L'Arme fatale

c’était l’âpre joie et l’angoisse sans fin et la mort". Si d’abord les deux jeunes gens essaient de lutter contre le sentiment naissant, si Tristan se reproche sa jalousie, ils se laissent vite aller à la force qui les entraîne, acceptant leur destin fatal. "Vienne donc la mort !" s’exclame Tristan.    Commence alors pour les amants l’ère des difficultés, des soupçons, des inquiétudes. Yseut ira jusqu’à la tentative de meurtre sur la personne de Brangien. Mais "l’amour ne se peut celer" et ils se trahissent

formes négatives 4. cette fatalité, cette soumission à son sort la met en face de sa condition de mortelle malgré son statut de personnage mythique Revenir sur le champ lexical du surnaturel et l’opposer à celui de la mort L’expression « feu fatal » Axe d’étude : effectivement, Racine semble reprendre les caractéristiques de la tragédie fixées par Aristote. Mais il adapte le genre de la tragédie aux mentalités de son siècle dominé par le mouvement Classique 1. Racine reprend l’idée de la

est aussi inscrit : « mes yeux étaient aveuglés « (27) et « mes yeux douloureux », le personnage est ici dépassé par ce qui lui arrive. Le personnage est touché par un malaise psychologique, Meursault ne fait pas ce qui pourrait éviter le geste fatal car il dit «  j’ai attendu. », la phrase nominale montre une attitude étrange de Meursault et donc un malaise. De plus, il ne fait pas ce que sa conscience lui dit de faire car il dit « j’ai pensé que je n’avais qu’un demi-tour à faire » (14) alors

rôle pathétique à la fin de l’Iliade, au moment où il supplie Achille de lui rendre le corps de son fils Hector qu’il avait tué et traîné son corps. La douleur d’un père et l’émotion du vainqueur ennemi, l’une et l’autre confondue dans les mêmes et fatals malheurs de la guerre, donnent au texte de l’Iliade et au personnage de Priam un puissant relief. Lorsque Troie fut envahie par les Grecs, le roi se réfugia avec Hécube au fond de son palais et enserra l’autel de Zeus. Mais le dieu suprême ne pouvait

ou militaire, le nucléaire effraie et, simultanément, fascine. Considéré d’abord par l’opinion publique comme une conquête du génie humain, le nucléaire est progressivement perçu comme une menace, fruit d’une trop grande audace qui pourrait devenir fatale. Des accidents, dont celui de Tchernobyl en 1986, ont eu lieu, les armes nucléaires se sont multipliées et les tensions entre les pays ne font que s’intensifier. De plus, l’intensification des controverses quant à l’utilisation de cette nouvelle énergie

balles si son arme n’en est pas équipé ! Une seconde d’inattention (en étant seul avec son arme) ou de distraction (due à autre personne) suffit parfois à être fatale quand on manipule une arme.. Par ailleurs, il ne faut pas oublier qu’une arme est également un facteur important dans les cas de suicides : dans le cas de dépressions sérieuses, l’arme est souvent l’ultime recours de personnes lassées de souffrir et de vivre, et elle est alors malheureusement perçue comme un moyen rapide et efficace de mettre

affrontements techno-économiques. A/Contestation Interne et Externe aux blocs 1) Contestations à l’intérieur du bloc américains. 2) Contestations internes aux blocs communistes. 3) Contestations externes aux blocs. B/Un cause à la puissance fatale à l’URSS C/La fin de l’URSS et l’émergence de la superpuissance américaine. I-Vision idéologique de deux mondes et déclenchements de la guerre froide. A / Deux mondes diamétralement opposés 1) le modèle américain (Apogée du modèle

Gustave Moreau Joris-Karl Huysmans Sommaire Introduction 3 Variations sur un mythe : la figure de Salomé privilégiée à la fin du XIXème siècle 4 Les Écritures 4 Une nouvelle figure de prédilection 5 Salomé figure privilégiée de la femme fatale ou la Beauté sophistiquée 5 Gustave Moreau L'Apparition 7 Huysmans À rebours (extrait) 8 Transposition stylistique de l'aquarelle l'Apparition 9 La fidélité à la composition du tableau 9 Lumière & Palette 10 L'érudition lexicale 10 Une véritable

bombe atomique, un très grand chemin à été fait. De la préhistoire au septième siècle, l'armement ne connu que peu d'évolution. Des armes tranchantes du néolithique à celles du Moyen-âge, seuls les matériaux et les techniques changèrent. Le but de l'arme restait le même; blesser au corps-à-corps. Ces armes côtoyaient sur les champs de bataille arbalètes, javelots, arcs et autres armes de jet. L'armement connu une révolution avec l'invention de la poudre par les chinois au septième siècle puis son

jeune fille assimile noblesse et sauvagerie : la nature de l’aristocratie n’est rien d’autre que férocité, manquement à ce qui fait les liens du cœur : « Et si l’on est barbare, on n’est point généreux » La loi du dépassement aristocratique est fatale dans le sens le plus tragique. Se distinguer fait oublier ce qui unit les hommes a savoir le sentiment d’humanité. La barbarie qui caractérisait le genre antique se retrouve ici, dans l’esprit de Camille et la critique de la noblesse. Horace et