L'Aveu

Fiche: La Scène de L'aveu La dernière entrevue entre Mme de Chartres et le duc de Nemours Introduction: - Les auteurs attribuent à leurs personnages des caractéristiques en mesure de représenter leur siècle - Mme de lafayette est une romancière classique du17e siècle de sensibilité janséniste - Le roman raconte l’amour impossible entre la princesse de Clèves et Mr de Nemours. - Dans cet extrait, M de Clèves est mort de jalousie, se croyant trahi. La princesse de Clèves s’isole de la cour et de M

Lecture linéaire 2 « La scène de l’aveu », La Princesse de Clèves , Mme de La Fayette, 1678 Éléments d’introductionContexte historique : Cour de Louis XIV Éléments biographiques : Mme de La Fayette, auteur anonyme, proche préciosité et moralistes, elle-même janséniste voire augustinienne. Des similitudes entre sa vie et celle de son héroïne : vie de cour, mariage, fin de vie isolée. Résumé de l’œuvre :

son aveu avec une volonté de se tuer elle-même « Au défaut de ton bras prête-moi ton épée. Donne. » C’est dernières paroles sont bien sur la conclusion de l’aveu tragique, la volonté de mourir et la perte total d’espoir. Dans cet aveu, Phèdre est voué à elle-même. Elle est parfaitement consciente de son crime et des conséquences de l’aveu et elle se dégoûte elle-même et se perçoit comme une créature ignoble. Elle parle d’elle à la troisième personne, comme un rejet de sa propre personne : «

 Commentaire texte 4 de L'Ingénu Problématique : l'aveu de Mlle de Saint-Yves : une scène tragique ? Tout d'abord, on peut rapprocher cet épisode d'une scène de théâtre. En effet cela semble au départ être un tableau figé, enfermé dans un cadre où chaque attitude, puissamment évocatrice rend sensible au spectateur l'émotion du moment. Mais cette scène s'anime et, comme au théâtre et c'est la parole qui fait avancer l'action jusqu'au dénouement. Ensuite, c'est une scène tragique

Texte 14 – Les Fausses Confidences, II, 15 – L'aveu de Dorante Eléments d'introduction Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux naît à Paris en 1688. C'est un esprit talentueux, à la fois journaliste, romancier et dramaturge. Il écrit une trentaine de comédies, dont plus de la moitié pour le Théâtre-Italien. Ces comédies sont variées, mais son talent s'exerce surtout dans la peinture de la psychologie amoureuse, et en particulier de la conquête des cœurs par l'amour. Dans Les Fausses Confidences

IPHIGÉNIE II, I L'AVEU CONSTITUTIF DE L'HÉROÏNE TRAGIQUE Dans cet extrait, l’aveu dramatique d’Eriphile lui donne un poids important dès sa première apparition sur scène. Cet aveu fait apparaitre un personnage aux multiples facettes, mais toujours victime. Elle en devient la véritable héroïne tragique de la pièce. Cette scène, par l’aveu d’Eriphile de l’amour qu’elle éprouve depuis peu pour Achille, est un renversement de situation saisissant. De plus, l’héroïne tragique y apparait tourmentée

appartient au classicisme. Ce passage fait partie du tome III du livre et relate l’aveu de Mme de Clèves de sa passion adultère, bien que platonique, à son mari, sans pour autant lui révéler l’identité du duc de Nemours. Dans quelle mesure ce texte témoigne-t-il d’une esthétique classique ? Nous verrons que ce passage met en scène un aveu romanesque présenté de manière théâtrale et pathétique. Tout d’abord, l’aveu de Mme de Clèves est présenté comme tout à fait romanesque. D’une part, les circonstances

-Développement I. Couple Hippolyte-Aricie a. Les personnages dans la tragédie racinienne b. L’Hippolyte de Racine c. Les personnages dans leur contexte II. Aveu d’Hippolyte a. Caractéristiques de l’aveu b. Passion amoureuse c. Les effets Commentaire composé Nous allons étudier un passage tiré de « Phèdre », de Jean Racine. Jean Racine est un poète tragique français considéré comme l’un des plus grands dramaturges

Madame de la Fayette, La Princesse de Clèves, texte n°4: L'Aveu. De « Et bien Monsieur, lui répondit-elle (...) » à « (…) il faut plus de courage pour avouer cette vérité que pour entreprendre de la cacher ». Introduction: Présentation du texte: Cette scène d'aveu suit l'échec de la fausse lettre qui a révélé à la Princesse de Clèves sa passion pour le Duc de Nemours. Ainsi, cette dernière supplie son mari de fuir la cour pour trouver refuge à Coulomniers. Ce dernier trouvant étrange ce désir

LAL n°10 : l'aveu de Phèdre à Hippolyte Entrée dans l'analyse par la grammaire :· Rappel sur la subordonnée circonstancielle· Repérage des PSCCC dans 15 premiers vers de l'extrait : concession/comparaison/temps => la comparaison permet de comprendre la forme de l'aveu (un glissement de Thésée à Hippolyte)· Aveu à Hippolyte rend le crime réel. L'action tragique est scellée alors que Phèdre avoue sa flamme (non-réciproque) à l'être aimé. · Extrait de cette scène, dont 2 tirades célèbres de Phèdre