L Argent Contribue T Il Au Bonheur

repenser le monde et à doté la société d’un système monétaire. Sa création fait alors de l’argent le seul moyen d’assurer l’équité des échanges. Toutefois depuis son avènement, de nombreux mouvements utopistes ne cessent de revendiquer un monde sans argent, c’est donc que cet « outil de communication » n’est pas infaillible et qu’il a eu des conséquences répréhensibles sur le fonctionnement de la société, comme par exemple l’exacerbation des inégalités. Il est donc légitime d’affirmer que l’argent

Molière, remplace l’esclave antique par un valet, le vieillard devient un bourgeois moderne. Surtout la courtisane devient une jeune fille très amoureuse et respectable, capable de s’attirer la sympathie du public dans son innocence et son désir de bonheur. Remarquons d’ailleurs que dans l’Avare ce schéma concerne deux couples de jeunes gens. En outre Molière y utilise le dénouement peu vraisemblable de la « reconnaissance », où le conflit se dénoue brusquement par la révélation de l’identité ou de

buts qu’il avait était de contribuer au bonheur de sa famille, en gagnant beaucoup d’argent. Il vivait avec sa femme et ces deux filles dans la rue de la Jussienne, à Paris. Celles-ci représentaient pour lui toute sa vie, surtout sa femme pour qui il avait une admiration et un amour sans limites. Elle était de nature frêle et sensible, alors Goriot voulait à tout prix assurer sa protection. Après 7 ans de bonheur, de richesse et d’amour

malléable et il peut être facilement travaillé. Sa couleur jaune évoque le Soleil, symbole de puissance, ce qui en a fait l’emblème des rois et des empereurs. Enfin, l’or est relativement rare sur Terre il est plus rare que la plupart des métaux : argent, étain, plomb, cuivre, zinc, nickel, fer et aluminium. Il est donc désirable, pur et par-dessus tout naturel. Lorsque le l’on parle d’or, on dit la "magie des alchimistes". Tel doit être la poésie, la boue c’est le transitoire, le contingent et l’or

critiques acerbes dans le Gil Blas et dans Le Gaulois. Dès la première page du roman, le thème est lancé : l’argent ; et les dernières pages évoquent une maîtresse au sortir du lit, autre thème majeur du roman. Bel Ami reflète l’ascension, entre argent et femmes, d’un être qui « porte beau » et qui affronte les pièges de la société dans laquelle il se trouve. Bel Ami présente l’ascension sociale de Georges Duroy sur à peine trois ans au travers de trois identités liées à son ascension sociale

dans sa liberté. Elle lui permet d’acheter Martin pour qu’il l’accompagne tout au long de son voyage. Il achète sa sortie de prison, il achète Pangloss et la Baron quand ils sont enrôlés dans les Galères, et ils achètent aussi Cunégonde. Sans son argent il n’aurait donc pas pu arriver où il est arrivé, voyagé, rencontré des gens. L’argent lui permet donc de faire non seulement un voyage réel mais aussi spirituel. En effet son voyage lui permet de devenir en quelque sorte un homme libre car c’est

l’appréciation de l’époque : « Quel Juif, quel Arabe est-ce là ? » Il rejoint ainsi la tradition populaire du rejet de l’usurier qui parcourt tout l’Occident depuis le Moyen Âge jusqu’à la Renaissance. Pensons notamment au Shylock de Shakespeare. Cet argent mal employé empoisonne les relations familiales. Cléante, à la merci de son emprunteur, obligé d’accepter les conditions exorbitantes du prêt, exprime sa rancœur : « Voilà où les jeunes gens sont réduits par la maudite avarice des pères ; et on s’étonne

vents soufflèrent des quatre coins du monde, et le vaisseau fut assailli de la plus horrible tempête, à la vue du port de Lisbonne » 2) la mal moral Le mal moral est omniprésent dans Candide, il représente une grande partie de son voyage, il contribue entre autre, à former et ouvrir les yeux de Candide. Dans ce cas là le mal vient le plus souvent des hommes. Il se présente dans : - La guerre ;il y en a plusieurs dans le livre, tout d’abord, celle qui oppose les abares aux bulgares, cette

exemplaire, entièrement dévouée à son enfant et prête à tout pour son bonheur. Dans ce cas, comment expliquer une telle descente aux enfers si ce n’est que la cause de son malheur est la société tout entière. Premièrement, nous pouvons nous rendre compte que la société crée un monde hostile à Fantine. Par exemple, ses créanciers, comme le montre l’hyperbole « ne lui laissaient aucun repos » (l.33-34), ne cessent de lui réclamer leur argent. Ils la poursuivent sans relâche, comme nous pouvons le voir à

Cette œuvre monumentale dura aussi longtemps à être rédigée puisqu’elle demanda un très grand nombre d’investissements. En effet, quand on sait qu’elle comporte 71 818 articles il faut bien imaginer le nombre d’auteurs, soient 160, qui durent y contribuer, ainsi que le temps qu’il fallut pour trouver ces derniers qui n’étaient évidemment pas tous Français. De plus le travail fut perturbé par la censure plus d’une fois. L’ouvrage remettant en cause les idées de l’Eglise ce fut les Jésuites qui causèrent