L'Homme nouveau

Résumé I) L’art nouveau Au cours du XVIIIe siècle, le développement de l’industrialisation généralisa l’utilisation du fer et de l’acier, qui facilitèrent et accélèrent la construction. Au XIXe siècle, architectes et ingénieurs imaginèrent les premières structures entièrement en acier permettant de construire des bâtiments vastes et hauts, en un temps record (la Tour Eiffel ...) À la fin du XIXe siècle, on s’éloigne du style classique. Architectes et décorateurs créent un style qui joue

dans la passion, on faisait la guerre à la passion même ; les hommes étaient conjurés pour l’anéantir ; tous les vieux plésiosaures de la morale sont unanimes là-dessus : « Il faut tuer les passions. » La formule la plus célèbre s’en trouve dans le Nouveau Testament, dans ce sermon sur la montagne où, soit dit en passant, les choses ne sont pas du tout considérées de haut. Il y est dit, par exemple, relativement à la passion sexuelle : « Si ton œil t’agace, arrache-le. » Heureusement, aucun chrétien

 8.2.13 Chacun appelle barbarie ce qui n’est pas d’usage Au XVIème siècle, la découverte du nouveau monde intrigue l’Europe. Montaigne né dans cette même époque est lui aussi intéressé surtout envers les habitants qui peuplent cette nouvelle terre, les indiens. N’ayant aucune avancée technologique ou de simples vêtements à se mettre. Les indiens sont considérés comme des barbares en Europe. Surtout à cause de certaines pratiques non conforme

repentant par le biais du Saint-Esprit. Le mot lui-même n’est utilisé que deux (2) fois dans le Nouveau Testament : dans Matthieu 19 : 28 pour évoquer le renouvellement à venir de toutes choses et dans Tite 3 : 5 pour décrire le changement dans l’individu. D’autres termes sont aussi rendus de la même façon (Par exemple 1 Pierre 1 : 3, 23) ou sont proches de l’idée de régénération « naître de nouveau » Jean 3 : 3, 7 « Se renouveler » Col 3 : 10. Dans l’Ancien Testament, la régénération était préfigurée

Art nouveau, reflet de la Belle Epoque ? Avant de parler de l’Art nouveau, situons le contexte et l’époque historique dans laquelle nous nous trouvons. Une période de progrès social, économique, technologique et politique en Europe, s'étendant de la fin du XIXe siècle jusqu’en 1914. A ce moment, l’exploitation des nouvelles matières premières, énergies et procédés de fabrication fait entrer l’Europe dans l’ère industrielle. La production augmente ; les moyens de communication et télécommunication

et physiques sont dans l’attente des grandes révolutions conceptuelles qui vont les consacrer. C’est dans cette atmosphère que va exploser ce mouvement artistique tourné vers les formes de la nature que l’on désigne du terme traditionnel d’ « Art Nouveau ». Avec ses formes fluides et son inspiration naturiste il apparaît comme un mouvement insolite, fortement motivé par son opposition à la rigidité des matériaux de l’ère industrielle, l’acier en particulier. Il se manifeste par un goût particulier

veut parler du fait d'ajouter de l'ornementation aux objets utilitaires. Il y explique que l'ornement a un rôle extrêmement important dans la civilisation. Il justifie cette importance en plusieurs points : En premier, il invoque le fait que l'homme a toujours ornementé ses créations, qu'il le fera sans doute pour toujours, et que même s'il arrêtait d'ornementer ses créations, l'art qu'on y retrouve existerait sous forme plus abstraite. En deuxième, il affirme que l'ornement ne fait pas qu'ajouter

L’ Art nouveau - mouvement artistique de la fin du XIXè siècle au début du XXe (vers 1890, 1914), devenu populaire à travers l’Europe et les Etats-Unis. mouvement soudain, rapide, mais aussi très bref et puissant -->essor, développement mondial simultané : Tiffany (d'après Louis Comfort Tiffany aux États-Unis), Jugendstil (en Allemagne), Sezessionstil (en Autriche), Nieuwe Kunst (aux Pays-Bas), Stile Liberty (en Italie), Modernisme (en Espagne), Style sapin (en Suisse), Style Moderne (en

la transcendance "messianique", il devrait refuser l'application de la théorie girardienne du sacrifice à l'Ancien Testament : le même Dieu ne peut pas être issu, dans l'Ancien Testament, du sacrifice c'est-à-dire par auto-suggestion, et dans le Nouveau, de la Révélation ; être, un peu comme le chat de Schrödinger, à la fois "archaïque" et "messianique". D'ailleurs la théorie girardienne du christianisme présente Jésus comme le dénonciateur de la "méconnaissance" qui se trouve au cœur de la "transcendance

allemand de tradition luthérienne. Il était professeur d’études néo-testamentaires à Marburg. C’est dans cette université qu’il marquera d’une profonde influence nombre d’étudiant en théologie et en philosophie. Il a développé la « démytholisation » du Nouveau Testament en cherchant à replacer la prédication de Jésus-Christ dans son contexte historique pour en dégager le noyau intentionnel. Il dit que « la démythologisation est une méthode hermeneutique ». Sa christologie est le pont entre les théologies