L Heroine Realisme

est un mouvement littéraire fondé par Emile Zola sous la III ème république. Il obéit à une rigueur scientifique (sciences expérimentales) et une observation des faits. Ce mouvement vient du réalisme, mais poussé à « l’extrême », en effet, le Naturalisme renforce ou développe certains caractères du Réalisme. Dans le roman naturaliste, on n'hésite pas à montrer l'homme tel qu'il est sans chercher à le modifier ni à l'embellir, jusqu’à montrer ses vices. Ainsi, le romancier invente une situation,

ait l'odeur du peuple »1. L'écrivain y restitue la langue et les mœurs des ouvriers, tout en décrivant les ravages causés par la misère et l'alcoolisme. À sa parution, l'ouvrage suscite de vives polémiques car il est jugé trop cru. Mais c'est ce réalisme qui, cependant, provoque son succès, assurant à l'auteur fortune et célébrité. Résumé Gervaise Macquart, le personnage principal, une Provençale originaire de Plassans, boiteuse mais plutôt jolie, a suivi son amant, Auguste Lantier, à Paris avec

Emma écrit une lettre à une amie de pension pour lui raconter sa soirée. Texte 4 : Ambiguïtés du personnage féminin dans le roman contemporain : entre mystère et folie : aller au-delà des topoï romanesques associés au personnage féminin (du réalisme au lyrisme). Le ravissement de Lol V. Stein, Marguerite Duras, 1964. Pour aller plus loin : le topo du bal dans le roman: «  La Parure », Contes du jour et de la nuit, Maupassant. Jane Eyre, Charlotte Brontë Belle du Seigneur, Albert Cohen

embrassant ses enfants.III - Quel est le mouvement du roman ?  : il est marqué par les deux esthétiques principales du 19°S : il est rattaché au mouvement du romantisme français mais initie aussi au mouvement du réalisme dont les écrivains veulent dresser un portrait réaliste, miroir de la société et notamment des classes moyennes et populaires. Aspect romantique du roman : le roman peint la société bloquée de la restauration où un jeune homme

laquelle les intrigues marivaudiennes se réduisent à un plaisant badinage, mettant en scène des figures évanescentes vouées au culte gratuit de l’élégance creuse et du raffinement superficiel. Par réaction, d’autres lectures parlèrent, à l’inverse, du « réalisme » du théâtre de Marivaux et insistèrent sur la consistance charnelle des personnages, sur les dimensions de la séduction et du désir [1]. Mais cette controverse sur le « marivaudage » de Marivaux ne doit pas occulter un apport incontestablement plus

l’œuvre de Madame de La Fayette nous offre Bernard Pingaud dans son livre Mme de La Fayette (1997). Odette Virmaux dans Les héroïnes romanesques de Madame de La Fayette (1981) et Jean Fabre dans Idées sur le roman de Madame de Lafayette au Marquis de Sade (1979) décrivent plus en détails l’inspiration de Madame de La Fayette et ils s’orientent également vers la natures des héroïnes et vers les thèmes courants chez Madame de La Fayette. Tous ces livres nous ont donné une image riche de la façon dont cet

s’identifier à l’un de ces personnages en particulier : il reste un observateur extérieur. Ainsi, ‘’Pierre et Jean’’ réunit tous les éléments techniques qui définissent un vrai roman, mais ne recèle rien de romanesque. Il répondait ainsi aux critères du réalisme le plus poussé. Intérêt littéraire Dans ‘’Pierre et Jean’’, le style de Maupassant est généralement sobre, les phrases brèves, sauf en quelques passages comme celui (page 90) commençant par «Il se pouvait que cette imagination seule…» qui apparaît

s’identifier à l’un de ces personnages en particulier : il reste un observateur extérieur. Ainsi, ‘’Pierre et Jean’’ réunit tous les éléments techniques qui définissent un vrai roman, mais ne recèle rien de romanesque. Il répondait ainsi aux critères du réalisme le plus poussé. Intérêt littéraire Dans ‘’Pierre et Jean’’, le style de Maupassant est généralement sobre, les phrases brèves, sauf en quelques passages comme celui (page 90) commençant par «Il se pouvait que cette imagination seule…» qui apparaît

pris la chose d'une manière héroïque, j'entends minutieuse, en acceptant tout, en disant tout, en peignant tout (expression ambitieuse). " A Léon Laurent-Pichat, 2 octobre 1856   " On me croit épris du réel, tandis que je l'exècre. C'est en haine du réalisme que j'ai entrepris ce roman. Mais je n'en déteste pas moins la fausse idéalité, dont nous sommes bernés par le temps qui court. " A Edma Roger des Genettes, 30 octobre 1856   " Madame Bovary n'a rien de vrai. C'est une histoire totalement inventée

le XIXe siècle appellera l'art réaliste, qu’il dépassa toutefois en recréant, à partir de ce réalisme même, tout le mystère de l'aventure romanesque, en ne poussant pas l’amour de la vérité jusqu'à choisir un personnage médiocre, comme on en voit tous les jours. L'aventure et le caractère de Suzanne Simonin gardent quelque chose d'exceptionnel. Si, de ce fait, l'œuvre s’écarte de ce que sera le réalisme, il n’en reste pas moins que Diderot a mis au point une technique de description réaliste et qu’il