L'Eau et les Rêves

productions obtenues : Odeur de la terre Sur la montagne sans nom la trace de tes petits pas au parfum des pruniers ah quelle soirée le voilà calmé De loin et de près Le printemps s’en va quelle feuille tombera tout ce qui reste des rêves le vent s’en va le bruit de l’eau Un bouquet d’arbres en fleurs sur la route de Yamato passent les oies sauvages La séance s'achève avec la synthèse des observations dont on garde une trace écrite. 2ème séance : collectif, puis groupes de 4 élèves. Reprendre les conclusions

De plus, le rapport à l’histoire du drapé est important lorsque Bill Viola nous donne à voir une succession de corps recouvert par un drap blanc : lors de la naissance de son fils, lorsque survient le décès de sa mère, puis enfin le flottement dans l’eau d’un corps enveloppé d’un drap. Dans l’histoire de l’art le drap blanc a non seulement eu fonction de composition (ex : mettre le corps en valeur, introduire la lumière) mais aussi de symbole, c’est ce que l’on peut retrouver chez la Danaé de Tintoret

anthologie axée sur la poésie. Pour ma part, le voyage n’est pas seulement une volonté de s’ouvrir aux autres, de découvrir d’autres terre, d’autres cultures. Le voyage n’est pas seulement qu’un déplacement physique, il est aussi abstrait avec les rêves, la musique, la cuisine, la culture ou encore l’art. Il peut être sentimental, mélancolique ou sans retour avec la mort. C'est un sujet qui me touche, et qui me tiens à cœur car celon le roman de Candide on dit qu'il faut “cultiver notre jardin” ,lui

composé semi-rédigé niveau Lycée sur un extrait situé au début de l'ouvrage dans la section La Petite toute seule (II, III, V) de l'oeuvre Les Misérables de Victor Hugo : la petite Cosette est contrainte, par une nuit d'hiver, d'aller chercher de l'eau au milieu de la forêt. Le passage étudié s'étend de "L'enfant regardait d'un oeil égaré cette grosse étoile ..." à "... un bruit d'agonie sous leur voûte monstrueuse". Extrait: Le noir envahit tout - Au tout début de l'extrait, traces de couleur

fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon coeur! Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal

dans mes draps pour m'endormir, un léger grincement se fit entendre. Mais, je n'y prêta aucune intention, c'est très courant après l'orage, que le bois des vieilles maison craque je suppose. Je m'endormit lentement, bercé par les léger clapotis de l'eau au loin dehors. Âpres plusieurs heures de sommeil, je fit réveiller par un étrange sentiment. La curieuse impression d'être longuement observé. Lorsque j’ouvris les yeux, je ne vit rien d'étrange, mais l'orage avait repris dehors, j entendais les volets

Byron, le poète se demande si les tempêtes sont « pareilles à celles qui agitent le coeur de l’homme ». c) Un cadre symbolique La nature renvoie souvent symboliquement aux thèmes qui préoccupent l’être humain. • Ainsi dans Le Lac de Lamartine, l’eau devient symbole de la fuite du temps et de la mort. • Soleils couchants de V. Hugo : la nature, par son éternelle jeunesse, s’oppose à la condition humaine. 3. Un être passionné, exalté a) L’expression lyrique de sentiments violents • Hernani,

poliomyélite : ça jambe ne grandit plus. Cette œuvre est une peinture à l’huile et à tempéra sur métal : couleur délayée dans de l’eau et une substance agglutinante : gomme, colle, œuf. Elle mesure 30.7 sur 34.5 cm. Elle est conservée au Museum of Modern Art à New York. On lui donne un mouvement d’art surréaliste mais elle affirme qu’elle ne peint pas des rêves, mais sa réalité. Description détaillée : L’artiste s’est représentée, ainsi que ses grands-parents et ses parents. Frida Kahlo

technologies ne valent même pas le quart du plus merveilleux et essentiel domaine culturel. Bien que la lecture soit pour le moins complexe, il est bon de l'approfondir et de l'admirer. Que ce soit dans le but de lire une grande oeuvre d'art, un roman à l'eau de rose ou un roman fantastique, tous m’inspirent et me donnent envie de les dévorer à pleines dents. Vous l'avez sûrement compris, je vais vous faire partager mon monde idéal, où tout est possible et accessible. Tout d'abord un livre, un simple

exotique Baudelaire, auteur du XIX s., écrit un recueil poétique, Les fleurs de Mal, œuvre de toute une vie. Toute sa vie, Baudelaire va être nourrit des images de son séjour à l’Ile Maurice ; ces images vont etre pour lui une réserve de rêves. C’est ainsi que le sonnet « Parfums exotiques », issu de la section « Spleen et Idéal », raconte une vision du poète engendrée par l’odeur de la femme-aimée, Jeanne Duval.  Problématique En premier axe, nous évoquerons l’intimité du poème et la