L Enfant Et La Rivière

reprit : « -Alors, tu as des enfants ? -Et bien oui, j'ai huit enfants et ce n'est pas simple tous les jours, dit Boitelle. Puis il lui demanda : et toi tu t'es mariée ? - l'air gêne elle répondit : oui, je me suis mariée il y a cinq ans. Et cela fait un mois que l'on a emménagé dans la maison près de la rivière. -Ah, c'est toi qui habite maintenant dit Boitelle dans cette belle demeure. -Elle répondit : Et bien oui, mais elle est trop grande pour moi et mes deux enfants, mais elle est si belle que

kilomètres pour chercher de l'eau dans une rivière, est un problème. Ils ont avancé comme projet, la mise en place, au sein du village, d'une borne fontaine. Après quelques temps, la borne fontaine n'était plus fonctionnelle, et les femmes s'étaient remise  à chercher de l'eau à la rivière. On peut dire que le projet est un échec. la raison en est que ces  femmes n'ont pas voulu de cette borne fontaine. elles préfèrent aller chercher de l'eau à la rivière pour pouvoir papoter et discuter entre elles

flanc de la colline et coule, profonde et verte. » : ancrage référentiel réaliste Le narrateur s’attarde sur le paysage : les collines, la rivière et ses rives sablonneuses ,la clairière ; précisions sur la flore : les sycomores ; et sur la faune : lapins ( insistance) un héron guindé . On peut préciser que les paragraphes précédents décrivaient la rivière « dormante » et que l’action se passe en Californie au sud de Soledad qui signifie Solitude ( lieu où est né Steinbeck) C’est le soir cf

des  tasses  à   mesurer,  etc.,  les  enfants  doivent  transférer  l’eau  d’un  contenant à l’autre.     Attention au ballon  Asseyez­vous  en  cercle.  L’éducatrice  chante  une  chanson.  Les  enfants  se   passent  une balloune remplie   d’eau de  main  en main. Quand la chanson s’arrête, l’enfant qui  tient la balloune doit la lancer  doucement à  la personne devant elle.     Croque la pomme   Remplissez  un grand bol  d’eau. Le  but  est  que les enfants essaient d’attraper avec leurs dents une pomme 

forestier, sa femme, leurs sept enfants (situation initiale). La misère contraint le forestier à abandonner ses enfants au cœur de la forêt (élément perturbateur). Malgré les ruses du plus petit, les enfants errent dans la forêt, sont hébergés dans la maison de l'ogre qui veut les manger. Le Petit Poucet vole les couronnes des sept petites filles de l'ogre et les place sur sa tête et celle de ses frères : l'ogre, trompé, dévore ses filles au lieu des sept frères. Les enfants parviennent à s'échapper mais

| |ou procédés d’écriture | | | |Champs lexicaux |« verdure » (v.1), « rivière » (v.1), « herbes » (v.2), |États opposés | |Nature |« soleil » (v.3), « montagne » (v.3), « val » (v.4), |Les deux états qui s’opposent sont la beauté de la

du Val C’est un trou de verdure où chante une rivière, Accrochant follement aux herbes des haillons D’argent ; ou le soleil, de la montagne fière, Luit : c’est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, bouche ouverte, tète nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l’herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le chaudement

Paysage vert donc fertile → idée de vie ; personnification de la rivière qui « chante » donc idée de bonheur, d’inquiétude. Chant = bruit doux de l’eau de la rivière, « accroche follement » renforce l’idée d’un mouvement joyeux, d’ivresse, exaltation, bonheur. Haillons : petit bout de vêtement → on ne perçoit pas encore le sens (peut désigner un fragment de vêtement qu’aurait perdu le soldat au combat). L’eau de la rivière reflète au soleil : → nature lumineuse : d’argent en rejet mis en valeur :

DORMEUR DU VAL C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent; où le soleil de la montagne fière, Luit; C'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort; il est étendu dans l'herbe, sous la nue, Pale dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme: Nature, berce-le chaudement:

  C'est un trou de verdure où chante une rivière Accrochant follement aux herbes des haillons D'argent ; où le soleil, de la montagne fière, Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons. Un soldat jeune, lèvre bouche ouverte, tête nue, Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu, Dort ; il est étendu dans l'herbe sous la nue, Pâle dans son lit vert où la lumière pleut. Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme Sourirait un enfant malade, il fait un somme : Nature, berce-le