L Homme Depend T Il D Autrui

dites légitimes. Les lois légitimes sont des droits naturels, qui existent depuis le commencement et qui n’ont donc pas étaient modifiées par l’Homme. Le lien social permet de choisir la qualité de nos relations, rapports sociaux, puisqu’il dépend de nos sentiments au fur et à mesure du temps. Toutefois, la culture modifie ce lien social. Rousseau définie le lien comme non naturel dans le Contrat Social et ce dernier règlerai tous les rapports entre les individus. Pour Rousseau, le contrat

tolérant avec l’opinion de quelqu’un, cela ne veut pas dire qu’on l’accepte personnellement. Finalement, on peut dire que tolérer c’est ne pas critiquer ou même nier l’opinion d’autrui, encore plus simplement on peut dire que tolérer c’est laisser autrui en paix. Dans ce cas la peut-on dire que tout est tolérable ? que l’opinion de chacun est acceptable par l’ensemble de la société ? que chaque opinions correspond à celle de tout un peuple ? Ou mêmes encore que les idéologies raciales, fasciste ou

est seulement relative à autrui. Le verbe pouvoir peut faire ressortir deux grands sens qui sont la capacité physique : on se demande si on a la possibilité, et la capacité morale : est-ce bien ou mal ?, en allemand les verbes können et sollen permettent de séparer ces deux interprétations du verbe pouvoir. D’un point de vue moral, il semble clair qu’être de bonne foi est bon : on ne cherche généralement pas le mal lorsqu’on est honnête et sincère dans notre rapport à autrui. Mais le verbe pouvoir

il ne donne pas de direction : la démagogie n’est pas la « bonne » façon d’exercer la politique. La cause défendue en elle-même n’est pas aussi importante que son existence car il est difficile, voir impossible, d’obtenir un consensus : une cause dépend des convictions personnelles de celui qui la défend. Ainsi la passion et le sens des responsabilités ne se suffisent pas à eux même, il est nécessaire de les combiner en vue de mener à bien une action politique. II) Les différentes éthiques :

Or, j'ai nécessairement des préjugés. Tout homme a d'abord été enfant et a eu des tuteurs, dont il a reçu une éducation qui va l'influencer, peut-être à son insu. Si ma pensée dépend tellement de ce que les autres en ont fait, peut-on dire encore qu'elle est mienne? Mais si même ma pensée ne m'appartient pas de façon absolue, alors, qu'est-ce qui est à moi? De tous les biens matériels que je possède légalement, aucun n'est réellement à moi car il ne dépend pas de moi seul de les conserver. Les stoïciens

conséquent cela le rend responsable de ses actes. Ainsi si une personne tue sans en avoir eu l'intention, de ce fait involontairement, et à cause de circonstances extérieures comme l'abus d'alcool par exemple, ce mal n'est pas morale car il ne dépend pas de cette personne en question parce qu'au moment de l'acte cette personne n'avait pas l'esprit clair si conscient de ce qu'il faisait donc pas pleinement libre de ses actes. Cependant, le mal ne peut être morale seulement si il n'a pas pour

comme l’animal ( sauvage ) . L’homme se base tout d’abord sur sa pensée. Nietzsche rajoutera que l’illusion est vitale et que c'est même une tendance naturelle chez l'homme. Ainsi, la politesse , les flatteries , ne sont que comédie pour les autres (autrui) et surtout pour soi même. C’est-ce qu’on appelle mentir Nietzsche critique l'anthropocentrisme. Celui-ci provient d'une hypothèse du besoin (chose dit comme une réalité) : cette hypothèse se nomme la conscience ou intellect. L'intellect est le

Thierry Dupoux AUTRUI I. L’intersubjectivité comme essence de la conscience 1. La réfutation du solipsisme 1 Le solipsisme est une philosophie selon laquelle la seule réalité qui nous soit directement accessible est notre propre existence à titre de sujet pensant. C’est le cas de la philosophie de Descartes, telle qu’elle a été parfois interprétée à partir de la première Méditation (voir l’ouvrage Les méditations métaphysiques). En effet, le doute par lequel commence la réflexion consiste à

qui ralentis leurs arriver à la vérité. Le souci de la vérité est très important même s’il arrive que révéler la vérité engendre des conséquences désastreuses. II- Suis-je intolérant en cherchant à détromper autrui et à le sortir de ses erreurs ? Chercher à détromper autrui et à le sortir de ses erreurs est une forme d’intolérance ou de tolérance. Enonce de la thèse Pour parvenir à la vérité il faut se poser de nombreuses questions, il faut distinguer les contradictions notamment

en quel sens autrui ne me reflète que ce que j'ai envie d'être ? Ou ce que je suis ne dépend-il que de la volonté d'autrui ? Qu'est-ce que ce "celui que l'on est" ? "Celui" qu'on est, ce n'est pas la même chose déjà que "ce" qu'on est. "Ce" que je suis semble dépendre davantage de l'inné, d'une identité de naissance. Alors que "celui que je suis" représente davantage "celui que j'ai voulu être" à partir de ce que j'étais. Un autre homme, une autre personne. En philosophie, "autrui" est ce qui est