L Enfer C Est Les Autres

La notion de nature est philosophiquement complexe puisqu'elle désigne, entre autres, à la fois le monde physique et ses différentes composantes, et le principe de vie qui anime, soutient tout être vivant et le conduit vers sa mort. Dans Fin de partie, on est face à un paradoxe : les personnages ne cessent d'évoquer une nature « dans les environs », de chercher à l'observer à la lunette pour en constater la disparition. Que reste-t-il donc de la nature dans cet univers gris ? I] Une nature élégiaque

tranchée et est allé récupérer notre camarade. Que dire sur cette brève humanité, l'allemand est reparti. Assommés par ce geste, nous avons réalisé que les « autres » étaient aussi des humains. Le plus téméraire de nous a confectionné un drapeau blanc et s'est dirigé vers nos ennemis. Il leur a proposé des cigarettes, les uns après les autres nous sommes sortis de nos tranchées pour nous trouver face à face. Toujours dans ce silence nous nous entraidons pour dégager nos morts et les ramener derrière

Tirade de Sganarelle Acte I scène 1 I. Dom Juan vu par Sganarelle 1. Un séducteur 2. Autres défauts de Dom Juan II. Auto-portrait de Sganarelle 1. Incarner la morale (?) 2. Sganarelle ; un lâche 3.Sganarelle et la parole du valet comique ( pédantisme, language populaire, valet bouffon) Tirade de l'inconstance : la réponse de Dom Juan Acte I scène 2 I. Eloge de l'inconstance 1. Dom Juan cherche à s'imposer 2. Critique

l’époque du moyen Age, cette dissertation expliquera en quoi peut-on dire que l'église est omniprésente dans la société du moyen âge occidentale entre les XI et XIII siècles grâce au exemple de l’influence de l’église à cette époque, sa lutte contre les autres religions grâce a des moyens comme l’inquisition ou les croisades et finalement l’ampleur de son pouvoir par rapport a notre époque. Au cours des XI et XIII siècles, l’église avait une influence extrêmement importante sur la vie des gens, par exemple

en scène trois personnages (un homme et deux femmes) enfermés en enfer pour l’éternité et qui vont avoir une discussion sur la vie et leurs actes, nous pouvons démontrer le caractère dramatique de cette pièce et sa conclusion : «L’enfer c’est les autres». Dans cette pièce chaque personnage va constamment être sous le regard des deux autres. Ils n’ont aucun moyen d’y échapper et ils vont sans cesse se demander ce que pense les autres d’eux : de leur apparence, de leurs actes ou encore de leurs paroles

rencontre terrible de Polyphème. L’évocation est imagée, précise : “il en prit deux, et comme des chiots, sur le sol les assomma. La cervelle en giclant mouilla le sol. Découpés membre à membre, il en fit son souper” vers.289-291, “[il] attrapa deux autres de mes gens pour son repas.” (vers 311, 344), “sans attendre il en broya un pour son repas”, et de Charybde et Scylla par exemple. • Ulysse découvre le cycle de la vie. Il devient homme en refusant l’immortalité, en retrouvant sa mère qui est

C'est trois extraits relèvent de 2 genres littéraires le romantisme pour le premier texte et le réalisme pour les deux autres textes et ils sont tirés tous les trois de texte datant du XIXe siècle. Le premier texte est écrit par Alexandre Dumas, extrait de Les trois mousquetaires, c'est un roman historique. Le deuxième texte est un extrait de Le père Goriot, c'est un roman réaliste. Il est écrit par Honoré de Balzac tout comme le troisième texte qui est extrait d’Illusions perdus. Les personnages

à l'amour : aimer davantage" HENRY DAVID THOREAU "L'amour est la seule chose dont on n'a jamais assez. Et la seule qu'on ne donne pas suffisamment" HENRY MILLET "L'amour est une laisse de soie qui conduit l'être humain soit au ciel soit en enfer" PROVERBE ARABE "Le plus beau vêtement qui puisse habiller une femme, ce sont les bras de l'homme qu'elle aime" YVES SAINT-LAURENT L'amour, c'est l'ennui d'être seul, la joie d'être à deux, la peur d'être à trois." ANDREI STOICIU " Quand

aussi, la mort, c'est que la fin de leur vie peut devenir un "enfer". L'évocation des couples de "vieux" rend, en effet, particulièrement touchant le drame de la séparation. Ils avaient "un cœur pour deux" (v. 2) et l'intimité de leur couple faisait qu'ils n'avaient plus besoin de se "parler" pour se comprendre, ils se parlaient "du bout des yeux" (v.1) ; lorsqu'ils "sortaient", ils se tenaient par la main" (v. 18) . Si la mort des autres peut constituer leur seul "divertissement" au "soleil", la mort

n'aurait rien fait à monsieur Bonaparte De me tuer au lieu de tuer mon enfant! "Elle s'interrompit, les sanglots l'étouffant, Puis elle dit, et tous pleuraient près de l'aïeule : "Que vais-je devenir à présent, toute seule?Expliquez-moi cela, vous autres, aujourd'hui.Hélas! je n'avais plus de sa mère que lui.Pourquoi l'a-t-on tué ? Je veux qu'on me l'explique.L'enfant n'a pas crié vive la République." Nous nous taisions, debout et graves, chapeau bas, Tremblant devant ce deuil qu'on ne console pas