L Homme Doit Il Respecter La Nature

le cerveau commande au coeur qui commande aux intestins (au niveau de l’individu). Nb : Cette répartition de la S° en trois classes se retrouve a toutes les époques de l’humanité Allégorie de la caverne Le commun des mortels est comme un homme attaché au fd d’une caverne et qui ne percevrait qu’une faible lumière de l’extérieur CAD que l’homme n’a pas accès à la vérité par lui même. Le philosophe est celui qui s’est délivré de ses préjugés et sait utiliser la raison pour connaitre les idées

le philosophe a dit à ce propos que c’est un encouragement à la stupidité volontaire. La morale débilite l’humain, il recherche tellement la perfection qu’il deviendra fou, ce qui fut le cas pour plusieurs moines. Refouler les passions est contre nature et ceux qui le font ressentiront une colère qui se transformera en ressentiment parce qu’il ne veut pas être pécheur. Nietzsche parle de deux morales, notamment celle des faibles, qui suivent les prêtres et peuvent même éprouver de la pitié face à

L’extrait étudié est tiré de l'œuvre de J.Bodin écrite en 1576 et qui s’intitule «Les six livres de la République». Ce texte est un exposé qui traite de la nature de l’État, et qui analyse la souveraineté. Celle-ci est une question qui a soulevé de nombreuses interrogations et de critiques et c’est en cela que cet extrait a effet de doctrine car il tente de répondre à ces questions. Il y défend la théorie monarchique, remise en cause par les philosophes pragmatiques, qui pensent que l’État est fondé

texte       Aucun homme n’a reçu de la nature le droit de commander aux autres. La liberté est un présent du Ciel, et chaque individu de la même espèce a le droit d’en jouir aussitôt qu’il jouit de la raison. Si la nature a établi quelque autorité, c’est la puissance paternelle : mais la puissance paternelle a ses bornes ; et dans l’état de nature, elle finirait aussitôt que les enfants seraient en état de se conduire. Toute autre autorité vient d’une autre origine que la nature. Qu’on examine bien

Néanmoins, cette louable intention d’éviter la barbarie, de refuser la valorisation de certaines cultures au détriment d’autres n’induit-elle pas un culte des différences lui-même barbare ? En effet, si tout se vaut, rien se vaut : juger au nom du respect des différences culturelles que toutes les cultures se valent, c’est s’empêcher de penser leur valeur respective. Comment dès lors éviter toute barbarie dans le regard que l’on porte sur la diversité des cultures ? Sur quel critère nous faut-il

des grands seigneurs, d'autres seigneurs plus petits sont aussi les vassaux des princes territoriaux etc … Le roi est le seul à être le sommet, on l'appelle le suzerain. Les vassaux obéissent dans le cadre d'un engage­ment contractuel; le vassal ne doit obéissance qu'à son seigneur. « Le vassal de mon vassal n'est pas mon vassal ». Le pouvoir du roi se voit donc réduit ! A partir du 12ème siècle, les rois de France veulent sortir de ce système d'obéissance contrac­tuelle. Les rois veulent que tous

récurrente dans les fragments au programme. Le roi serait-il un homme d'exception ou bien n'est-il qu'un être comme les autres, aussi misérable, sinon plus ? Nous verrons qu'aucun roi précis n'est étudié mais que la royauté sert d'exemple ou de métaphore à plusieurs analyses : d'abord à une critique politique et sociale des fausses grandeurs, ensuite à une observation morale de la condition humaine fuyant dans le divertissement. Enfin, tout homme est un " roi dépossédé " pour Pascal (..) I) Le Roi :

autres sont de deux natures, juridique et morale.  Chaque citoyen doit d’abord respecter les droits des autres, qui sont identiques aux siens. En effet, la Déclaration des droits de 1789 établit que "l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits" (art. 4). Ainsi, un citoyen a droit au respect de sa vie privée et doit scrupuleusement respecter celle des autres. De même, il ne doit pas empêcher quelqu’un

ait fait totalement défaut. Seulement, chaque civilisation l'entend à sa manière. De même, aucune controverse ne peut s'élever en ce qui concerne l'hygiène sexuelle et les précautions de toute espèce qu'il convient de recommander au jeune homme et à l'adulte en général. Mais de l'hygiène, M. le Dr Doléris passe à la morale, et ici, j'ai beaucoup plus de mal à le suivre. Il semble admettre, en effet, qu'on puisse légiférer sur la morale au nom de l'hygiène, alors qu'il jugerait étrange

d’exemples tirés de la pièce Phèdre, comment Racine respecte les règles classiques de la tragédie. a)La trajédie doit met en scène des personnages illustres et de rang : Phèdre etáit une reine et les autres personages de cette tragédie sont personnes ilustres aussi. Comme Thésée(roi d’Athènes), Hippolyte(prince) et Aricie ( princesse). b)Les personnages tragiques doivent preuver leur heroïsme dans un combat contre la fatalité : Hippolyte est un homme honoré et fidèle qui souffrait pour aimer la princesse