Correspondances charles baudelaire
Le propos se veut universel.La Nature est présentée par Baudelaire comme un lieu sacré.La métaphore qui met en relation « la nature » et « un temple » au vers 1 permet de comparer notre environnement à un lieu sacré, divin. « Où de vivants piliers laissent parfois sortir des confuses paroles » V1 est une proposition subordonnée relative et les « vivants piliers », une périphrase désignant les arbres. Le « temple » est donc une forêt.La nature s’exprime, elle parle de manière confuse. L’homme ne la comprend pas.Au verbe d’état « est » du premier vers, qui se rapporte à la nature, Baudelaire oppose le verbe …afficher plus de contenu…
Cette confusion est soulignée phonétiquement par l’assonance en « on » du 2 ème quatrain : « long », « confondent », « profonde », « sons », « répondent ». Ce qui crée une musicalité, « comme de longs échos », V5, qui est une comparaison.(« qui de loin… » prop sub relative, « dans une ténébreuse » cc de lieu, « comme la clarté comparaison).Au vers 7, on note une antithèse entre « nuit » et « clarté ».Vers 8-14 : Le poète : un intermédiaire