L Homme Est Il Un Monstre

LE PROCES DU MONSTRE JEAN-BAPTISTE GRENOUILLEPERSONNAGESGRENOUILLELE JUGEL’AVOCATL’AVOCAT GENERAL1ER TEMOINLE GREFFIERUn décor représentant un tribunal. Au lever du rideau, on distingue dans l’ombre tous les protagonistes de la pièce qui prendront vie à la fin du Prologue.LE PROLOGUESi vous êtes ici ce soir, c’est pour assister au procès de Jean-Baptiste Grenouille. C’est celui qui est assis sur une chaise là bas, entouré de deux gardes, et qui attend. Il réfléchit et repense à sa vie, à sa mère

Récit chronologique : V1-9 situation initiale (stable, clame) V10-29  le monstre et ses effets V30-57 le duel V58-73 : mort d’hippolyte Il raconte comme il l’a vécu : de manière chronologique L’apparition du monstre On ne sait pas que c’est un monstre, on a d’abord les sons « effroyable cri » « cri redoutable » -> Atmosphère de peur. Ensuite, réaction des

premier recueil de nouvelles « Les sept messagers » nouvelles oubliées d’où appartient le récit « Quand descend l’ombre » . En 1949, publication de son deuxième recueil de nouvelles «  panique à la Scala » dans lequel figurent les nouvelles « Le monstre » et « Escorte personnelle » En 1958, il obtient le prix littéraire « Strega » pour son recueil « Soixante nouvelles » En 1966 , il publie son recueil de nouvelles intitulé « Le K. » qui remporte un succès international Enfin, en 1971, il

semblait que oui, pourtant ! Tout cela me paraissait bizarre. Peut-être une hallucination… Je me rassis et m'endormis. Mais cette voix, grave et perçante revint, et je l'écoutai, affolée : « Ca vous plaît, hein ? » C'était comme si j'entendais un homme plein de mauvaises intentions envers moi. J'avais vraiment très peur. Ce fut une sensation horrible ! Cette voix, qui parlait doucement... D'un coup, elle reprit : « Alors, on ne répond pas ? » Je restais immobile, attachée au fauteuil, ne sachant

l’auteur dans un monde utopique garantie une sorte de crédibilité. L’image du nouveau monde donnée par l’auteur : Pour l’auteur, ce nouveau monde est une merveille. Il décrit tout en détails : Pour lui, la Lune n’est pas peuplé de monstres mais plutôt de « bête-homme » et de personnes «qui avaient la taille et le visage comme nous ». Ses réactions : L’auteur est d’abord surpris (lexique de l’étonnement : « Je restais bien surpris » ; « je fus étonnée ») (hyperbole : « Plus que set ou huit cents

détails qu’elle juge jolisL3-4 ;5 ;60 →Elle altère différents mouvements = dance de séduction II Une femme fatale Un homme dominé →Muffat fasciné devant ce spectacleL50 →Une tempête en luiL67 →Il ne peut résisterL28 →Passage à l’acte avec violenceL67 ;68 ;69 ;70 →Situation nouvelle pour luiL22 Un monstre cauchemardesque →Description qui appelle aux aspects du monstre →Lexique de l’animalL43 ;48 ;51 →Caractère changeant : gestes de lion / tête qui se pelotonneL61 →Appétit voraceL63

situation est absolument intenable. C’est ma faute, si elle est partie. J’étais tout pour elle. Qu’est-ce qu’elle va devenir ? Encore quelqu’un sur la conscience. J’imagine le pire, le pire est possible. Pauvre enfant abandonnée dans cet univers de monstres ! Personne ne peut m’aider à la retrouver, personne, car il n’y a plus personne. (Nouveaux barrissements, courses éperdues, nuages de poussière.) Je ne veux pas les entendre. Je vais mettre du coton dans oreilles. (Il se met du coton dans les oreilles

bonne place au rang des obstacles qui s’opposent à Ulysse un certain nombre de monstres, qu’Homère décrit en déployant les talents de son imagination fertile. Quel rôle l’évocation des monstres joue-t-elle alors dans le texte ? Au-delà de leur fonction descriptive, en quoi ces créatures servent-elles de faire valoir à l’homme grec qu’est Ulysse, et de repoussoir pour le lecteur ou l’auditeur de l’épopée ? Les monstres ont tout d’abord une fonction narrative certaine. Leur évocation laisse tout

|Bien que le manoir ait été détruit, la menace n’est pas enrayée. Il y a toujours des monstres en liberté qui rôdent dans la | |forêt de Raccoon, certains d'entre eux errant même jusqu'aux limites de la ville de Raccoon City. Les recherches d’ Umbrella | |continuent, malgré la perte du laboratoire du manoir.  | |

est un rocher, banc de sable à fleur d'eau contre lequel un navire risque de se briser ou de s'échouer. La figure de style contenue dans le titre est une personnification (et oxymore) qui donnent l'effet d'un monstre. 2. Le roman commence en 1866 (p.31) 3. Le phénomène inexplicable est un monstre dont beaucoup de navires on croisé une chose énorme durant leur voyage. 4. Les émeutes sont les capitaines, populations de ports, esprit public à l'intérieur des continents, les gens de la mer, les négociants