L'Angélus

il dit a son médecin "Il y a des jours où j'ai rudement envie de me foutre une balle dans la tête. Je ne peux pas lire, toute lettre que j'écris me donne un mal... Dieu que j'en ai assez de la vie." Un an après il se coupe la gorge à nice . L'angelus est commencé mais elle ne sera jamais fini car maupassant sombre dans l'anéantissement , il fait beaucoup de malaise et les médecins décide de l'incarner le 7 janvier 1892 où il mourra le 6 juilliet 1893 .

Honteux d’être vu ramassant un vulgaire bout de ficelle, il le fait disparaître rapidement dans sa poche et fait semblant de chercher autre chose puis, s’éloigne vers le marché où les tractations mènent bon train entre vendeurs et acheteurs. A l’angélus de midi, le marché se vide et la plupart des paysans se reversent dans les auberges. Au roulement de tambour un crieur public fait savoir a tous les présents qu’il a été perdu un portefeuille contenant 500 Francs et des documents et que toute personne

alors plusieurs voyages comme en Italie, en Sicile, ou encore en Angleterre, afin d'oublier la folie qui le guette. En 1892, il fait une tentative de suicide : il sombre peu à peu dans l'anéantissement. En effet, depuis près d'un an, un roman "L'Angélus" est commencé. L'œuvre restera inachevée. Il se fait interner par ses médecins le 7 janvier 1892 dans une clinique à Paris, où il meurt en juillet 1893, après de longs mois de délires et d'isolement à l'âge de 43 ans . Il est enterré au cimetière

(salle 1) 2. Une évolution se fait avec deux chefs de file : DELACROIX et COURBET a) Le romantisme : • DELACROIX La chasse aux lions 1854 (salle 6) Les autres tableaux sont au Louvre. b) Le réalisme • Jean-François MILLET : (salle 4) - L’Angélus entre 1857 et 1859 - Les glaneuses 1857 Réflexion sur le choix du sujet et la composition. • Gustave Courbet : les grands formats : - L’enterrement à Ornans (1849) - L’atelier du peintre (1854-1855) 3. L’impressionnisme 1. Le blanc

St Dominique Savio (1842-1857) Saint Dominique Savio naquit à Riva di Chieri, près de Turin. Il était le deuxième d’une famille de dix enfants. Doué d’une tendre piété et d’une intelligence précoce, dès l’âge de quatre ans Dominique récite l’Angélus trois fois par jour ; le récit de la Passion le bouleverse. A cinq ans, il assiste à la sainte messe qu’il est admis à servir avant d’avoir atteint ses six ans. Il s’acquittera toujours de cette pieuse fonction avec un grand recueillement. Sa ferveur

clochet, en train de regarder passer une femme en motocyclette. Le traitement de la couleur est intéressant, le rouge pour la vitesse et le camaïeu gris pour les paysans légèrement accroupis, pour ramasser leurs légumes mais peut-être aussi pour l'angélus. La religion du progrès passe devant leurs yeux et les oies sont là pour alerter comme elles l'ont fait au Capitole pour d'autres envahisseurs : crrrouààà... Le progrès dans son alliance de la machine et de la libération du corps et des moeurs semble

« Je vous salue ma France » Je vous salue ma France, arrachée aux fantômes ! Ô rendue à la paix ! Vaisseau sauvé des eaux… Pays qui chante : Orléans, Beaugency, Vendôme ! Cloches, cloches, sonnez l’angélus des oiseaux ! Je vous salue, ma France aux yeux de tourterelle, Jamais trop mon tourment, mon amour jamais trop. Ma France, mon ancienne et nouvelle querelle, Sol semé de héros, ciel plein de passereaux… Je vous salue, ma France, où les vents se calmèrent ! Ma France

foutre une balle dans la tête. Je ne peux pas lire, toute lettre que j'écris me donne un mal... Dieu que j'en ai assez de la vie." Un an après, à Nice, il s'ouvre la gorge. Il sombre peu à peu dans l'anéantissement. De fait, depuis un an un roman, L'Angelus est commencé mais malheuresement , l’oeuvre restera inachevée. Ses malaises sont de plus en plus fréquents et il quitte de moins en moins la chambre. Les médecins décident de l'interner le 7 janvier 1892 et c'est à la clinique qu'il mourra le 6 juillet 1893

-Les frères Goncourt, Germinie Lacerteux, 1865. -Zola, Les Rougon-macquart 1871-1893. -Maupassant, Une vie,1883. Peinture:-Gustave Courbet , Enterrement a Ornans, 1849 -:-Gustave Courbet, La pauvresse de village 1867 Jean-Francois Millet, L'Angélus, 1849. -Edgar Degas, Apres le bain, 1898. Honoré Daumier, La Blanchisseuse 1863 Sculture: -Auguste Robin , Les bourgeois de Calais, 1884. Chanson:-Aristide Bruant, Dans la rue, 1889-1909. Cinema:-Marcel Carné, Hotel du Nord, 1938. -Vittorio

(1887-1888), Sur l’eau (1888), et quelques récits de voyages. Rendu célèbre par sa première nouvelle, il travaille méthodiquement, et produit annuellement deux et parfois quatre volumes. En août 1890 il commence L’Âme étrangère, et en 1891, le roman L’Angélus, qu’il ne terminera jamais. La syphilis, attrapée durant sa jeunesse, ne cessera d’empoisonner l’existence du jeune homme. Cette maladie ne l’empêchera pas de voyager, Algérie, Italie, Angleterre, Bretagne, Sicile, Auvergne et même de faire une