L Hirondelle Et Les Petit Oiseaux De La Fontaine

Cette anthologie a pour but de présenter l'intelligence animale a travers les fables de Jean De La Fontaine. Jean De La Fontaine est né à Château-Thierry le 8 juillet 1621 où il a vécu la majeure partie de son temps. Il décède le 13 avril 1695 à l'age de 74 ans. De La Fontaine a tout d'abord étudié au collège de Château-Thierry jusqu'en troisième, il n'étudia pas le grec ce qu'il regretta plus tard. En 1641 il entre à l'Oratoire mais il arrête un an plus tard. Après cela Il reprend des études

son âge ! Les Voyages Quand reverrai-je, hélas, de mon petit village Fumer la cheminée, et en quelle saison Reverrai-je le clos de ma pauvre maison Qui m'est une province, et beaucoup davantage ? Plus me plaît le séjour qu'ont bâti mes aïeux Que des palais Romains le front audacieux Plus que le marbre dur me plaît l'ardoise fine : Plus mon Loir gaulois, que le Tibre latin, Plus mon petit Liré, que le mont Palatin, Et plus que l'air marin la doulceur angevine

Fables (ou apologues) Une fable est composée de 2 parties: le récit et la morale. Le récit se reconnaît par l'utilisation de la 3ème personne, du passé simple. La morale se reconnaît par l'utilisation de la 1ère personne, du présent, par sa petite taille et par la présence de destinataire(s). Morale = Thèse : ce qui est bien, ce qu'il faut faire. Il existe 2 sortes de morale: - implicite, la morale est sous-entendue. - explicite, la morale est écrite

en 1856, Victor Hugo compare le train de vie des hirondelles à celui des hommes par un procédé où : -dans la première moitié du poème il raconte le chemin de vie, les ambitions, l'habitat de ces volatiles -dans la seconde moitié, il fait le comparatif entre la vie des hommes et celle des hirondelles. De ces deux espèces ne résulte qu'une seule ambition, celle d'être dans son habitat naturelle, c'est à dire les hommes à la ville et les hirondelles dans les bois et toutes deux au calme. Seulement

Les fables du livre I Le Livre I des Fables de La Fontaine fait partie du premier recueil de Fables de Jean de La Fontaine, publié en 1668. Composé de 22 fables en vers avec morale et d'une épitre dédicatoire au Dauphin, âgé six ans et cinq mois, fils de Louis XIV et de Marie-Thérèse d'Autriche * La Cigale et la Fourmi * Le Corbeau et le Renard * La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Boeuf * Les deux Mulets * Le Loup et le Chien * La Génisse la Chèvre et la

 Les Fables de Jean de la Fontaine Biographie de l'auteur : Jean de la Fontaine est né le 8 juillet 1621 à Château-Thierry , fils de Charles de la Fontaine et de Françoise Pidoux, famille bourgeoise. Son frère Claude nait deux ans plus tard et leur mère meurt entre 1631 et 1636. Il se dirigea au début vers la théologie comme son frère puis quitta l'institution un an après y être rentré. De 1645 à 1647, il étudie le droit et obtient le titre

poèmes sont classés dans l’ordre du temps, par saison, de l'automne à l'été en passant par l'hiver et le printemps. Les poèmes de l'automne sont : • « Automne » d’Apollinaire ; • « L'automne » de Théodore de Banville ; • « Ce que disent les hirondelles » de Théophile Gautier. Les hivers rigoureux sont cités dans : • « L'hiver » de Banville ; • « Fantaisies d'hiver » Théophile Gautier ; • « L'adieu » d'Apollinaire. La saison du renouveau est représenté par les poèmes : • « Le Printemps »

Les fables de La Fontaine. Morale : Définition de la morale : | Une morale implicite | morale faite de sous-entendu. | Une morale explicite  | morale sans sous-entendu. | La cigale et la fourmi : C’est l’histoire d’une cigale qui chante tout le temps sans faire de provision pour l’hiver, au contraire la fourmi fait des provisions pour survivre tout l’hiver quand la cigale lui demande à manger elle refuse de lui en donner. La morale est implicite.

moitié du XIXe siècle, d'un renouveau de la poésie. J’ai choisie ce poème car il s‘inscrit parfaitement dans le thème de mon anthologie. Brise marine La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres. Fuir ! là-bas fuir! Je sens que des oiseaux sont ivres D’être parmi l’écume inconnue et les cieux ! Rien, ni les vieux jardins reflétés par les yeux Ne retiendra ce cœur qui dans la mer se trempe Ô nuits ! ni la clarté déserte de ma lampe Sur le vide papier que la blancheur défend Et

L'essor sans fin nous réclame ; Planons sur l'air et les eaux ! Les oiseaux Sont de la poussière d'âme. Accourez, planez ! volons Aux vallons, A l'antre, à l'ombre, à l'asile ! Perdons-nous dans cette mer De l'éther Où la nuée est une île ! Du fond des rocs et des joncs, Des donjons, Des monts que le jour embrase, Volons, et, frémissants, fous, Plongeons-nous Dans l'inexprimable extase ! Oiseaux, volez aux clochers, Aux rochers, Au précipice, à la cime, Aux glaciers