L'Esprit de la forêt

le poète cherche à répondre à l’énigme du monde (nouvel Œdipe) Baudelaire évoque la Nature dans toute sa splendeur, au milieu de laquelle l'homme se promène envahi mais charmé. Le poète retranscrit les sensations rencontrées lors d'une ballade en forêt. Dialogue homme/Nature 2 quatrains= théorie et 2 tercets = démonstration de la théorie. Correspondance = lien entre visible/invisible -> lien vertical Synesthésie = communication entre les 5 sens / Alliance des sensations -> permet

beau et vrai est beau et vrai partout; que ce qui est dramatique dans un roman sera dramatique sur la scène; que ce qui est lyrique dans un couplet sera lyrique dans une strophe; qu'enfin et toujours la seule distinction véritable dans les œuvres de l'esprit est celle du bon et du mauvais. La pensée est une terre vierge et féconde dont les productions veulent croître librement, et, pour ainsi dire, au hasard, sans se classer, sans s'aligner en plates-bandes comme les bouquets dans un jardin classique

dans les prises décisions tant au niveau des ONG, qu’au niveau des gouvernants. Mais aussi, des écoles et établissements que nous associons dans notre approche de la lutte contre la déforestation. En effet, les feux, détruisent gravement le peu de forêts et des ressources naturelles à sauvegarder pour les générations futures. Les impacts néfastes des feux de végétation sont divers. Ils endommagent un grand nombre d’arbres et les détruisent progressivement les sols par la disparition de l’humus

Anthologie sur le thème de la forêt La Forêt Du Point De Vue Du Poète « La forêt, c’est encore un peu du paradis perdu. Dieu n’a pas voulu que le premier jardin fût effacé parle le premier péché. » De Marcel Aymé Préface : J’ai décidé de réaliser une anthologie de poète sur le thème de la forêt afin de monter les différents points de vue de la forêt selon les siècles. J’ai réunis ces poèmes grâce a des sites internet consacrée à la poésie, se qui m’a permis de voir des poèmes de siècle

/ CDDC / EFE / FGG) ; à travers cette forme fixe, immuable, Baudelaire évoque la Nature dans toute sa splendeur, au milieu de laquelle l’homme se promène envahi mais charmé. Le poète retranscrit les sensations rencontrées lors d’une ballade en forêt. I. UNE NATURE GRANDIOSE, IMPOSANTE, VIVANTE La Nature est ici personnifiée : « vivants piliers (vers 1), elle « observe » (vers 4), « paroles » (vers 2). Elle est imposante, gigantesque : un « temple » (vers 1), comme si elle renfermait quelque

"Celui dont les pensers, comme des alouettes, Vers les cieux le matin prennent un libre essor," L'Albatros: "Exilé sur le sol au milieu des huées, Ses ailes de géant l'empêchent de marcher." Correspondances: "L’homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l’observent avec des regards familiers." Le poète par sa spécificité, lui dont Baudelaire a bien précisé la naissance horrible, ( « Ah ! que n’ai-je mis bas tout un nœud de vipères, Plutôt que de nourrir cette dérision !", Benediction

satisfaire les besoins des générations présente sans compromette la capacité des générations futur . Doc 2: Les principales étapes de la naissances de cette notion débutaire par : - La création d une esquisse d un tableau historique des progrès de l'esprit humain en 1793 , mais aussi l'écrivain Malthus, écrit un essai '' an essay on the principale of population ''en 1798 . Puis ensuite des actes plus symbolique arrivèrent une centaine d'année plus tard : - La création du parc nationale aux

l’échelle locale SUJET : La biodiversité dans les milieux forestiers : La forêt : un milieu préservé et un refuge important pour la biodiversité. Les espèces végétales et animales ont évolué durant des milliers d’années au sein de ce type de paysage, ce qui explique que la plupart d’entre elles sont aujourd'hui encore adaptées à la vie dans les espaces boisés ou semi-ouverts. Du point de vue de l’homme, la biodiversité des forêts offre également la possibilité de cultiver et d’améliorer des espèces d’arbres

 Correspondances, Charles Baudelaire , Les Fleurs du Mal (1857) La Nature est un temple où de vivants piliers Laissent parfois sortir de confuses paroles; L'homme y passe à travers des forêts de symboles Qui l'observent avec des regards familiers. Comme de longs échos qui de loin se confondent Dans une ténébreuse et profonde unité, Vaste comme la nuit et comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. II est des parfums frais comme des chairs d'enfants, Doux comme les

(vers 3). La nature est permanente mais l’hommes passe, est fragile (rapport au temps).Si la nature est sacrée, elle est également hermétique : Elle s’exprime à travers « des forêts de symboles » vers 3 qui doivent être décryptés.On observe dans les 2 premiers quatrains, le champ lexical de la confusion : « confusent » V2, « forêts de symboles » V3, « se confondent » V5, « ténébreuses et profondes » V5, « nuit » V7. Cette confusion est soulignée phonétiquement par l’assonance en « on » du 2 ème quatrain :