L Ecolier Pauvre

ALBERT CAMUS Albert Camus est né pauvre en 1913 à Mondovi en Algérie. Camus ne connaîtra pas son père, ouvrier caviste : Lucien Camus, mobilisé et blessé à la bataille de la Marne en septembre 1914, meurt à l'hôpital militaire de Saint-Brieuc : de son père, il ne connaîtra qu'une photographie, et une anecdote significative : son dégoût devant le spectacle d'une exécution capitale. Il a été élevé par sa mère mais urtout par sa grand mère et un

n'a plus assez de volontaires, les organisateurs, malgré les hésitations de Martin Luther King, recrutent des étudiants et des enfants dans ce qui est appelé par les média « la croisade des enfants ». Le 2 mai, des centaines d'étudiants, lycéens et écoliers sont préparés et entraînés à participer pacifiquement aux manifestations. Ils sont arrêtés de manière violente par la police qui utilise des chiens, mais aussi des jets d'eau à haute pression d'une telle force qu'ils pouvaient déchirer les vêtements

petits ont des chances de se faire entendre. Des consuls sont élus pour l’administration quotidienne. Le premier consul devait être noble. Elle fait front pour écarter les médiocres du consulat : petite-bourgeoise et représentants des paroisses pauvres. La Jurade doit faire face aux intrusions royales qui lui fait perdre sa substance. |Ex : la Jurade d’Agen : A cause des guerres de religion, la Jurade de cette ville de la Ligue catholique a acquis une grande autonomie. | |En cas de crise

démarche de La Fontaine est conforme aux préceptes de l'esthétique classique. Ainsi, il se présente comme un simple adaptateur des Anciens (le fabuliste grec Ses apologues, ces courts récits dont on tire une instruction morale, servaient de thème aux écoliers, de support à leur imagination ; ils avaient à les enrichir et à les développer. Les apologues fournissaient aussi aux orateurs des exempla, des illustrations. Le modèle antique affirme la vocation des qui est d'instruire. Mais, pour La Fontaine

hirondelles embrouillaient le jour jour.C’était un midi pauvre,à visage froissé.Les deux amis se mirent en marche,sans vraiment savoir où ils allaient.Dabs ces instants-là,c’est la faim qui vous guide,et vous vous laissez aller.Dans le monde,il y a tant de pas inutiles ! Le vent,tiède,vint jusqu’à eux ;il les huma,comprit qu’ils étaient sales et devint leur compagnon.Dans certains pays tropicaux,certains vents s’attachent aux pauvres,un peu comme les mouches,à cause de leur odeur. -Ah,quand

que le nouveau tenait encore sa casquette sur ses deux genoux. C’était une de ces coiffures d’ordre composite, où l’on retrouve les éléments du bonnet à poil, du chapska, du chapeau rond, de la casquette de loutre et du bonnet de coton, une de ces pauvres choses, enfin, dont la laideur muette a des profondeurs d’expression comme le visage d’un imbécile. Ovoïde et renflée de baleines, elle commençait par trois boudins circulaires ; puis s’alternaient, séparés par une bande rouge, des losanges de velours

paternelle. À la mort de cette dernière, elle s’en va chez une tante très pauvre qui la fait travailler dans une filature de coton pour gagner sa vie. Le grand Meaulnes Le Grand Meaulnes est l'unique roman d'Alain-Fournier, publié en 1913. Le roman retrace l'histoire d'Augustin Meaulnes, racontée par son ancien camarade de classe, François Seurel, devenu son ami. François Seurel et Augustin Meaulnes sont tous deux écoliers dans un petit village de Sologne près de Vierzon. Lors d'une escapade, Augustin

Etant en supériorité numérique, la foule se déchaîne sur ce « pauvre » (l.19) homme d’après Victor Hugo en le rejetant de la société. « Le bossu, le borgne, le bancal » (l.27-28) sont des adjectifs qualificatifs qui sont rapport avec son physique. La foule le juge seulement sur son physique pour décréter que c'est

derrière, plus ou moins selon la gravité de la faute. -La place de l’âne : revêtir des habits de l’âne qui sont : un vieux haillon, un balai en main, un vieux carton fait en forme de tête d’âne, un placard d’un âne attaché au dos avec la risée des écoliers qui crieront à l’âne, et même les mener à l’entrée de l’école et les faire huer de tous les écoliersà punition pour les paresseux qui ne veulent rien apprendre et qui ne savent pas leurs leçons. à fréquence des châtiments corporels surement différentes

éducation, c'est d'être le meilleur et de voir sa valeur reconnue par tous (Homère, Iliade). Homère, "l'éducateur de la Grèce" selon Platon, transmettra aux générations suivantes cette morale héroïque de l'exploit ; pendant des siècles en effet les écoliers apprendront par cœur de larges extraits de son œuvre, considérée comme essentielle pour la formation morale des jeunes gens (Xénophon, Le Banquet). L'éducation à Athènes est très différente de celle qui se pratique à Sparte : Au cours du VIe