L Avare Theme

Ses apparitions dans la vie d’Emma semblent réglées par une tactique et une science du cœur que son aspect perfide et sournois ne laisserait pas deviner. Profitant de toutes les occasions, prêt à tous les chantages, son activité lie intimementdeux thème du roman : l’adultère et le drame de l’usure. Rien ne compte pour lui que l’argent. Sa fortune, que les « Dames du Commerce » consacrent, s’élève sur la ruine de Tellier et des Bovary, et l’on sent qu’il ne s’arrêtera pas en si bon chemin … Hommais :

compositeur officiel du roi. Mais molière cherche aussi à divertir grâce à du burlesque => théâtre de rue. MAIS toujours dans sa vie il s’est attelé à critiquer les mœurs de son temps, la petite bourgeoisie… Ex avare CONTEXTE : ici, il met en scène un hypocondriaque. IL reprend alors le thème classique de la médecine sous un angle nouveau. · Problématique : La représentation de la comédie-ballet le Malade Imaginaire se contente-t-elle de divertir le spectateur ou poursuit-elle un autre but ? Annonce

fabliaux : 1) L’adultère Les auteurs profitent systématiquement de ce thème pour introduire dans leurs textes un registre trivial voire obscène. Pourtant le Moyen Âge était une époque très scrupuleuse des bienséances et de la pudeur, ce qui rend le fabliau d’autant plus audacieux, provocateur et transgressif. Les fabliaux exploitent le thème de l’adultère pour faire rire le public. Généralement cela se fait aux dépens d’un mari jaloux, avare, tyrannique, négligeant, etc. Ce n’est pratiquement jamais le

avec monsieur le marquis de Froifond dont la famille commence à cerner la jeune et riche veuve, comme l’avait fait jadis la famille Cruchot. 4. le thème de l’argent Le thème principale de ce roman et qui accapare la presque totalité de l’histoire est sans aucun l’argent, notamment à travers l’avarice de M. Grandet. D’ailleurs, le mot « avare » est souvent répété dans le roman, comme par exemple à la page 31, où il est répété deux fois, dans les expressions «  cette atroce pitié d’avare » puis

ressorts romanesques. Dans ce roman, l’auteur met en scène Julien , un personnage incarnant les hommes de l’époque tels que Maupassant les percevait . Julien est un homme cupide , qui semble avoir épousé Jeanne pour ses biens. Il est également avare, aime son argent , et reproche à Jeanne de faire des dépenses inutiles. Son avarice le rend presque violent avec ses beaux parents qu’il juge également très dépensiers . Il est également infidèle : il trompe Jeanne à maintes reprises notamment avec

de Cléanthis montre son refus de retour à la situation initiale ? Et par quel biais cette pièce reste intemporelle ? Nous répondrons à ces questions en deux parties, Tout d’abord Cléanthis ou la violence d’une femme offensée, puis sera abordé le thème de la fonction théâtrale qui, au-delàs de cette fantaisie prend une dimension symbolique. Cléanthis, personnage phare de la pièce, connut le jour sur les planches grâce au talent de l’actrice Italienne, Sylvia. Ce qui est frappant dans cette tirade

civil » ; Balzac montre les mutations dans la société française : déclin de l'aristocratie et de ses valeurs, au profit de la bourgeoisie d'affaires montante. L'argent devient le thème romanesque par excellence, et permet l'apparition de nouveaux « types » sociaux. Rastignac incarne l'ambitieux, Grandet le bourgeois avare, Nucingen le banquier. Balzac montre qu'il faut dépasser l'ambition de copier le réel, qu'il faut le transfigurer et le symboliser. Stendhal,lui, est centré sur la vérité. Il peint

yeux globuleux comme ceux d'un monstre, - un nez crochu comme un sorcier, - un corps difforme, toujours dans le thème d'un monstre affreux, - il a la barbe sale et porte une chemise à la propetée douteuse, c'est un personnage laid et sale tel un manant. Dans sa main droite, on voit qu'elle est remplie de pièce d'or et il a les doigts crochus : il a de l'argent mais il est avare. Avec son sourire, on dirait qu'il méprise les pauvres. Dans sa main gauche, il tient un fouet, symbole de la domination

contes pour enfants parle de prince charmant et de princesse, cependant dans ce texte le « prince » n’est la que pour représenter la noblesse et non quelqu’un de noble et de juste. Le « prince » ici décrit par Voltaire se voit être lâche, prétentieux, avare de pouvoir et sans cœur. Pour appuyer cette description le « prince » est comparé à des monstres sanguinaires et cruels tels que Gengis Khan, Tamerlan et Bajazet. Les marques de l’indétermination L’écrivain dans une continuité du conte repris l’indétermination

riches et hommes et femmes. On nous montre la cupidité des riches au détriment des pauvres lorsque Candide voyage, les riches marchands demandent des prix exorbitants alors qu’ils n’ont pas lieu d’être. On a donc une peinture de la richesse cupide et avare que Voltaire dénigre encore une fois par le biais d’une ironie forte. Les 6 rois déchus du chapitre 26 sont l’illustration de cette différence, tout comme la vieille. En effet tous ces personnages ont été riches puis ruinés par leur cupidité. On a