L Animalité

l’automatisme de ses actes. La discipline empêche donc que l’homme soit détourné de sa destination, à savoir, celle de l’humanité, par ses penchants animaux. Eduquer et discipliner un enfant, c’est donc l’acte par lequel on dépouille l’homme de son animalité. Les hommes deviennent donc hommes par l’acculturation et l’éducation. (Bien sûr, derrière l’éducation, on trouve, non les parents, mais la société). Donc, la société, par le biais de l’éducation, exerce sa première influence sur l’individu, et s’attache

est Otto Dix ? Otto Dix est né en 1891, en Allemagne. De 1914 à 1918, après des études artistiques, il s’engage dans l’armée allemande, depuis le front, et il dessine la guerre sur son carnet la qualifiant de retour à la « sauvagerie » et à l’ « animalité ». De 1920 à 1924, il consacre une série d’œuvres à la Première Guerre mondiale. Avec celles-ci, il raconte son expérience de soldat et la sauvagerie du conflit, il critique la guerre, et essaie en vain de se libérer des horreurs qu’il a vu au front

semble comme cassé. La fille de maison close Elle est graisse A cause de l’in ferrement Bavarder, a foudre Peu flatteuse, animale, bestiale Comparaison avec les volailles L’approche la prostitue dans animaux, base cours Les bases cours Animalité Comparaisons animaliers vraiment fréquent Esther- un rat, une sorte de gamine Un bout de suif- la femme c’est la présentation, l’apparition de bout de suif La femme, une de celles appelées galantes, était célèbre par son embonpoint précoce qui

L'Homme est parfois esclave de ses sentiments et de ses émotions, qui n'obéissent à aucune logique et contre lesquels la culture ne peut rien. C'est cet instinct de vie dont parle Nietzsche. L'Homme est donc une créature double, partagée entre son animalité (il est soumis à des réflexes innés) et sa "spiritualité" (il est capable et même doit acquérir des connaissances). Pourquoi l'Homme éprouve-t-il le besoin de se séparer de ce qu'il a de naturel, pourquoi acquiert-il une culture ? L'acquisition

comportement : il est sûr de lui, il n'écoute personne, il se moque de ce qu'on peut lui dire, il n'a pas de remords et il méprise les croyants. Il les traite de « billevesées » (= sots) : il les trouve naïfs.l.58 : c'est « un enragé ». Cela souligne son animalité et son côté agressif. Il ne tient pas compte de ce qu'on lui dit._____5)__Un personnage hypocrite et manipulateur. Dans la réplique de Gusman de la ligne 41 à 50, on trouve les champs lexicaux de l'engagement et de l'amour : c'est ce que D.J. veut

vigueur littéraire et argumentative, fait peu à peu oublier qu'il s'agit d'une hypothèse. Caractéristiques et évolution de cet ETAT DE NATURE : A- L'homme naturel : physique : robuste, sain, adaptation au milieu technique : perfectibilité , animalité psychologie : amour de soi, instinct de conservation - indolence, seul souci de son existence actuelle, aucune prospective d'avenir, passions limitées à des besoins immédiats pas d'instinct de sociabilité : solitude, union fortuite, éphémère pour

technique. - Celui-ci apporte toujours les solutions aux problèmes qu’il pose. Pour remédier au progrès technique, il faut un surcroît de technique. - - Sans le progrès technique, l’homme ne serait point homme. C’est ce progrès qui l’a arraché à son animalité primitive. - Il humanise la technique. Miniaturisés, ergonomiques, sans effort, facilitant l’accès à l’information, etc. 3) Ce n’est pas le progrès technique dont qu’il faut craindre mais celui qui en commande l’usage. Plutôt que de chercher à freiner

L’Homme a-t-il naturellement besoin d’autorité ? « L’Homme est un loup pour l’Homme, quand on ne le connaît pas », écrivit Plaute dans sa comédie Asinaria , vers 195 av J.-C. L’inconnu, l’étranger, évoque irrésistiblement cet état brut auquel nous nous référons lorsque nous songeons sans trop y réfléchir, à ce que serait l’Homme « naturellement ». Resurgit alors chez certains, cette angoisse de la mort violente, à cause de l’incertitude de ce que l’inconnu pourrait

 » • Sans travail, pas d’espèce humaine C’est bien parce-que l’homme doit lutter contre la nature pour satisfaire ses besoins qu’il est amené à développer ses facultés physiques et intellectuelles, et de s’éloigner ainsi de son animalité originaire. Le travail oblige le moi à sortir de lui-même, il rapproche les êtres les uns des autres dans la poursuite d’un but commun à tous : cette conscience d’appartenir à une communauté qui le dépasse et de participer à son développement

ces quatre premiers vers : Au personnage de l’âne, il substitue le singe, animal également familier de la Fontaine, tandis qu’il remplace la peau du lion par celle du tigre. On retrouve les thèmes communs du déguisement, du paraître.    ▪ animalité et humanité, le discours et les « rugissements », le « grincement des dents », « l’antre entouré de carnage » ( la cour )     ▪ à rapprocher de deux fables de la Fontaine : "Le Loup devenu berger " ( III, 3 ) "L'Âne vêtu de la peau du Lion"