L'Aurore

tous favorables à la révision du procè La victoire de la République : Malgré le fait que le parti socialiste ait mis longtemps à comprendre les enjeux importants de l’affaire, le 18 janvier 1898, quelques jours après l’article d’Emile Zola dans L’Aurore, celui-ci signe ce texte : « Pourquoi l’affaire Dreyfus a-t-elle pris des proportions si vastes ? C’est qu’elle est devenue le champ de bataille de deux factions rivales de la classe bourgeoise, les opportunistes et les cléricaux. Opportunistes

conjugué au futur simple (marque la certitude, par opposition au conditionnel, « j’aurais », v. 1), ce qui montre que le poète est de plus en plus convaincu, et donc convaincant, au fur et à mesure de son discours. Une vision manichéenne L’aurore contre les ténèbres : au vers 4, « matin » à l’hémistiche s’oppose à « soir » à la rime ; « la lumière et le feu » (v. 6) s’oppose à l’adjectif « éteint » (v. 8) ; « nuit », à l’hémistiche du vers 9, s’oppose à « jour » à l’hémistiche du vers

un « faux » désignant nommément Dreyfus comme traître. (Son inauthenticité sera découverte en août 1898 et, Henry, démasqué, se tranchera la gorge en prison.) Emile Zola : J’accuse Le 13 janvier 1898, Émile Zola publie dans le journal L’Aurore, une lettre ouverte au Président de la République, Félix Faure, au titre provocateur, « J’accuse… ! », choisi par Clemenceau, s’étalant en gros caractères sur la page de titre du journal. Dans cette longue et dense plaidoirie, Zola rappelle d’abord

sereins », « mystérieux amours », « beaux amoureux » états d’esprits : « tranquillement », « à l’aise », « dans leur hâte », « commodément » voix : « chantaient », « babiller », « se dire tout bas », « une voix », « ineffables concerts de l’aurore et du crépuscule », « chantait » (x2), « bavardèrent » intelligence : « se trompant », « établi », « petite république », « par droit de conquête », « en bonnes gens » emploi de la possessivité : « leur » rythme ternaire «les sentiers

de la caste militaire couvre Esterhazy. Émile Zola ne le supportera pas et le 13 janvier 1898 toute l’affaire sera révélée. Ce jour-là, dans le journal l’Aurore paraît l’article de l’auteur J’accuse qui est en fait une lettre adressé à M. Félix Faure, président de la République à l’époque. Cet article de Zola fera progresser le tirage de l’Aurore de 60 00 à 300 000 exemplaires. Rapidement, toute la France mais aussi la communauté internationale est au courant de l’affaire : Dreyfus serait innocent

ensuite utiliser le procédé de comparaison, comme lorsque vers 44 il dit : «voilà comme je t’aime.. » ou encore vers 45 « comme on aime l’aurore, comme on aime les fleurs, comme on aime les cieux ». Ce sont des images qui représentent la légèreté grâce aux mots aurore et cieux, mais ces mots représentent surtout la force et la présence de l’amour puisque l’aurore et les cieux sont présents chaque jour autour de nous. L’amour que voue Don Ruy Gomez a la jeune femme du nom de Dona Sol est voué à ne

dans des journaux de l’époque, notamment le Figaro et l’Aurore et sous la forme de brochures. 2- Quelques œuvres d’Emile Zola 2 pièces de théâtre : Lazare, Le Bouton de Rose 2 poèmes : A mes Amis, Mon Follet 2 contes : Contes à Ninon, Dans Paris 4 œuvres romanesques : La Confession de Claude, Le Vœu d’une morte, Les Mystères de Marseille et Madeleine Férat. 2 titres de journaux auxquels Emile Zola a participé : Le Figaro, L’Aurore. 3-Cycle des Rougon-Macquart Le cycle des

dans la Chambre des Députés. Albert Dreyfus est israélite, polytechnicien et officier. Accusé d’espionnage, il est condamné et déporté en 1894 en Guyane. Emile Zola réclame la révision du procès en 1898 dans son article « J’accuse » publié dans l’Aurore de Clémenceau. Il est rejugé et gracié en 1899, et est réhabilité en 1906. Le général Boulanger, puis ministre de la guerre, a de nombreux partisans qui veulent leur revanche contre l’Allemagne. Il se lance dans la politique -> souhaite la dissolution

Fabrication d'un nouveau « faux » par le lieutenant colonel Henry , qui accuse Dreyfus. 10-11 janvier 1898 : Procès d'Estherazy , qui est acquitté par le tribunal militaire. 14 janvier 1898 : lettre-article « j'accuse... » d'Emile Zola dans l'Aurore. Fevrier 1898 : refondation de la ligue des droits de l'homme et du citoyen ( dreyfusards). Décembre 1898 : fondation de la ligue de la patrie française ( antidreyfusards ). Juillet 1906 : réhabilitation de Dreyfus. Premières réactions

public en 1895.Alors qu’en 1896, de nouvelles preuves apparaissent en faveur de l’innocence du capitaine Dreyfus, l’institution militaire refuse la révision du procès.En 1898, l'écrivain et journaliste, Émile Zola écrit "J'accuse" dans le journal L'Aurore, pour clamer l’innocence de Dreyfus et appeler à son soutien. L'affaire Dreyfus devient une affaire nationale qui divise l’opinion public français en "Dreyfusards" (défendant l’innocence de Dreyfus) et "anti-Dreyfusards" (demandant sa condamnation)