L'Auberge de l'Ange gardien

l’exil ; la prison ; le tombeau ; le gouffre ; le Purgatoire ; les Enfers) et la chute dans la fragmentation (ou la bien fameuse « fêlure », avec une version dynamique : « l’oscillation » irrésolue entre des extrêmes irréconciliables, comme celle entre l’ange et le démon : soit, cette fois-ci rien qu’en clé amoureuse, entre la mulâtresse Jeanne et la blonde Apollonie). La nostalgie du paradis perdu (troisième terme clé de notre modèle analytique) est aussi une constante aiguë de la situation « démoniaque

morne et l’azur des déserts, Insensibles tous deux à l’humaine souffrance Comme les longs réseaux de la houle des mers Elle se développe avec indifférence. Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l’ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n’est qu’or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. Collections 41 Litteratura.com Spleen et Idéal XXVIII LE SERPENT

fiancé pour renaître autre. b- Le voyage dans l’au-delà Dumas décrit à l’entrée en prison, dans « le domaine de la mort » un Dantès qui semble dénué d’une quelconque volonté comme s’il avait perdu connaissance : « (…) Ses gardiens, qui le tenait à la fois par les bras et par le collet de son habit, le forcèrent de se relever, le contraignirent à descendre à terre, et le traînèrent vers les degrés qui monte à la porte de la citadelle(…) » (Le Comte de Monte-Cristo, p. 82)

et l’azur des déserts, Insensibles tous deux à l’humaine souffrance, Comme les longs réseaux de la houle des mers, Elle se développe avec indifférence. Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l’ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n’est qu’or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. – 46 – XXVIII. – Le serpent qui danse Que j’aime voir, chère indolente

et l’azur des déserts, Insensibles tous deux à l’humaine souffrance, Comme les longs réseaux de la houle des mers, Elle se développe avec indifférence. Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l’ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n’est qu’or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. XXVIII. – Le serpent qui danse Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si

et l’azur des déserts, Insensibles tous deux à l’humaine souffrance, Comme les longs réseaux de la houle des mers, Elle se développe avec indifférence. Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l’ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n’est qu’or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. – 46 – XXVIII. – Le serpent qui danse Que j’aime voir, chère indolente, De ton

morne et l'azur des déserts, Insensibles tous deux à l'humaine souffrance Comme les longs réseaux de la houle des mers Elle se développe avec indifférence. Ses yeux polis sont faits de minéraux charmants, Et dans cette nature étrange et symbolique Où l'ange inviolé se mêle au sphinx antique, Où tout n'est qu'or, acier, lumière et diamants, Resplendit à jamais, comme un astre inutile, La froide majesté de la femme stérile. Fleurs du mal Charles Baudelaire inkwatercolor.com Charles Baudelaire

empuantie de l'étude, sous la lumière du gaz, dans la chaleur fade du poêle!... J'étends mes bras! je soupire, j'étends mes jambes... je sens des choses dans ma tête, oh! des choses!... 4 mai... ... Tenez, hier, je n'y tenais plus: j'ai étendu, comme l'ange Gabriel, les ailes de mon coeur. Le souffle de l'esprit sacré a parcouru mon être! J'ai pris ma lyre, et j'ai chanté: Approchez-vous, Grande Marie! Mère chérie! Du doux Jhésus! Sanctus Christus! O vierge enceinte O mère sainte Exaucez-nous

particulièrement importants où le cinéma est utilisé, ou Claudel dit qu’il pourrait l’être : à la scène XIII de la Deuxième journée, celle de l’Ombre Double ; à la scène VIII de la troisième journée, lors du dialogue entre Doña Prouhèze et son l’Ange Gardien ; et à la scène X de la dernière journée, pendant la fuite de la Bouchère et de Doña Sept-Epées. L’écran et les projections sont mentionnées plusieurs autres fois, mais plutôt pour des utilisations « décoratives », alors que dans ces trois scènes

d’un toit noir dessine une chaumière ; On entend dans les prés le pas lourd du faucheur ; L’étoile aux cieux, ainsi qu’une fleur de lumière, Ouvre et fait rayonner sa splendide fraîcheur.   Aimez-vous ! c’est le mois où les fraises sont mûres. L’ange du soir rêveur, qui flotte dans les vents, Mêle, en les emportant sur ses ailes obscures, Les prières des morts aux baisers des vivants.   Chelles, août 18…   XXVII. La nichée sous le portail   Oui, va prier à l’église, Va ; mais regarde