L Homme Est Il Naturellement Sociable

hommes pour qu’ils ne soient plus sous la crainte d’être agressé par d’autres hommes qui désireraient leur condition. L’agression est nécessaire pour subsister, face à la défensive qui nous laisse en proie à la rivalité des autres hommes. Chaque homme aura tendance à agresser pour devenir de plus en plus puissant, jusqu’à ce qu’il n’y ait plus personne pour le concurrencer. Hobbes montre que pour qu’un empire soit conservé, il doit s’étendre de manière à dominer totalement les autres. Hobbes

danger de l’épouser sans cérémonie. Aimable, bien fait, voilà de quoi vivre pour l’amour ; sociable et spirituel, voilà pour l’entretien de la société. Pardi ! tout en sera bon, dans cet homme-là ; l’utile et l’agréable, tout s’y trouve. Silvia. – Oui, dans le portrait que tu en fais, et on dit qu’il y ressemble, mais c’est un on dit, et je pourrais bien n’être pas de ce sentiment-là, moi. Il est bel homme, dit-on, et c’est presque tant pis. Lisette. – Tant pis ! tant pis ! mais voilà une pensée

siècle qui avait une conception du monde «finaliste, anthropocentriste où règne un Dieu rémunérateur et vengeur, créateur et providentiel » (Charles-Daubert 45). La raison alors a pris la place de la grâce et les Philosophes ont fait appel à tout homme raisonnable d’attaquer véhémentement les convictions morales de la religion et les impositions de conduite de l’Eglise qui les empêchaient de progresser. Pour l’homme du dixseptième siècle, « …au lieu de perdre son temps à chercher les ‘causes’

J'aurais donc voulu que personne dans l'État n'eût pu se dire au-dessus de la loi, et que personne au-dehors n'en pût imposer que l'État fût obligé de reconnaître. Car quelle que puisse être la constitution d'un gouvernement, s'il s'y trouve un seul homme qui ne soit pas soumis à la loi, tous les autres sont nécessairement à la discrétion de celui-là  ; et s'il y a un chef national, et un autre chef étranger, quelque partage d'autorité qu'ils puissent faire, il est impossible que l'un et l'autre soient

Pierre BOUDA Michel AGOH Ouagadougou le 27 mars 2010 INTRODUCTION Dans la philosophie antique, l’éducation est comprise comme l’action qui vise à faire de l’enfant un homme accompli. Ainsi, la question de l’éducation était au centre de la pensée antique. Elle était continuellement sujet de grands débats, car c’est elle qui produit le prototype de l’homme vertueux, de l’homme épanoui ou du bon citoyen. Et, à la fin du

intolérable. Le mal est toujours le résultat de l’ignorance (pour Platon) ou du désir ignorant de ses propres limites. Le mal humain est quand même de l’ordre de l’incompréhensible : comment un homme peut vouloir en tuer un autre être aliéné dans sa conscience. On peut comprendre pourquoi cet homme croit se faire du bien. Ce que j’observe, c’est ce qui est effectif, ce que je conçois, c’est ce qui est possible selon la raison. Ce que Descartes n’a pas vu, c’est que tout ce qui est possible

n’est pas philosophe. Pompe ses idées en Angleterre. Mot qui devient à la mode : « tolérance ». Comment ces idées deviennent le patrimoine mondial de l’humanité ? II. La diffusion des Lumières Ménétra = est un artisan vitrier, est un homme du peuple, est un homme des Lumières, a entendu parler de Rousseau, Voltaire et Diderot, se définit comme philosophe dans son journal intime. C’est un « Rousseau des ruisseaux » (génération de jeunes écrivains, attirés par le prestige nouveau de l’homme de lettres

allégorie : il faut donc l’interpréter. Il y a des hommes dans une caverne sans accès direct à la lumière, ils prennent les ombres pour la vérité, la réalité. Si on leur explique que ce n’est pas le cas, ils refusent de le croire. 1ER SENS : Un homme monte à la lumière et voit la réalité : tout s’effondre sous ses pieds car il remet toutes ses croyances en question. Difficulté d’abord, puis nouvelles croyances. S’il redescend, il ne voit plus rien, les ombres n’ont plus de valeur. Il est mis au

J'aurais donc voulu que personne dans l'État n'eût pu se dire au-dessus de la loi, et que personne au-dehors n'en pût imposer que l'État fût obligé de reconnaître. Car quelle que puisse être la constitution d'un gouvernement, s'il s'y trouve un seul homme qui ne soit pas soumis à la loi, tous les autres sont nécessairement à la discrétion de celui-là 1 ; et s'il y a un chef national, et un autre chef étranger, quelque partage d'autorité qu'ils puissent faire, il est impossible que l'un et l'autre soient

J'aurais donc voulu que personne dans l'État n'eût pu se dire au-dessus de la loi, et que personne au-dehors n'en pût imposer que l'État fût obligé de reconnaître. Car quelle que puisse être la constitution d'un gouvernement, s'il s'y trouve un seul homme qui ne soit pas soumis à la loi, tous les autres sont nécessairement à la discrétion de celui-là [1] ; et s'il y a un chef national, et un autre chef étranger, quelque partage d'autorité qu'ils puissent faire, il est impossible que l'un et l'autre