L Enfer C Est La Solitude

détracteurs et de ses opposants comme Napoléon III. Commentaire littéraire : Première partie : Victor Hugo a écrit ce texte pour pouvoir interpeller grâce au registre extrêmement pathétique. Il met en place une antithèse pour surligner leur solitude « tous » et pas « un seul » (vers 1). « Pas un seul ne rit » (vers 1) nous montre que ce n'est pas une chose normale pour un enfant. Victor Hugo décrit objectivement l’état physique des enfants. Il s'attarde sur leur mauvaise santé « que la fièvre

dénouement spectaculaire, et baroque : le sublime côtoie le grotesque. Les éclairs, à l’origine appartenant à Zeus, symbolisent la colère de Dieu et le corps de DJ s’embrase. C’est la représentation traditionnelle de la damnation et de la chute en Enfer par l’Eglise. Les propos de Dom Juan sont, par ailleurs, équivoques et jouent plusieurs fonctions : * justifier la surprise qu’il éprouve car jusqu’au dernier moment, il se montre incrédule « Ô Ciel ! Que sens-je ? » * Informer

odeur » ; « pourriture ». - Image brutale : Leçon d'un Mémento mori. 3 ) Registre fantastique * Il suscite la peur : - Opposition entre obscurité et lumière. - Idée du déplacement « appel mobile » ; « lueur fuyant » ; « ce coup »... * Solitude et hésitation : - Incertitude de perception « dit-on ». - Hésitation par la syntaxe : 9 enjambements sur 15 → Créer une syntaxe heurtée et disloquée (= dispersée ). * Nominalisation du verbe « effrayer » : - Caractère fantastique et angoissant

encore d'avenir, à la fois plein de semblants de ruines et d'espoirs incertains. Mais par dessus tout, la mélancolie est le signe distinctif de l'artiste : c'est déjà le spleen sans cause précise, état morbide où l'on ne se supporte plus, où la solitude est un enfer, où la conscience du temps qui passe et le malheur de l'homme, la cruauté de la nature accablent l'esprit, et lui inspirent des tentations de révoltes politiques ou de suicide, à moins qu'il ne sombre dans la folie. Ce mal est le mal de l'homme

lieu protecteur clos. Sirène = divinité des eaux. Mythologies. Le rêve se prolonge et s'associe à la quête pour l'art dans le 2nd tercet. « e » qui coordonne les deux quatrains et qui prolonge le rêve. Evoque une autre expérience, sa descente en enfer et sa victoire. Expérience privilégiée. Périphrase pour évoquer cette descente à l'enfer. Il sort vainqueur, allitération en « q », cela marque sa victoire. Le poète s'assimile à Orphée. Domaine de la mythologie. Image suggérée dans ce très beau dernier

se sert du registre pathhétique grace a l'utilisation du l'exique de l'innocence "cheminer seules", la maladie et l'affaiblissement "la fièvre maigrit", cela montre a quel point les enfants sont en mauvaise santé , la faiblesse, l'abandont et la solitude "seules".Donc comme nous l'avons vu ce poeme montre grace aux questions rhétoriques, grace a une antithèse mais aussi grace a l'utilisation l'exique de l'innocence a quel point la situation n'est pas normale et le sentiment des enfants Hugo decrit

qui est placé au dessous. Le sujet n’a pas de sens seul. «L’enfer c’est les autres» l enfer: dépendance avec autrui. Reste identique à lui même à partir de l’acquisition du je malgré les changements. «La seule réalité de je que je peux avoir existe par la multitude de rôles joue». Sartre Selon lui l’introspection ne mène nul part. Pour Descartes seul je peux arriver à me connaître (solipsisme= solitude) Selon S. Deux manière d’être : L objet L’être en soi

demeure d’un noble Arthur qui est riche et veuf depuis quelques années. Il vient de se fiancer il y a un mois à une jeune femme noble également Arianne. Elle est très amoureuse de son fiancé alors que lui s’est fiancé à elle car il n’aimait pas la solitude. Arianne ne se doute de rien, elle confie son bonheur à sa confidente Diane qui aime aussi Arthur. SCENE 1 ACTE 1 : Diane a été invitée par son amie Arianne chez elle pour passer quelques jours. Elles discutent dans l’entrée. -Diane : (en

solitaire, 1776-1778 Dans cet ouvrage, Rousseau exprime sa sensibilité pré-romantique en tentant de fixer par l’écriture les méditations et vagabondages de son imagination lors de ses promenades en pleine nature. Il est en quête de solitude (à la fois morale et intellectuelle) pour atteindre une forme de sérénité, qu’il semble trouver au cœur de la nature.L’élan lyrique est une mouvement ascendant vers le sacré. L’âme du poète transcende la réalité pour toucher à l’essence des choses

développement de l'homme. Il aide l'homme à acquérir l'ensemble des capacités habituelles humaines et grâce à lui l'homme n'est plus seul. Parfois, un monde sans société et sans autrui peut faire rêver, mais pour l'homme cela se révèlerait être un enfer plutôt qu'un paradis. En effet, sans la présence d'autrui, l'homme se retrouve seul et les conséquences de l'absence d'autrui vont entraîner sa déshumanisation : c'est notamment ce qui arrive à Robinson dans Vendredi ou les Limbes du pacifique une