L'Eau des collines

une rivière, il a la conviction que le manoir de sa mère est de l’autre côté. Un homme qui est en train de pécher sur une barque lui dit qu’il ne pourra traverser et lui propose de l’héberger, il lui indique le chemin. Perceval arrivé en haut d’une colline ne voit rien dans un premier temps mais aussitôt il aperçoit une tour au fond d’un val. Le pont-levis de la demeure est abaissé et Perceval est mené dans une salle carrée étrangement disposée : devant une cheminée située au centre de la pièce, se

centrale éolienne, l'énergie électrique est produite directement par des génératrices éoliennes. Ces machines formées d'un mat, surmonté d'un générateur électrique et entrainé par une hélice, sont positionnées idéalement sur les plans d'eau ou les collines ventées. L'alternateur permet de transformer cette énergie mécanique en énergie électrique. Obstacles et inconvénients Les principaux défauts de ces éoliennes sont : Une pollution visuelle du paysage relative. Des obstacles pour la navigation

«Le Cri» est un célèbre tableau expressionniste d’ Edvard Munch. Cette œuvre, symbolisant l'homme moderne pris par une crise d'angoisse, est souvent considérée comme l'œuvre la plus importante de l'artiste. Le paysage au fond est Oslo, vu depuis la colline d'Ekeberg. Le cri est devenu le symbole de l'homme moderne pour qui Dieu est mort et pour qui le matérialisme ne fournit aucune consolation. L'artiste a associé une note dans un de ses journaux à propos de cette œuvre : « Je longeai

l'avait vue sortir du restaurant en trombe juste après la bagarre. Les enquêteurs se mirent à sa recherche, scrutant les rues alentour qui étaient bordées de vieux bâtiments et de ruelles étroites. Au loin, on pouvait apercevoir les contours d'une colline verdoyante, qui surplombait la ville. Le soleil déclinait peu à peu à l'horizon, et les rues étaient baignées d'une douce lumière orangée. Les policiers prirent la peine de fouiller les environs du restaurant, explorant les moindres recoins des rues

sur la biodiversité. I Qu'est-ce que la biodiversité ? Le mot « biodiversité » est un terme relativement récent (1986) qui définit l'ensemble des espèces (végétaux, animaux, micro-organismes...) vivant dans leur habitat naturel (dans l'eau, dans l'air ou sur terre). II Comment mesure-t-on la biodiversité ? On la mesure en comptabilisant les espèces d'un site en fonction d'un ou différents critères comme un lieu, une période, une nature de sol... Par exemple, les mesures peuvent

le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon cœur! Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal

dévalé la colline Ses pas faisaient rouler les pierres Là-haut entre les quatre murs La sirène chantait sans joie Il respirait l’odeur des arbres Avec son corps comme une forge La lumière l’accompagnait Et lui faisait danser son ombre Pourvu qu’ils me laissent le temps Il sautait à travers les herbes Il a cueilli deux feuilles jaunes Gorgées de sève et de soleil Les canons d’acier bleu crachaient De courtes flammes de feu sec Pourvu qu’ils me laissent le temps Il est arrivé près de l’eau Il y a

| |Une eau d’immortalité : à l'origine, ce produit mystérieux touchant presque à l'alchimie, ne se consomme guère. On lui attribue des | |vertus thérapeutiques... L'eau qui brûle : "aygardent". Une eau d'immortalité aux arômes et aux saveurs complexes. | | |

maison japonaise et elle s’interpose entre les pièces de réception et le jardin et malgré sa largeur réduite, elle remplie les fonctions d’une véritable pièce le jour. L’arrière est constitue d’une série de pièces caractérisées par l’utilisation de l’eau (bain, cuisine, lavoir), les chambres de servantes et les débarras. Le fond est constitue du séjour, de la salle à manger, de chambres ; il correspond a la vie familiale. La pièce essentielle est le « chanoma » ou « ima » (pièce de the ou séjour)

quoiqu’elle soit seulement de l’ordre d’une interrogation naïve, qui met le lecteur sur la piste. La deuxième mention est glissée dans la narration de manière très naturelle : chaque fois que le père et son fils se promènent, ils se hissent jusqu’à la colline et contemplent leur maison : « Ce qu’on voyait le mieux c’était la fenêtre de la cuisine, avec le pot de géranium tout vert et orange dans le soleil ». Ce qui n’est qu’une remarque apparemment anodine dans les pensées de l’enfant devient pour le lecteur