L Heroine Realisme

intimement liés pour elle. Elle met des rituels de sa vie de tous les jours en scène. Elle inspire une héroïne fictive d’un roman (maria). Sur ca photo on peut voir que son régime alimentaire se fait en fonction d’une couleur par jour. Sophie s’exprime en « je » et au passé. On ne sait pas si ses bribes de vie de tt les jours qu’elle met en image, son réel ou invente. Mais son effet de réalisme semble pourtant inventé. Son œuvre est un jeu sans fin, dont elle fixe les règles et prend racine dans

romanesque Problématique : Comment transcrire la médiocrité du réel et en faire une œuvre d’art ? Introduction • Flaubert, écrivain français de premier plan de la 2nde moitié du XIXème siècle, s’impose comme un maître du réalisme avec ce roman, Madame Bovary, publié en 1857. → inspiré par un fait divers en Normandie (mais aussi par le roman de Balzac La femme de trente ans – le sous-titre ‘mœurs de province’ est d’ailleurs un hommage à Balzac). • Flaubert dresse le portrait

popula°, lutte des races: race aristocratique des francs contre race populaire des gaulois. Culte romantique de Vercingétorix. Spécificité française: héro romantiques= historiques et se trouvent dans une histoire de plus en plus proche (Révolu°). Héroïne romantique= Jeanne d’Arcè satisfait le sentiment français d’anglophobie après la défaite de Waterloo. Goût pour l’art gothique. Naissance de la no° de patrimoine: créa° de l’école de Chartes, du musée de Cluny. Fort succès du roman historique à la

couche » sur le corps de la femme qu’il a tuée. Instant précis de l’amour, le couchant est aussi le temps de la mort. Les références contradictoires au printemps ne permettent pas de situer l’action en un mois précis. Difficile de parler de réalisme météorologique, mais encore une fois, c’est plus l’idée du printemps qui intéresse Duras que le printemps lui-même. Là encore, la symbolique du printemps s’avère amoureuse voire érotique. Ces données chronologiques n’ont d’autre fonction que de suggérer

pleine de Cuisiniers, de Marmitons…et tous … se mirent à travailler en cadence au son d’une Chanson harmonieuse. » Elle voit alors les préparatifs enchantés du repas de ses noces. 1.2. Les personnages Le conte merveilleux ne se souciant pas de réalisme, les personnages restent anonymes, à l’exception du prince Riquet. On ne sait ni le nom des princesses, ni ceux du roi et de la reine qui en sont les parents. Étymologiquement « merveilleux » vient du latin mirabilia qui signifie « choses étonnantes »

genres littéraires afin d'atteindre la perfection, recherchée par les classiques. Ces derniers prennent pour modèles les Anciens, c'est-à-dire les Grecs et les Romains de l'Antiquité. Le classicisme cherche à expliquer les passions de ses héros et héroïnes par la raison. Les classiques veulent emporter l'adhésion du lecteur, le « réformer » en lui inculquant une morale, et jugent ce but irréalisable si le lecteur est attaqué, provoqué ou choqué : ainsi furent créées les règles de la bienséance et de

Psychological realism 1. General Introduction They belong to a specific trend in literature which is psychological realism. We’ve talked about a change in the definition of realism because of a change in the definitions of the reality that the novel have to decribe, a change based on the discovery of new realities linked to the focalizer, the one who does the description. What is important to keep in mind is the fact that an entire part of the novel becomes preocuppied essentially with

conduit à l'élaboration du mélodrame, le drame plus enracinée dans la dix-neuvième siècle. Le mélodrame que la littérature est souvent ignoré ou ridiculisé, méprisé par la critique au moins, car il fournit des images de méchants à moustache atusan héroïnes ou soumis à des voies ferrées. DRAME BOURGEOIS Il a proposé une reconstitution de la vie locale et à la maison. Le spectateur doit avoir l'impression d'assister à un événement réel et il est venu pour aider la scène de trois murs, afin que

plusieurs cibles : il dépeint une classe sociale que les artistes méprisent, la bourgeoisie. Le sous-titre du roman est d’ailleurs Mœurs de province. Critique la médiocrité intellectuelle et sociale de cette petite bourgeoisie normande. Critique son héroïne, qui a été contaminée par ses lectures romantiques mal digérées. En contrepoint : Un héros romantique L’héroïne, Pauline, évoque ses premières impressions après sa rencontre avec Horace de Beuzeval, un homme mystérieux… Il nous raconta ses courses

descrescendo : avant le mariage de Charles et d’Emma (Chap 1, 2, 3 de la première partie), Emma elle-même est à peine connue du lecteur, et il faudra encore trois chapitres (chap 4, 5, 6) au romancier pour cerner les causes de l’insatisfaction de son héroïne. A la fin du roman, dans les chap 10 et 11, on découvre la ruine financière, morale, puis physique, de Charles après la disparition d’Emma : le personnage s’éteind petit à petit. L’enchaînement des trois parties ⊗Première partie : Emma jeune