L'Homme au complet marron

soldats sur le front et à leur ressenti. Les plans de l'image semblent plus ou moins confondus, imbriqués les uns dans les autres. Sur la gauche du tableau, on devine une ligne d'horizon. 2°Couleurs : Elles sont plutôt restreintes (camaïeux de beige, marron, bleu, gris), nuancés dans une gamme assez sourde. Présentes sous forme de plans colorés nuancés par des touches et des hachures. Ces plans colorés sont juxtaposés dans l'espace de la toile. Les couleurs ne sont pas cernées par des contours. 3°Composition

représentation on peut voir une moitié de citrouille sur le crâne sensé probablement être un chapeau. On trouve aussi des feuilles de vigne en guise de chapeau. L’homme ne semble avoir aucunes expressions particulières sur le visage. Sur la base du cou, il y a des morceaux de bois. Il est difficile de distinguer le lieu d’action. L’homme se tient au premier plan et le deuxième plan est simplement noir, obscur. A l’inverse, les contours sont ornés de floraisons mortes, signifiant la venue de l’automne

comme dans les châteaux du Moyen-âge par exemple. La couleur du plafond est identique à celle des murs, mais il n’est pas en pierres apparentes. Le sol lisse et uniforme est de couleur marron foncé. Ces couleurs jouent un contraste important entre le vert de la pomme, le bleu de la mer et du ciel, et le gris - marron de la pièce, que l’on pourrait comparer à des sons différents, de fonds pour ces derniers, et un son principal, omniprésent pour la pomme qui emplit toute la pièce, d’où le titre de l’œuvre

réfléchir grâce au décalage entre l’objet "pomme" et sa représentation. A première vue le titre ne montre également aucun lien entre ce qu’il signifie littéralement et l’œuvre en elle-même, cela intrigue une nouvelle fois le spectateur. La confusion est complète. La logique est bouleversée par rapport à notre quotidien. Cette peinture pose des questions mais on a du mal à trouver les réponses. Description de l’œuvre Trois éléments apparaissent d’emblée au spectateur : une pomme, une pièce qui pourrait

A gauche de la première de couverture, le fond est marron, en jaune est écrit le titre du livre et en blanc (en dessous du titre) est écrit le nom de l’auteur. A droite se trouve l’illustration, on voit un homme de dos, les mains attachés qui s’apprête à monter des marches, en haut de ces marches se trouve une guillotine et un prêtre, on en déduit que l’homme est le condamné et qu’il va se faire exécuter. .La quatrième de couverture est marron, en haut à droite est écrit le titre et en haut à gauche

Burka….........Page Le droit de culte....................Page Témoignage.........................Page Quelque témoignages de personne célèbres…Page Les droit de l'homme................Page La Burka A l'origine, la burka est le vêtement traditionnel des tribus pachtounes en Afghanistan. Ce long voile, bleu ou marron, couvre complètement la tête et le corps, un grillage dissimulant les yeux. Cette tenue était devenue aux yeux du monde le symbole du régime des talibans en Afghanistan, qui

vierges de toute colonisation. Les fuyards étaient appelés des "marrons", ils étaient alors pourchassés. Les premiers quilombos seraient apparus vers 1559, dix ans après l'arrivée des premiers Noirs en Amérique portugaise. Ces quilombos, cercle communautaire de marrons s'organisant ensemble pour recréer un village autonome, sont le résultat de ces fuites, qui peuvent être individuelles ou collectives. Il s'agit de se cacher de l'homme blanc. Ces quilombos ont été durant toute la période esclavagiste

Détective Gaudasse SEQUENCE 1 : BALCON D’APPARTEMENT – EXT – NUIT Une chaussure marron, appartenant au célèbre détective Sherlock Holmes qui est entrain de dormir, patiente en haut du balcon. Elle regarde ce qu’il y a en face d’elle, c’est à dure une ruelle sombre entre deux bâtisses. La ruelle est à peine distinguable du balcon. La chaussure n’y voit que les pavés qui composent la ruelle ainsi qu’un homme. L’homme attend contre le mur de la ruelle, il fume, les cendres rougeoyantes dévoile seulement

chant diphonique est une technique vocale impressionnante très répandue en Asie centrale et particulièrement en Mongolie. Ce chant est en quelque sorte une imitation de la guimbarde. Une légende mongole raconte que ce chant serait l'imitation par l'homme du chant d'une rivière coulant entre deux collines. Le chant diphonique est également appelé chant des harmoniques car il s'agit pour le chanteur d'émettre plusieurs sons simultanément. Il est donc capable de chanter deux voix à lui seul : tout d'abord

son parapluie. Au second plan, on peut remarquer quatre hommes, dont deux à cheval, et deux femmes à pied. Ce détail laisse penser que les personnages n'appartiennent pas tous à la même classe sociale et que certain sont plus riches que d'autres. L'homme à cheval au centre donne l'impression d'être le chef du groupe, notamment avec son fouet qui lui donne un effet de puissance. D'autre part, il est le personnage le plus haut dans la composition, ce qui intensifie cette impression. Ce personnage a