement sa grosse tête l'entraînait toujours, et c'était pitié de le voir se cogner à tous les meubles en marchant... Il tombait souvent. Un jour, il roula du haut d'un perron et vint donner du front contre un degré7 de marbre où son crâne sonna comme un lingot. On le crut mort, mais en le relevant, on ne lui trouva qu'une légère