L'Année terrible

analyserons les violences contre les civils avec les génocides et autres massacres. Pour finir dans une troisième partie nous nous intéresserons au bilan humain de ces deux guerres meurtrières. Un bilan très lourd et monstrueux. Si 1914 est l'année la plus meurtrière du conflit, les soldats sont confrontés à partir de 1915 à une guerre inédite, la guerre de position. Ils s'enterrent dans des tranchés et s'engagent dans une guerre d'usure. Ils subissent la puissance de feu d'armes nouvelles plus

l’unité de temps : 7 années s’écoule entre la scene 1 ( 1945) et la scenen 10 (1952). L’atelier et donc une suite d’instant de vie. Il ne s’agit pas de s’appesantir sur un destin tragique mais d’éclairer de maniere fugace des histoire d’autant plus terrible qu’elle sont, replacer dans le contexte, banales. Pourtant au dela de cet apparent eclatement on voit se dessiner un parcours non pas celui d’un personnage mais celui de l’ensemble d’un personnage. En effet les scene 1 a 5 constitue une sorte

soif de savoir. En 1915, pendant la Première Guerre mondiale, il est incorporé à Briançon, puis est envoyé au front à Verdun et au Mont Kemmel, en Flandre-Occidentale (Belgique). Cette expérience de la guerre, au cœur d'une des batailles les plus terribles du conflit, va le traumatiser. Son meilleur ami et nombre de ses camarades sont tués à ses côtés. Lui ne sera que « légèrement » gazé. Il reste choqué par l'horreur de la guerre, les massacres, la barbarie, l'atrocité de ce qu'il a vécu dans cet

autobiographique de Wladyslaw Szpilman(mort en 2000) = pianiste juif survivant peu après la guerre lui a permis de réaliser son film sans parler de lui même. - Censuré puis interdit, il fut réédité cinquante ans plus tard et décrété meilleur livre de l'année 2001. - Szpilman lutte pour sa survie ; il n'est ni un combattant ni un héros, et assiste en spectateur à l’insurrection qu’il regarde par les fenêtres de ses caches successives. ANALYSE AFFICHE FILM - photographie de Pawel Edelman - elle met

mais publie néanmoins des recueils de poésies : Les Feuilles d'automne (1831), Les Chants du crépuscule (1835), Les Voix intérieures (1837), Les Rayons et les Ombres (1840). Déjà en 1828, il avait monté une œuvre de jeunesse Amy Robsart. L'année 1830 est l'année de création d’Hernani qui est l'occasion d'un affrontement littéraire fondateur entre anciens et modernes, ces derniers, au premier rang desquels Théophile Gautier, s'enthousiasmant pour cette œuvre romantique — combat qui restera dans l'histoire

dans le but de faire réaliser aux lecteurs et aux spectateurs qu’il va bientôt mourir ; pour ainsi provoquer de la pitié envers Louis : « Plus-tard, l’année d’après, j’allais mourir ». C’est un personnage monotone voire triste que l’on retrouve dès le début. Louis à l’air dépité, bien qu’il semble avoir accepté sa mort : grâce à l’anaphore « l’année d’après », Louis insiste sur le moment de sa mort, dans le but de provoquer la pitié. De plus, Louis semble avoir sombré dans la dépression avec cette

répéter que je t’aime, que tu es mon bonheur, que je ne vivrais pas deux heures sans toi. » Victor Hugo à Juliette Drouet : « 31 décembre 1851, huit heures du soir. Mon doux ange bien aimé, voici l’année qui finit, année de douleurs, année de luttes, année d’épreuves. l’année qui commence sera l’année d’espérance de joie et d’amour. N’en doute pas, car c’est tout mon cœur qui le dit. Je suis proscrit, banni, exilé, séparé des miens, pauvre, errant, frappé au cœur et pourtant quand, je me tourne

les Travailleurs de la mer (1866), l’Homme qui rit (1869). En 1876, il est élu sénateur; en 1882, la nation tout entière célèbre son 80e anniversaire; lorsqu’il meurt, la République lui fait des funérailles grandioses. Il avait encore publié l’Année terrible (poèmes, 1872), Quatrevingt-treize (roman, 1874) et l’Art d’être grand-père (poèmes, 1877). Son œuvre, sans doute inégale, frappe par la diversité et la puissance créatrice. Acad. fr. (1841).

aux enfants pour leur éducation. La vérité peut effectivement marquer, choquer ou blesser un enfant. Celle-ci peut être trop dure à comprendre pour lui, trop triste, trop horrible. On pourrait dire qu'un gentil mensonge peut cacher une terrible vérité. Ainsi, on comprend dans l'autobiographie de Georges Perec W ou le souvenir d'enfance, que l'on ne pouvait révéler les réelles tortures et souffrances qu'à vécu sa mère dans les camps de concentration quand il était enfant. La vérité

(Théâtre, 1838) Les Rayons et les Ombres (Poésies, 1840) Les Châtiments (1853) Les Contemplations (1856) La Légende des Siècles (Poésie, 1859) Les Misérables (roman, 1862) William Shakespeare (essai 1864) Les Travailleurs de la mer (roman, 1866) L'année terrible (1872) Quatre-vingt-treize (1874) L'Art d'être grand-père (1877) Les Quatre Vents de l'esprit (1881) Choses vues (1887)