L Homme Depend T Il D Autrui

langue. 6. Le langage constitue-t-il la communauté humaine ? • La conscience ne vise pas autrui comme une chose parmi les choses, parce que, contrairement aux choses, autrui peut répondre quand je lui parle : parce qu'il me répond, autrui est non un simple objet de ma perception, mais un autre sujet qui me vise à son tour dans sa propre conscience. • Le langage permet de viser intentionnellement autrui comme sujet : Husserl peut donc affirmer que c'est lui qui fonde la communauté humaine entendue

dans son exercice. Il reconnait que la vertu n’est pas innée toutefois c’est ce que nous possédons d’une autre façon que par nature et qui ne survient que lorsque la raison produit ses effets. La vertu s’acquiert donc « contre-nature », bien que tout homme soit disposé par la nature à acquérir la vertu, si nous laissons notre nature à elle-même, nous ne développerons que nos mauvais penchants en raison de notre pense naturelle à rechercher d’abord le plaisir. Aristote distingue les vertus morales des

humain, on postule une nature humaine : tous les sujets humain quelque soit leur culture peuvent chercher une même vérité → double universalité : universalité des sujets (nature humain) et universalité de la recherche de la vérité. On présuppose un homme naturel et non pas historique ou culturel → abord philosophique classique → abord intellectuel. b) l'inversion du rapport entre le sujet et la vérité Que peut-on dire de vrai du sujet ? Dans cette approche (ce qu'il y a de vrai sur le sujet ) on

atteindre un certain plaisir, mais pour y arriver il donne toute sa peine donc cela serait plus évident de dire qu'il recherche la peine. Et ce n'est pas la seule chose qu'il nous apprend sur la peine, selon lui, l'homme aime cette peine alors que pour autrui la peine ne peut pas être aimée, car elle est de nature douloureuse, il contre totalement l'opinion générale sans qu'il ait, pour l'instant, d'arguments fondés en accord avec certaines des théories de ses prédécesseurs. C'est pour cela qu'à la phrase

agit que pour lui même ) Travail = c'est lorsque la production basé sur une réciprocité d'échange bascule dans une peur de l'absence de revenue. Lorsque la production est basée sur ses besoins naturels , on ne dépend que de soit, hors, lorsqu'on travaille également pour autrui , qu'une partie de la production se retrouve à la destination d'autrui , on peut alors exiger de lui une compensation. Là s'établit un déséquilibre malsain, avec la création de dominant ( ceux qui possèdent ) et dominé

forme de liberté ? » Tout d’abord, faut-il encore savoir ce qu’est un geste déplacé ainsi que la liberté. Un geste déplacé peut être une attitude que ce soit, morale ou physique, pouvant nuire moralement ou physiquement à autrui. Un geste n’est pas forcément déplacé, cela dépend du contexte dans lequel nous nous trouvons, là où se déroulent les faits. « Ma liberté s'arrête où commence celle d'autrui. » de Sartre est la citation exprimant clairement la liberté. Nous pouvons tourner cette citation de

d'acquisition de modèles de comportements, de normes et de valeurs (une culture) . Elle dépend de la société, elle varie en fonction du milieu social et du sexe . Ce processus peut donc être multiple (autant de socialisation que de milieux d'intégration, d'appartenance)

durable (une joie peut être éphémère) et profond (un plaisir peut être superficiel). Quelles sont les questions que l'on peut se poser à propos du bonheur ? En quoi consiste-t-il ? Y a-t-il un contenu unique pour tous les hommes ou bien cela dépend-il des individus ? Peut-on atteindre le bonheur en suivant certains principes ou bien s'agit-il surtout de "chance" ou de "destin" ? Le bonheur est-il la valeur suprême, celle qui domine toutes les autres ou bien y a-t-il des valeurs supérieures

des mensonges que la loi ne réprouve pas. Pourtant chacun apprend, par son éducation, qu'il est "laid" de mentir et que l'honnêteté et la sincérité sont des vertus morales qu'il faut cultiver. Mais chacun découvre aussi qu'il n'est pas bon de dire à autrui tout ce qu'il a sur le coeur et qu'en certaines circonstances il est même recommandé de mentir: par exemple mentir à quelqu'un pour ne pas le blesser ou lui épargner des souffrances, comme cacher la vérité à une personne atteinte d'une grave maladie

l’isolement pour devenir le membre d’un ensemble plus vaste. Biologiquement relié aux autres par sa nature de mammifère (enfanté et nourri par une mère dont sa vie dépend d’abord), l’homme l’est pour des raisons plus fondamentales encore, et qui dépassent ce trait commun entre lui et de nombreuses espèces animales. D’abord seulement biologiquement homme, considéré dans sa dimension animale donc, il se différencie cependant des autres animaux qui sont déjà par nature tout ce qu’elles ont à être. En effet,