L'Homme que j'aime

avons fait la même chose sauf que la personne qui crier le nom de la personne devait y ajouter un sentiment, une intonation particulière. Afin de travailler la concentration, nous avons fait l’exercice de « l’homme qui… » . Pour cet exercice, olivier compléter cette phrase comme par exemple l’homme qui marchait sur la glace et nous devions l’imiter. Cependant cet exercice ne devait pas tomber dans le stéréotype. Ensuite, nous avons travaillé la découverte de l’objet. Deux objets étaient placés sur

vérité mais sous il cède sous l'insistance d'Oedipe qui devient menaçant. Le vieux berger : C'est le « vieillard » (p.50) qui était chargé d'abandonné Oedipe aux bêtes sauvages, il n'eut pu s'y résoudre et la donner un berger de Corinthe. C'est l'homme qui apportera vérité sur tout le livre. Il s'est tût durant des années, pour préserver la vie de la ville, et sa propre vie. Créon : C'est le frère de Jocaste, ainsi que le successeur d'Oedipe au trône de Thèbes. Il est resté fidèle à Oedipe

hiérarchie entre les trois grandes passions dramatiques : l`avarice, l`amour et l`ambition. On réserve l'avarice à la comédie, et à la tragédie l'ambition qui domine les « faiblesses » de l'amour. La tragédie commence, du Cid à Phèdre, au moment où l'homme doit prendre une décision où ses ambitions et ses intérêts se trouvent dans une lutte impitoyable qui demande le sacrifice de soi et qui peut attirer la mort. Dans cette lutte, les passions humaines sont impliquées, soit que le héros les domine, soit

Quand on a besoin de vraies décisions c'est la force qui parle. Du coup cette différence tant proclamée par certains entre L'homme et l'animal est bien moins évidente. J'aime bien la phrase de Xenophane : « si les boeufs avaient un dieu, il aurait certainement des cornes » quelle prétention ! Pardonne-moi cette digression un peu longue et qui réinvente l'eau tiède ; mais j'aime bien. J'en reviens donc à notre récit. Après avoir fait sauter Richard Cromwell, Monk place le fils de Charles Ier (Charles

la nature pour que le poète fasse part de ses sentiments la nature se fait parole du lecteur. · Cendras Feuilles de route ,sensibilité a la nature Attachement au animaux : · « J’aime l’araignée et j’aime l’ortie »  « le carpeau » Châtiment de VH Un chant intime :· Mort de Léopoldine le 4 septembre 1843· « autrefois et aujourd’hui, un abîme sépare les deux, le tombeau »Préface ,l’œuvre constitue un quart

considérées comme un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature française. Le fabuliste a éclipsé le conteur d'autant que le souci moralisant a mis dans l’ombre les contes licencieux publiés entre 1665 et 1674. Commentaire de « Le Lion et le rat » J’aime beaucoup la morale qu’offre cette fable. Jean de la Fontaine cherche à transmettre un beau message qui consiste en aider les autres puisqu’on peut avoir besoin d’eux éventuellement. Le Lion et le rat Il faut, autant qu'on peut, obliger tout le

signes -> lire les signes (interprétation) La sémiologie un approche que différence les signes. Tous les signes sont interprétés par la culture des mases. Lire en sémiologie c’est interpréter. L’homme de ville est un homme capable de lire parce que il a de culture par contre l’homme de la campagne c’est l’homme de la nature, autour de lui, il ya des signes naturels que ne devient jamais être interprétés. Par exemple, une paysage ne peut pas être interprété, il est seulement la nature, une nature

Le lion abattu par l’homme, Jean de La Fontaine La liberté de la lune, Robert Frost La liberté, Ambrose Bierce Sainte liberté, Raymond A. Foss 10) Je préfère la liberté superbe, Aleksandr Blok 11) XIV liberté, Gibran Khalil Chansons : 12) Liberté, Gilbert Montagné 13) Ma liberté de penser, Florent Pagny 14) Ma Liberté, Serge Reggiani 15) Liberté, Charles Aznavour 16) La Liberté, Mano Solo 17) Rédemption, Bob Marley Récits : 18) Article I, Déclaration des droits de l’homme et du citoyen, 1789

pour me sortir des ténèbres où je suis plongée. Mon père, je vous en conjure, j’ai au plus tôt besoin des conseils d’un homme de Dieu. Le père Tout-à-tous : Parles, ma fille. Je suis homme de Dieu, il t’écoute. Mlle de Saint-Yves : Voilà mon père. J’aime mon promis, et il me tarde plus que tout de devenir son épouse légitime devant Dieu. Les jours sans lui me paraissent long, et je les conte même dans l’attende d’une nouvelle de la prison. Mais voilà que jusque dans la cour on rapporte l’ampleur de

; Faites que j'entende un peu d'harmonie, Et je mourrai bien. La musique apaise, enchante et délie Des choses d'en bas : Bercez ma douleur ; je vous en supplie, Ne lui parlez pas. Je suis las des mots, je suis las d'entendre Ce qui peut mentir ; J'aime mieux les sons qu'au lieu de comprendre Je n'ai qu'à sentir ; Une mélodie où l'âme se plonge Et qui, sans effort, Me fera passer du délire au songe, Du songe à la mort. Vous qui m'aiderez dans mon agonie, Ne me dites rien. Pour allégement un peu