L Enfant Et La Rivière

|Lacs (eau douce) |100 000 |1 à 20 ans | |Humidité des sols |70 000 |1 an | |Rivières |1 700 |16 jours | |Atmosphère |13 000 |8 jours | |Biosphère

Présentation générale de l’œuvre Je vais vous présenter La Rivière à l’envers de Jean-Claude Mourlevat, édité chez Pocket jeunesse pour la première fois en 2000. Mourlevat a écrit de nombreux ouvrages dont le célèbre Enfant Océan. La richesse des romans de cet auteur vient du fait qu’il ne se considère pas comme un auteur de littérature de jeunesse mais bien comme un auteur pour tous. Résumé : L’histoire commence dans un univers réel, l’épicerie dans laquelle Tomek, orphelin de 13 ans s’ennuie

litres d'eau par jour (Le jour ou la journée est l'intervalle qui sépare le lever du coucher du Soleil ; c'est la période entre deux nuits, pendant laquelle les rayons du Soleil éclairent le ciel. Son début (par...) (alimentation, hygiène, etc.. ) Un enfant, dans un pays développé, consomme 30 à 50 fois plus d'eau que dans un pays en voie de développement. Un milliard (Un milliard (1 000 000 000) est l'entier naturel qui suit neuf cent quatre-vingt-dix-neuf millions neuf cent quatre-vingt-dix-neuf mille

ces deux dames qu'il convenait, pour l'intérêt de leurs enfants, et surtout pour empêcher l'établissement de quelque autre habitant, de partager entre elles le fond de ce bassin, qui contient environ vingt arpents. Elles s'en rapportèrent à moi pour ce partage. J'en formai deux portions à peu près égales ; l'une renfermait la partie supérieure de cette enceinte, depuis ce piton de rocher couvert de nuages, d'où sort la source de la rivière des Lataniers, jusqu'à cette ouverture escarpée que vous

Aussi, au troisième strophe le soldat « sourirait comme un enfant malade » (10) donc ce poème l’illustre comme un enfant qui souligne le rôle de la nature en tant qu’une mère. À travers de ce poème, un élément important du texte, c’est le contraste entre la nature et le soldat. L’auteur décrit la nature comme très vive et animée. Il montre que la nature est très coloré. « C’est un trou de verdure, où chante une rivière » (1). Il fait la rivière venir vivant tandis que « un petit val qui mousse de rayons

détruit complètement le couvent le 31 décembre 1651. Il y avait à peine 12 ans que les religieuses étaient à « Kébec ». Le couvent est reconstruit. En 1697, suite à une demande de Mgr de Saint-Vallier, quelques religieuses s’installent aux Trois-Rivières et ont une double mission : celle de protéger, d’éduquer l’enfance et de soulager la douleur. Donc il faut consacrer dans le couvent un emplacement afin d’y ériger un hôpital. La vie quotidienne Le premier problème auquel Marie de l’Incarnation

image se brouille,… revenir en arrière. Pylade, mon bon Pylade, où sommes-nous ? Hermione nous rejoindra-t-elle ? « Vois les enfants s’ébattrent dans la rivière ». Plus d’arbres, plus d’oiseaux, mais une rivière, des enfants. Ils rient, chantent, s’éclaboussent, s’amusent, pourquoi Pylade ? « Vois Oreste » Que dois-je voir ? « Ne vois-tu pas autour des enfants, l’eau ? » L’eau ? «  L’eau,… elle coule de travers » Un silence,…Pylade, est-ce l’Achéron, le traverserons–nous bientôt 

féminines, peuvent être mise en perspective : D’une part en appréhendant, les rapports mère-fille. En considérant également, les rêves, la solitude et l’isolement, des femmes du roman, qui sont par ailleurs, des réactions au poids pesant du quotidien à Rivière au Sel et Pour finir. On portera un regard sur les bouleversements émotionnels que subissent certaine femmes du récit et sur les décisions importantes qu’elles ont prise après la mort de Francis Sancher Le rapport mère/fille ou l’absence de mère

C'est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le

pour que le choc soit d'autant plus grand. En effet, on peut aisément remarquer que la beauté de la nature est mise en avant avec le champ lexical de la nature : verdure, herbes, rivière, glaïeuls, etc. La joie, la douceur, lharmonie, la vivacité, sont également mise en valeur par les personnifications « où chante une riviere » (vers.1), « montagne fière » (vers.3) et « Nature, berce-le ». On peut supposer que le poète utilise la focalisation externe comme un moyen de ne pas nous donner les détails