L'Été où j'ai grandi

à l’étage et du jardin de la maison de Clémence. Les parents rentrent par la porte d’entrée. Clémence a mis en place pour chacune des enfants, un cahier de liaison avec les familles. Elle apprécie fêter les évènements du calendrier (Pâques, l’été, Noël, les anniversaires…). Elle a l’autorisation de transporter les enfants, de leur donner des médicaments avec ordonnance en cas de besoin. Clémence se forme régulièrement car elle apprécie rencontrer d’autres collègues et réfléchir sur sa pratique

J'ai beaucoup aimé cette lecture, ce style poignant, acerbe, sans complaisance, les personnages peu nombreux mais tellement présents et attachants. L'écriture est simple, les sentiments très bien décrits, l'auteure emploie les mots qu'il faut quand il le faut. L'histoire m'a accrochée dès les premières pages et je me demandais quel en serait le dénouement. Je trouve remarquable qu'une jeune fille de 19 ans ait su décrire avec autant de justesse le trouble émotionnel ressenti lors du passage

----------------------------------------------------------------- Léopold Sedar Senghor (1906 – 2001) Femme nue, femme noire Vêtue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J’ai grandi à ton ombre ; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu’au cœur de l’Eté et de Midi, Je te découvre, Terre Promise, du haut d’un haut col calciné et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l’éclair d’un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair

platanes. C'était changeant. Effrayant, par moment. Mais ici, l'ambiance était différente. Les gens parlaient entre eux, les jeunes se prélassaient au bord de la plage, profitant de l'été chaud qui s'annonçait. C'était simplement ma nouvelle vie. Le soir, je l'attendais avec impatience. Trépignante d'excitation. J'ai toujours aimé la musique. C'était ma lubie, ça. Un rêve de gamine non exaucée. Etant plus jeune, j'aurais aimé apprendre à en jouer. Pouvoir connaître quelques accords à la guitare

aux devoirs dans les centres de loisirs, la création du service animation, le lancement du nouveau site internet, la mise en place de l’éclairage à LED, sans oublier la création d’une structure d’accueil et d’orientation destinée aux 18/25 ans mais j’ai dit que je ne vous en parlerai pas… I AVANCER Pour revenir au proverbe qui tient lieu de refrain, nous avons déjà beaucoup avancé et nous avancerons encore cette année. C’est ainsi que je peux vous annoncer quelques nouveautés pour cette année 2011

insignifiantes et cependant absorbantes. Elle apprenait la valeur et l'importance des petites choses de la vie. Elle sut qu'on peut s'intéresser au prix des oeufs qui coûtent quelques centimes de plus ou de moins suivant les saisons. C'était l'été. Elle allait aux champs voir moissonner. La gaieté du soleil entretenait celle de son coeur. L'automne vint. Son mari se mit à chasser. Il sortait le matin avec ses deux chiens Médor et Mirza. Elle restait seule alors, sans s'attrister d'ailleurs

[modifier] Aurélien Cotentin a grandi à Alençon dans l'Orne. Il est le fils d'une institutrice d'école et d'un directeur de collège3. Lorsqu'il a une douzaine d'années et alors qu'il écoute plutôt du hard rock (Nirvana, Iron Maiden, Guns N' Roses, AC/DC...), ses camarades de basket-ball lui ont fait découvrir l'univers du rap4. Il obtient un baccalauréat en sciences économiques et sociales et déménage à Caen. Il y intègre l'École de Management de Normandie (diplômé en 2004), où en 2000, il

l'album et uniquement disponible sur Internet) lorsque la secrétaire d'État Valérie Létard y dénonce une incitation à la violence envers les femmes.  Biographie [modifier] Carrière musicale [modifier] Orelsan, de son vrai nom Aurélien Cotentin a grandi à Alençon dans l'Orne ; fils d'une institutrice et d'un directeur de collège[1], il obtient un Bac scientifique avant de déménager pour Caen. Il y fait une tentative en école de Management, où il rencontre le producteur musical Skread. Dans ce cadre

terre africaine. -> Dans quelles mesures Senghor réinvente la poésie lyrique ? Lecture du poème Femme noire Femme nue, femme noire Vétue de ta couleur qui est vie, de ta forme qui est beauté J'ai grandi à ton ombre; la douceur de tes mains bandait mes yeux Et voilà qu'au cœur de l'Eté et de Midi, Je te découvre, Terre promise, du haut d'un haut col calciné Et ta beauté me foudroie en plein cœur, comme l'éclair d'un aigle Femme nue, femme obscure Fruit mûr à la chair ferme, sombres

s'inspirant des contes russes entendus pendant sa propre enfance. Outre l’indémodable Roule galette pour le Père Castor (1950), on lui doit également L’histoire de Ho-l’archer dans les Contes des quatre vents (1954) ou encore Les animaux qui cherchaient l'été (1960), sans oublier plusieurs autres volumes de contes chez Nathan, illustrés notamment par Daniel Maja. Elle a eu une importante activité de critique littéraire pour la jeunesse et a été membre des jurys des prix Jeunesse et Jean Macé. Un prix « Enfance