L Esprit Nouveau Le Cubisme

(20 rue des Grands-Augustins, 75 006 Paris) constituerait une contrefaçon sanctionnée par les articles 425 et suivants du Code pénal. THÈME 1 Croissance économique, mondialisation et mutations des sociétés point du programme Le premier chapitre du nouveau programme de 1re est consacré à une étude historique de la mondialisation contemporaine. Les bornes chronologiques, ainsi que les sujets d’étude proposés, optent pour une analyse des économies-monde qui ont structuré l’espace mondial depuis 1850 et

d’étonner. La comparaison, en effet surprenante, peut s’expliquer ainsi : ces «mères, filles de leurs filles» sont des mères de famille si outrageusement fardées et coquettes qu'on les prendrait pour... les filles de leurs filles. Ces fleurs sont de nouveau comparées à la femme, à ses «paupières» qui «battent au vent dément» car, familièrement, on dit «un vent fou». On peut se demander si, en l'occurrence, ce vent-là ne rend pas fou celui qui, apercevant tous ces «battements» de fleurs, croit voir, mille

l’appui de cette assertion, une anecdote à valeur d’apologue relatée par Andrei Pleşu[6] dans son livre intitulé Limba păsărilor. On dit que le roi de Prusse, Frédéric le Grand, s’étant proposé la restitution de la “langue originaire”, fit élever deux nouveau-nés dans des conditions princières mais loin de tout stimulus verbal. Son espoir était que les deux “sujets”, poussés par un instinct de communication et à défaut de tout modèle communicationnel extérieur, parviendraient à s’exprimer spontanément

une période de contraction des échanges et de retour du protectionnisme, mais également de transition entre deux leaderships mondiaux. Ce n’est qu’après la Seconde Guerre mondiale que leur domination économique permet aux États-Unis d’impulser un nouveau cycle d’ouverture économique, notamment par l’intermédiaire du GATT. Enfin, la chute du bloc soviétique et l’ouverture de la Chine font basculer la presque totalité du monde dans la mondialisation. Ces ruptures s’inscrivent dans un contexte de croissance

d’étonner. La comparaison, en effet surprenante, peut s’expliquer ainsi : ces «mères, filles de leurs filles» sont des mères de famille si outrageusement fardées et coquettes qu'on les prendrait pour... les filles de leurs filles. Ces fleurs sont de nouveau comparées à la femme, à ses «paupières» qui «battent au vent dément» car, familièrement, on dit «un vent fou». On peut se demander si, en l'occurrence, ce vent-là ne rend pas fou celui qui, apercevant tous ces «battements» de fleurs, croit voir, mille

s’agit d’associer un certain nombre de fragments indépendants pour élaborer un espace plus ou moins hétérogène. Parmi ces grands courants, et bien qu’ils ne puissent être réduits à cela, on peut compter le cubisme, le dadaïsme, le futurisme et le constructivisme. • En ce qui concerne le cubisme, on peut penser aux collages de Braque et aux fragments de lettres disposés dans certaines œuvres de Picasso (les uns et les autres autour de 1912). • Avec dada, c’est l’invention du photomontage (vers 1917)

après Parallèlement, contrairement aux idées reçues...). Mais le grand élégiaque du tournant du siècle, c’est Guillaume Apollinaire (la chanson du mal aimé pourrait s’intituler « l’élégie du mal aimé »...). Au XX° siècle, le terme d’élégie est de nouveau repris et utilisé par tous les poètes français, en particulier dans la seconde partie du siècle. Dans les littératures étrangères, le terme d’élégie n’est pas tabou, il est utilisé très fréquemment par la lyrique anglaise, allemande, russe... (cf

Thérèse d’Avila a écrit une prose poétique assez étrange, elle a fixer les règles de vie des religieuses de son ordre, et St Jean de la Croix (Juan de la Cruz) est un très grand poète mais très illuminé. A la même époque apparaît un genre romanesque nouveau, le roman pastoral il se passe toujours a la campagne et met en scène les amours de bergers et de bergères. Les plus connus, La Diane de Jorge de Montemayor en 1560 et La Galatée de Cervantès en 1585. Un autre genre a la mode, le roman mauresque

d’église ». 5. Registre tragique : lexique de la fatalité « fardeau » ; tournure passive « qui m’était imposé » et tournure impersonnelle « Il fallait » qui exprime la nécessité ; évocation du « choix des dieux » en association avec le dernier vers (à nouveau idée de destin, de fatalité) puisque ce choix livre à l’univers « le reste de [ses] jours. » 6. Registre lyrique : 1re personne du singulier ; exclamations et question rhétorique ; interjection « ah ! » ; lexique des sentiments « bonheur », « paisibles »

présent à chaque page, à chaque ligne, à chaque mot. Même si l’on y trouve beaucoup d’objets, et décrits avec minutie, il y a toujours et d’abord le regard qui les voit, la pensée qui les revoit, la passion qui les déforme » (« Nouveau roman, homme nouveau », Pour un nouveau roman, Gallimard, collection « Idées », 1963 [première édition, 1961], p.147). Vous direz en quoi cette mise au point est susceptible d’éclairer votre lecture des Gommes et de La Jalousie d’Alain Robbe-Grillet. 1. Analyse du