L'Ange bleu

botte elle-même et les diagonales allant vers la droite sont formées par les ombres. Á l’arrière plan, il y a un fond blanc très lumineux, peut-être pour contrasté avec la botte bleu et symbolisé le soleil. Au premier plan, au centre, nous avons une botte de couturier bleue(couleur pouvant rappeler la mer ou le fond bleu sur lequel on projette la météo), sur celles-ci se retrouve les symboles de la météo avec les températures. Á coté de la botte(en haut à gauche), se tiennent deux verres remplis

embellissant notre vie bleue ardoise errance à travers la ville la foule nous berce le verbe nous allaite magie d’une histoire ordinaire un chapitre béni est gravé un musicien joue du piano le colombophile respecté écrit son roman de gestes simples l’ange éphémère annule l’hypocrisie de ses congénères son parchemin reflète son âme extraordinaire alchimie des mots, tu nous fais gagner la bataille à la croisée des différences Sybille Rembard, 2012 Poème classé dans Amitié, Authenticité, Condition

s'agit d'un paysage marin ; Baudelaire n'évoque ni la montagne, ni la campagne, ni un lac comme Lamartine ; absence de rives, d'obstacles. Mélange de plaisir et de douleur. "Grand délice" reprend "sensations délicieuses" (cf. Hölderlin, "le bleu délicieux du ciel"), expression mystique... "que celui de noyer son regard dans l'immensité du ciel et de la mer !" Deuxième phrase exclamative qui traduit l'enthousiasme, le lyrisme ; jeu de mots sur "noyer" et "mer", volonté d'oubli, d'inconscience

Le spirituel : Habité par la foi, Gauguin a mis dans la majorité de ses œuvres un signe du divin. Mais face aux problèmes intérieurs que lui pose la religion, son Dieu est polymorphe : inspiré par la religion catholique (« La lutte de Jacob avec l’ange », « le Christ jaune », « Ia orana Maria »), par la religion polythéiste des îles (sculpture : « L’idole à la coquille » ; peinture : « Parau na te varua ino »), mais aussi par les religions orientales. Dans « D’où venons-nous ? Que sommes-nous ?

du coeur Tout amoureux, de sa maîtresse, Sur son coeur ou dans son tiroir, Possède un gage qu'il caresse Aux jours de regret ou d'espoir. L'un d'une chevelure noire, Par un sourire encouragé, A pris une boucle que moire Un reflet bleu d'aile de geai. L'autre a, sur un cou blanc qui ploie, Coupé par derrière un flocon Retors et fin comme la soie Que l'on dévide du cocon. Un troisième, au fond d'une boîte, Reliquaire du souvenir, Cache un gant blanc, de forme étroite

prête à tout une calme attention ; il mange bien en imitant ton geste »  « efface doucement les quelques rides que fait la nappe sous ton pain »  . Rainer Maria RILKE   (1875-1926) Reste tranquille, si soudain Reste tranquille, si soudain l'Ange à ta table se décide ; efface doucement les quelques rides que fait la nappe sous ton pain. Tu offriras ta rude nourriture pour qu'il en goûte à son tour, et qu'il soulève à sa lèvre pure un simple verre de tous les jours. Ingénuement

pavots. Ce furent d’abord des voix que tu as entendues. Feutrées, entrecoupées des éclats de rire d’un homme. Puis au détour d’un sentier, ils se sont tous donnés à ta vue. Partout les pavots bleus, si denses que le sol était devenu parfaitement bleu, et au milieu de ce fleuve, un homme accroupi devant une femme très digne, toute droite. Elle tenait un grand panier d’osier, tandis que l’homme cueillait des pavots et les déposait très délicatement dans le panier. Son visage était tendu vers

dans ses essais critiques sur les peintres des trajectoires ascendantes qui réservent l'acmé aux objets les plus admirés, qui sont aussi les plus significatifs : ainsi le texte sur Delacroix s'achève avec la description interprétative de Jacob et l'Ange du Seigneur et « Le quartier de Meryon » culmine sur un long commentaire de «Collège Henri IV ou Lycée Napoléon». On pourrait montrer en outre que la description du tableau « réel » reprend certains traits des Courbet commentés précédemment et se

de noyers ou de cerisiers et les plans sinueusement étalés coulent vers la plaine en cuvette pour épouser à la fin de la course le complément de bleu d'outre-mer éthéré qui s'étale en face. " Oui - et il le dit d'ailleurs plus loin - voilà bien ce qui le ravit, le mariage du sol ocré et de la montagne bleue, car je ne vous l'ai pas dit encore, le bleu c'est la ligne bleue des Vosges et le sol c'est celui du Sundgau, cette partie de l'Alsace entre Mulhouse et la frontière Suisse. " Je suis Sudgovien

habits puant la foire et tout vieillots, Conversaient avec la douceur des idiots ! Et si, l'ayant surpris à des pitiés immondes, Sa mère s'effrayait ; les tendresses, profondes, De l'enfant se jetaient sur cet étonnement. C'était bon. Elle avait le bleu regard, - qui ment ! A sept ans, il faisait des romans, sur la vie Du grand désert, où luit la Liberté ravie, Forêts, soleils, rives, savanes ! - Il s'aidait De journaux illustrés où, rouge, il regardait Des Espagnoles rire et des Italiennes