L Etranger Camus Themes Principaux

Résumé: Le personnage principal, Frédéric Moreau, est présenté comme «l'homme de toutes les faiblesses». Les idéaux et les espoirs du personnage se confrontent à la réalité. Une discordance entre le moi et le monde se présente alors. Pour la majorité des personnages, il y a une impossibilité de parvenir au but fixé. Dans ce texte, nous est donc présentée la désillusion d'un personnage, dans une société qui l'est tout autant. Cette poétique de la désillusion est assez présente dans le livre et

disposition, les comédiens évacuent facilement la scène. – Le nombre des figurants n'est pas arbitraire : les acteurs arrivent de plus en plus nombreux, proportionnellement à la montée de la tension et à l'approche du meurtre. Les personnages principaux En règle générale, Huster tranche : il privilégie nettement une facette des personnages. A titre d'illustration, citons Philippe Strozzi, partagé entre les deux rôles de sage familial et de chef du clan républicain ; il cultive ici plutôt le premier

lecteur avant de commencer le récit ! Rousseau par exemple b) appartenir à un courant littéraire, c’est déjà également avoir un projet, des idées à mettre en œuvre : Chateaubriand et le Romantisme par exemple dans le cas des Mémoires d’outre-tombe (thèmes du souvenir, de la fuite du temps, du « moi ») c) le but poursuivi est également un projet en amont de l’écriture car il impose des choix narratifs quant à l’intrigue, les personnages ou les lieux tout autant qu’à l’écriture : la trame du Roman comique

METHODOLOGIE 1. LE PERSONNAGE PRINCIPAL 2. LE PERSONNAGE SECONDAIRE = Le Héros ou l’Héroïne =Le personnage central de l’histoire = Personne recherchée par le personnage principal Sans lui ou elle, il n’y a pas d’histoire. Il agit, fait évoluer l’action que l’on va suivre. Cela peut être : Une femme, un homme que notre héros ou héroïne aime. Une amie, un ami ETC… 3. L’AUXILIAIRE 4. L’OPPOSANT = Celui qui aide le personnage principal. = L’ennemi, le rival, le traître

l’époque présente in Lettre de Lord Chandos et autres textes, Paris, 1992, Poésie / Gallimard, NRF, trad. française de J-C Schneider et A. Kohn. dans les littératures de langue anglaise et française (Dujardin, Joyce, Woolf, Faulkner, Proust, Larbaud, Camus, Sartre, Beckett, Sarraute, Robbe-Grillet). La problématique de ces deux séances est la suivante : il s’agira de voir en quoi la notion de personnage a connu une mutation dans la période qui a succédé au roman naturaliste, et comment cette mutation

action banale pour un paysan français –, ce monde est peuplé de « chrétiens », etc.). Enfin la métaphore désignant la richesse (les « couillons » comparés à un « mortier »), est bien triviale, on attendrait des propos plus intéressants de la part d’un étranger dont un découvreur nous présente la culture. 3. Les « mondes » en présence ne sont pas seulement identiques, ils entretiennent un rapport de réciprocité, ils partagent les mêmes caractéristiques et les mêmes croyances. Cf. le chiasme : alors qu’Alcofribas

personnages METHODOLOGIE 1. LE PERSONNAGE PRINCIPAL = Le Héros ou l’Héroïne =Le personnage central de l’histoire Sans lui ou elle, il n’y a pas d’histoire. Il agit, fait évoluer l’action que l’on va suivre. 2. LE PERSONNAGE SECONDAIRE = Personne recherchée par le personnage principal Cela peut être : Une femme, un homme que notre héros ou héroïne aime. Une amie, un ami ETC… 3. L’AUXILIAIRE = Celui qui aide le personnage principal. Il le seconde, le met en valeur. Généralement

Colassin/Monica Gomes DOSSIER PÉDAGOGIQUE L’illusion comqiue L’ILLUSION COMIQUE DE PIERRE CORNEILLE DU 10 AU 28 MARS 2009 DU MARDI AU SAMEDI à 20H30, EXCEPTÉ LE MERCREDI à 19H30 Avec : Rosario Amedeo (Adraste), Luc Brumagne (Matamore), Paul Camus (Pridamant), Pierre Dherte (Alcandre), Robert Guilmard (Géronte), Othmane Moumen (Clindor), Melissa Pire (Rosine), Babetida Sadjo (Lyse), Carole Weyers (Isabelle), Arieh Worthalter (Dorante et Le Geôlier, Eraste) Travail du vers : Anne-Claire. Scénographie

culturelle, avant Paris. Elle est la capitale du symbolisme et de l'expressionnisme: L'esprit Viennois est donc tout à fait révolutionnaire. Il y a une espèce de religion de l'art, une religion immanente et non transcendante. Littérature: – Kafka et ses thèmes: réalité du cauchemar, loi, sens de la vie obscure. – Rilke et sa poésie symboliste. – Freud avec la théorie de l'inconscient (nous sommes travaillés par des forces qui nous dépassent: le ça), la psychanalyse, la pathologie du besoin de religions

donc dans la structure même de la pièce. Les deux actes suivent un plan quasi identique : retrouvailles de Vladimir et Estragon, venue de Pozzo et Lucky, message final du garçon et décision de partir. Un système de répétitions internes de phrases, de thèmes, de situations vient renforcer cette structure. Toutefois, le deuxième acte présente quelques éléments nouveaux : quelques feuilles apparaissent dans l’arbre, le tandem Pozzo et Lucky est passablement transformé. La répétition dans la structure n’est