L'Eau et les Rêves

jouaient pas appelaient les joueurs « sorciers » et « démons ». Et les joueurs rêvaient qu'ils volaient dans les airs, sur des bâtons magiques animés par les esprits. De quoi a rêvé ce joueur-là ? Ce joueur a rêvé des rayons du soleil et des arbres. De l'eau et du feu. Il a rêvé qu'il créait. Et qu'il détruisait. Il a rêvé qu'il chassait, et était chassé. Il a rêvé de s'abriter. Ah, l'interface originelle. Vieille d'un million d'années, mais elle fonctionne encore. Mais quelle structure a créé ce joueur

Cette ellipse nous permet de développer notre imagination et nous plonge dans une description plus onirique, liée à la nuit. Dans le 2ème mouvement de ce vers binaire, la mer est évoquée comme une force qui brise. Or c’est assez paradoxal puisque l’eau est liquide. Elle ne peut donc pas se « briser » à proprement parler. Victor Hugo joue beaucoup dans cette poésie sur les contradictions. L’utilisation de ce terme permet alors de mettre en avant une idée de violence extrême. Ce terme « brise », évoquant

elle peut l’espace d’un temps posséder de super pouvoirs, être blondes alors qu’elle est brune, être milliardaire... Elle peut tout de même reprendre pied dans la réalité à tout moment juste en arrêtant sa lecture. Le roman peut donc alimenter les rêves en permettant aux lecteurs d’être quelqu’un d’autre. De plus, le roman peut également alimenter l’espoir d’une personne. En effet, en voyant une vie si pleine d’aventure, le lecteur peut s’imaginer qu’un jour, il en vivra une comme la sage d’Harry

utilisé (l.31), ce qui prouve qu’Emma vit dans un monde d’illusions. Ainsi dans ce texte Emma cherche à vivre dans un monde qu’elle s’est créée, mais qui malheureusement est irréel. A cause d’avoir trop lu de romans à l’eau de rose, sa vision du monde a tout à fait changé, elle vit de rêves et d’illusions. Emma se rend bien compte que la vie n’est pas telle qu’elle l’a espérée et se retrouve mariée, malheureuse et ne rêve que d’une chose que son chevalier à plume blanche qui galope sur un cheval noir

citadelle Europe, l’Eldorado, dont les portes sont jalousement gardées par des hommes chargés d’intercepter et de refouler ces intrus, ces indésirables. Mais ces intrus, qui sont-ils ? Ce sont des hommes et des femmes, avec chacun leur histoire, leurs rêves, ce sont des êtres humains ! Laurent Gaudé essaie de donner un visage à ces milliers de clandestins, il essaie de traduire la souffrance qui leur fait quitter leur famille, leur pays, leur vie, pour cet ailleurs censé changer leur destin. Et ces gardiens

Brel se confronte également à la religion dans laquelle les gens sont trop pieux et réduits à des gestes sans idéaux. Cette idée est illustrée dans « Les Bigotes », Brel parle des vieilles croyantes comme des femmes qui confondent l’amour avec de l’eau bénite. Un élément qui apparaît quasiment dans toutes ses chansons est le temps qui s’écoule inexorablement. Il parle de personnages plongés dans la jeunesse qui évoluent doucement vers la vieillesse et la sénilité qui sont, selon lui,

retrouvais dans la basilique, en dessous d'un dôme recouvert de magnifique mosaïque face au tableau d'or Pala d'Oroll. Je me retournais lorsque que je pris conscience que je n'était plus à la basilique, je me retrouvais à présent dans une barque sur l'eau, face au Palais des Doges. Une voix autre que celle de Casanova s'adressa à moi - Vous savez qui je suis et où nous sommes ? - Encore un personnage de mon livre d'histoire je suppose ? Répondis-je Il ris et me répondit : - Non, dans vos cours d'italien

narration. Ce procédé donne l’impression de vivre les événements au moment de leur déroulement, renforcement de la violence de la vision. b – La composition de l’extrait Le passage est écrit en italique (dans l'ensemble du roman, l'italique => visions / rêves). Extrait en 5 parties, séparées par des blancs typographiques. Structure binaire sous-jacente, chaque partie évoque deux éléments différents (ciel / terre). Enfin l’ensemble est construit comme une sorte de dialogue (cf. terme « répons »). Aucune

une annonce de Félicité et de la mère Rolet ... *Les enlèvements de dames : la fuite projetée avec Rodolphe ... *Les forêts sombres : la baisade dans les bois ... *Les messieurs qui pleurent comme des urnes : Rodolphe qui trempe son doigt dans l’eau ... *Les dames à leur fenêtre : l’attitude fréquente d’Emma, qui regarde au loin et attend quelque chose ... *Les dames rêvant sur des sofas près d’un billet décacheté : la lettre de rupture lue au grenier ... *La classe de musique : les leçons

sottise, à mon manque de bon sens… Cette leçon est bien cruelle, mais elle ne sera pas perdue.[…] Je me suis cru très habile et très prudent, alors que précisément je ne voyais pas l’essentiel : c’est-à-dire que le seul problème, c’était celui de l’eau. » Commentaire : En effet, Jean Cadoret a une volonté de fer et beaucoup d’espoir, mais dès qu’il doit la laisser tomber, il ne voit plus le sens de vivre. Dans un récit au présent, le futur exprime un fait futur probable. Jean veut dire par là qu’il