L Homme Est Il Un Monstre

découverte du secret de la vie qui va permettre la création de la créature => récit de l’état d’esprit, des émotions de Frankenstein // récit introspectif, portrait psychologique du scientifique Situer : Précède la création du monstre, début du récit de Frankenstein, récit rapporté/enchâssé, récit rétrospectif dimension autobiographique Problématique : Dans ce passage clé du roman, comment Frankenstein nous livre-t-il un portrait de lui-même en tant que créateur 

DEVOIR DE RECHERCHE 1- UNE VOIX DE SIRENE : L’expression « Avoir une voix de sirène » signifie avoir une voix enchanteresse. Dans la mythologie grecque, les sirènes étaient des monstres marins mi-femmes, mi-oiseaux. Pour se nourrir, elles captivaient l’attention des hommes par leurs chants pour les dévorer ensuite. Prévenu par Circé, Ulysse a échappé aux sirènes en demandant aux compagnons de l’attacher. Les compagnons eux se sont bouché les oreilles. 2- TOMBER DE CHARYBDE EN SCYLLA :

la prise de parole du « dernier homme ». ⇒ Le monologue suit une progression qui rend compte du débat intérieur de Bérenger face à la « rhinocérite » : le texte oscille entre la résistance et la tentation.  I) La parole en question traduisant les doutes du héros A) Une parole et un homme solitaire - monologue : rappeler la définition cad un discours qu'un personnage se tient à lui-même - départ de Daisy (ligne 6) - il reste le seul homme (ligne 11) ⇒ effet de gradation :

supporte plus, elle est comme aliénée, étrangère à elle-même. Elle se perçoit comme un monstre (qui est différent des autres), elle est pour elle-même un objet de haine : voir vers 16, avec l'opposition entre les termes "abhorré" et "détester". Elle recherche même la haine des autres : "J'ai recherché ta haine" (vers 24). Au vers 39, elle se désigne clairement comme un monstre en hyperboliquement son image de monstre : elle dit à Hippolyte : "délivre l'univers" au lieu de délivre Athènes. Phèdre c'est

Paris est comparé à un monstre, dès la première ligne et sur la totalité de l’incipit (« des monstres » l.1 « Monstre complet » l.3 « le monstre » l.12 « une créature » l.22). Et chaque partie de cette ville est une partie de ce monstre. « Les greniers » sont comparés à une « espèce de tête pleine de science et de génie », « les premiers étages » à ses « estomacs » et « ses boutiques » à de véritables pieds » ces comparaisons rendent une sensation d’insécurité. Ce monstre bouge « ses bras se remuent

ce chapitre, nous assistons au résultat de sa création. Dans les chapitres précédents, le monstre est mentionné tel que Frankenstein l'imagine : aussi complexe et magnifique que l'homme, mais de taille géante. Ainsi, nous nous attendons à un géant, mais pas à un monstre… La naissance sera un évènement horrible, comme une catastrophe.  I/ Ce passage a des traces de style gothique  II/ La naissance du monstre  III/ Le passage présente des signes de renversement de situation, annonçant la suite des

Texte n°4 : Crebillon, la nuit et le moment, dialogue « ah ! quel monstre ! » I) L’originalité de ce dialogue dominé par un récit libertin Clitandre a pour objectif de créer de la complicité avec son auditrice, afin de favoriser un rapprochement intime. a) Un récit libertin Situation libertine un homme et une femme dans la chambre mais l’homme pas encore se rapprocher. Ligne 25 : « si j’avais l’honneur ». La proximité physique favorise la parole : intersection, exclamation. Première phase

par les autres c'est à dire par les personnages et Racine dans sa préface. Ensuite, nous analyserons la personnalité, les actions et son évolution dans la pièce. 1) Néron vu par les autres Dans cette pièce, Agrippine décrit Néron comme un monstre naissant. En effet, elle considère le changement de Néron comme brutal et inattendu. Agrippine comprend que Néron est devenu un empereur, que le pouvoir lui a été rendu et qu'elle ne peut le contrôler. Elle pense que Néron veut la " répudier" donc

animal « il a plus une apparence de bête que d’homme » Pas de vêtements Interpreta-tion Masqué du public, Homme mis à part : foire, avec les autres phénomènes et curiosités (femme à barbes, nains etc), capuche pour lui cacher le visage. + citations « choses » Objet, dort dans une cage = considéré comme un animal Ressemble pas à un homme donc pas considéré comme un homme -> objet pour se faire de l’argent, objet pour la recherche scientifique Pas de pensée, pas de conscience d’être

but de donner vit à un corps inanimé. Il rentra Henry Clerval un soir en marchant dans la rue ne sachant où il allait. Pendant plusieurs mois il eut la fièvre et Henry était le seul pour le soigner. A chaque instant, il voyait devant ses yeux le monstre. Victor appelle Elizabeth sa <<cousine>> et son père l’appelait sa <<nièce>>. Chapitre 6 : Dans la lettre, Elizabeth témoignait son inquiétude et exprime l’envi de le voir revenir dans la maison de paternelle. Chapitre 7: