L Homme Et L Animal

« Je ne vois dans tout animal qu’une machine ingénieuse, à qui la nature a donné des sens pour se remonter elle-même, et pour se garantir, jusqu’à un certain point, de tout ce qui tend à la détruire, ou à la déranger. J’aperçois précisément les mêmes choses dans la machine humaine, avec cette différence que la nature seule fait tout dans les opérations de la bête, au lieu que l’homme concourt aux siennes, en qualité d’agent libre. L’un choisit ou rejette par instinct, et l’autre par un acte de liberté

différencier un homme d’un ordinateur. l’un des courant les plus discuté est le trans-humanisme: l’avenir de l’homme est sa fusion avec la technologie (nanotechnologie). Si le propre de l’homme c’est la raison alors on ne peu plus distinguer l’homme de l’intelligence artificielle. Les decouvertes génétique, biologique paléontologique montre que l’homme est un animal comme les autres (98% de correspondance génétique avec les grands singes). Mai les travaux de l’éthologique (science du comportement animal) ont

PRÉPARATION Cerner les enjeux • Ce texte met au service de sa thèse « l’homme est un animal politique » différents types d’explications. Il convient de bien les distinguer pour montrer en quoi elles se complètent. Pour ce faire, on prendra garde de ne pas accumuler les arguments mais de mettre en évidence la progression du texte et la façon dont Aristote lie les concepts de société, de langage et de morale. • De plus, l’auteur commence par poser la thèse métaphysique du finalisme, qu’il faudra

pas). Il est traité avec une hostilité (quand il se fait étrangler par les enfants). Ensuite il est caractérisé comme un animal (tique, serpent...). Ensuite il se met à travailler car il découvre le parfum (quand il travaille avec Baldini). Il médite et se développe en tant qu'artiste puis il régresse jusqu'à disparaître (quand il va dans sa grotte). Il resurgit puis redevient homme puis Dieu (quand il crée son royaume). Enfin il meurt la ou il est né. -Pour la deuxième je n'ai rien du tout: Cette

Un homme sans culture est-il concevable ? La culture se définit comme l’opposé de la nature. Elle concerne tout ce qui est ôté ou ajouté à la nature par l’homme, c’est-à-dire toutes les transformations qu’il lui fait subir et tout ce qu’il crée ou produit de lui-même. De ce point de vue, la notion de culture semble impliquer celle d’homme car c’est lui qui en est le créateur et l’acteur. Mais cela veut-il dire qu’un homme sans culture est inconcevable ? Un homme sans culture est-il impossible à

L'hirondelle au printemps cherche les vieilles tours. La Coccinelle. Le Hibou. J'aime l'araignée et j'aime l'ortie. Une groupe tout à l'heure était la sur la grève... Le Crapaud. La Méridienne du lion. Les oiseaux. A des oiseaux envolés. A un homme partant pour la chasse. 3- Biographie des auteurs en l’occurrence la, il n'y a que Victor HUGO. 4- Conclusion. Bilan du parcours de cette anthologie. L'apport de ce travail. 1 - Préface:

pour ce texte, il s’est appuyé sur un fabuliste indien, Pilpay du IIIème siècle. La Fontaine transfert le récit apologue en récit poétique (élégant, recherché) car il s’agit pour lui de « faire goûter la sagesse ». Il sait transformer les hommes en animaux pour les instruire. A quel genre littéraire appartient le texte ? On constate qu’il y a deux parties : partie narrative (L.1-32) Mort de la tortue (L.33-36) La forme de la fable est didactique, simple et efficace. « La Tortue » est

L'expérimentation animale Au 21ème siècle, de nombreux animaux souffrent pour les besoins de la sciences. Selon le rapport de la Comission Européenne de 2003 sur l'expérimentation animale, environ 10 millions de vertébrés (dont environ 80% de rongeurs et de lapins) et 10 000 singes ont été utilisés en 2002 par les Etats membres. Clonages, expérimentations de nouveaux traitements, injections de produits cancérigènes, ... tout est mis en oeuvre pour établir de nouveaux progrets en matière de santé

parler ou à agir. homme : Le plus évolué des êtres vivants, appartenant à la famille des homini­dés et à l'espèce Homo sapiens (« homme sage »). Traditionnellement défini comme « animal doué de raison », l'homme est aussi, selon Aristote, un « animal politique ». Ce serait en effet pour qu'il puisse s'entendre avec ses semblables sur le bon, l'utile et le juste que la nature l'aurait pourvu du langage. animal : 1. Être vivant capable de se mouvoir : l'homme est un animal). 2. (Auj.) SYN. bête

certains domaines 2. Citez deux différences importantes entre l’idéal de l’honnête homme et l’idéal de l’humaniste. (3 points) (1.5 par bonne réponse) L’honnête homme est un idéal du 17e siècle, l’humanisme, du 16e siècle ; L’humanisme est un idéal intellectuel, tandis que l’honnête homme est plus un idéal social ; L’humaniste est un érudit, qui a pour but d’exercer un savoir au plus haut niveau, tandis que l’honnête homme doit avoir des notions sur chaque savoir, sans se spécialiser, sans devenir trop